lundi 1 décembre 2014

Projet Maïté 10 – phrases 4-5

Su cabeza a centímetros del filo de la pared (Miedo); el cuchillo sobre la mesa (Miedo); los dedos en la puerta (Miedo); las manos de él en su cuello (Miedo); el balcón (Miedo). Las cosas aterrorizan si se imaginan; pero solo suceden cuando se las ve. Si yo no miraba, la tragedia no se concretaría.

Traduction temporaire :
Sa tête à quelques centimètres du tranchant du mur (Peur) ; le couteau sur la table (Peur) ; les doigts sur la porte (Peur) ; ses mains à lui sur son cou (Peur) ; le balcon (Peur). Les choses terrorisent si on se les imagine ; mais elles arrivent seulement lorsqu’on les voit. Si je ne regardais pas, la tragédie ne se concrétiserait pas.

12 commentaires:

Maymay a dit…

Sa tête à quelques centimètres du double tranchant du mur (Peur), le couteau sur la table (Peur) ; les doigts contre la porte (Peur) ; ses mains à lui sur son cou (Peur) ; le balcon (Peur).
Les choses terrorisent si on se les imagine ; mais cela n’arrive seulement lorsqu’on les voit. Si je ne regardais pas, la tragédie ne se concrétiserait pas.

Maïté

Tradabordo a dit…

Sa tête à quelques centimètres du double [?] tranchant du mur (Peur), [point-virgule, comme en V.O.] le couteau sur la table (Peur) ; les doigts contre [ou « sur » ? J'hésite] la porte (Peur) ; ses mains à lui sur son cou (Peur) ; le balcon (Peur).
Les choses terrorisent si on se les imagine ; mais cela n’arrive [au pluriel ; les choses…] seulement lorsqu’on les voit. Si je ne regardais pas, la tragédie ne se concrétiserait pas.

Maymay a dit…

Sa tête à quelques centimètres du tranchant du mur (Peur) ; le couteau sur la table (Peur) ; les doigts sur la porte (Peur) ; ses mains à lui sur son cou (Peur) ; le balcon (Peur).
Les choses terrorisent si on se les imagine ; mais cela n’arrivent seulement lorsqu’on les voit. Si je ne regardais pas, la tragédie ne se concrétiserait pas.

(pour le « contre » ou « sur », j’ai aussi hésité, mais en y repensant, autant laisser « sur » car « sur la table, sur la porte, sur son cou », ça fait un peu comme un polysyndète !)

Maïté

Tradabordo a dit…

Sa tête à quelques centimètres du tranchant [tu as vérifié que ça se dit ?] du mur (Peur) ; le couteau sur la table (Peur) ; les doigts sur la porte (Peur) ; ses mains à lui sur son cou (Peur) ; le balcon (Peur).
Les choses terrorisent si on se les imagine ; mais cela n’arrivent [grammaire + cf mon commentaire précédent] seulement lorsqu’on les voit. Si je ne regardais pas, la tragédie ne se concrétiserait pas.

Maymay a dit…

Sa tête à quelques centimètres du mur tranchant (Peur) ; le couteau sur la table (Peur) ; les doigts sur la porte (Peur) ; ses mains à lui sur son cou (Peur) ; le balcon (Peur).
Les choses terrorisent si on se les imagine ; mais elles arrivent seulement lorsqu’on les voit. Si je ne regardais pas, la tragédie ne se concrétiserait pas.

Maïté

Tradabordo a dit…

Sa tête à quelques centimètres du mur tranchant [« de l'arête du mur » ? Vérifie que ça se dit] (Peur) ; le couteau sur la table (Peur) ; les doigts sur la porte (Peur) ; ses mains à lui sur son cou (Peur) ; le balcon (Peur).
Les choses terrorisent si on se les imagine ; mais elles arrivent seulement lorsqu’on les voit. Si je ne regardais pas, la tragédie ne se concrétiserait pas.

Maymay a dit…

Sa tête à quelques centimètres du mur tranchant [on dit plus "le tranchant du mur" que l'arête du mur"] (Peur) ; le couteau sur la table (Peur) ; les doigts sur la porte (Peur) ; ses mains à lui sur son cou (Peur) ; le balcon (Peur).
Les choses terrorisent si on se les imagine ; mais elles arrivent seulement lorsqu’on les voit. Si je ne regardais pas, la tragédie ne se concrétiserait pas.

Maïté

Tradabordo a dit…

Sa tête à quelques centimètres du mur tranchant [on dit plus "le tranchant du mur" que l'arête du mur"… OK, mais en prenant cette syntaxe, tu utilises « tranchant » comme un adjectif et tu changes le sens] (Peur) ; le couteau sur la table (Peur) ; les doigts sur la porte (Peur) ; ses mains à lui sur son cou (Peur) ; le balcon (Peur).
Les choses terrorisent si on se les imagine ; mais elles arrivent seulement lorsqu’on les voit. Si je ne regardais pas, la tragédie ne se concrétiserait pas.

Maymay a dit…

Le tranchant du mur à quelques centimètres de sa tête (Peur) ; le couteau sur la table (Peur) ; les doigts sur la porte (Peur) ; ses mains à lui sur son cou (Peur) ; le balcon (Peur).
Les choses terrorisent si on se les imagine ; mais elles arrivent seulement lorsqu’on les voit. Si je ne regardais pas, la tragédie ne se concrétiserait pas.

(pas d'ordinateur pendant plus d'un mois entre les virus et les vacances... je rentre tout juste, et la première chose que j'ai fait c'est de répondre, je suis vraiment désolée, j'espère qu'à partir de maintenant, il n'y aura plus de problème, ne pas traduire m'a enormément manqué :( )

Maïté

Tradabordo a dit…

Le tranchant du mur à quelques centimètres de sa tête (Peur) [pourquoi, brusquement tu changes complètement la syntaxe ? Pas nécessaire] ; le couteau sur la table (Peur) ; les doigts sur la porte (Peur) ; ses mains à lui sur son cou (Peur) ; le balcon (Peur).
Les choses terrorisent si on se les imagine ; mais elles arrivent seulement lorsqu’on les voit. Si je ne regardais pas, la tragédie ne se concrétiserait pas.

Maymay a dit…

Sa tête à quelques centimètres du tranchant du mur (Peur) ; le couteau sur la table (Peur) ; les doigts sur la porte (Peur) ; ses mains à lui sur son cou (Peur) ; le balcon (Peur).
Les choses terrorisent si on se les imagine ; mais elles arrivent seulement lorsqu’on les voit. Si je ne regardais pas, la tragédie ne se concrétiserait pas.

Maïté

Tradabordo a dit…

Sa tête à quelques centimètres du tranchant du mur (Peur) ; le couteau sur la table (Peur) ; les doigts sur la porte (Peur) ; ses mains à lui sur son cou (Peur) ; le balcon (Peur).
Les choses terrorisent si on se les imagine ; mais elles arrivent seulement lorsqu’on les voit. Si je ne regardais pas, la tragédie ne se concrétiserait pas.

OK.