mercredi 3 décembre 2014

Projet Émilie 6 – phrases 19-34

Aquella primera vez, la recuerdo bien, regó la planta, volvió a entrar a su departamento y salió al patio de nuevo. Yo fumaba en la ventana, tratando de que el humo no entrara a la cocina.
Se paró frente al banquito blanco. Dijo en voz alta: «Siéntate». Lo hizo. Permaneció sentado aproximadamente dos minutos. Ordenó: «De pie». Se paró. Entró y cerró el ventanal que está exactamente debajo de mi ventana.
Levántese.
De pie.
La voz de Gutiérrez me despertó a la mañana siguiente. No supe si realmente había oído. Me duché, tomé un café rápido y no quise abrir la ventana. Sabía que si lo veía ahí, llegaría tarde al trabajo. Para cuando volví era ya más de las nueve de la noche y llovía torrencialmente. Estaba cansado y hambriento, de lo que menos me acordaba era de mi vecino de PB. Mi hice un sándwich, comí, tomé una lata de cerveza, un cigarrillo y abrí la ventana.

Traduction temporaire :
Cette première fois, je me la rappelle bien, il a arrosé la plante, a regagné son appartement avant de ressortir dans la cour. Je fumais à la fenêtre, tentant d’empêcher la fumée de pénétrer dans la cuisine.
Il s’est immobilisé face au petit banc blanc. Il a ordonné à voix haute : « Assieds-toi ». Il s’est exécuté. Il est resté assis à peu près deux minutes. « Debout », a-t-il exigé ensuite. Il s’est levé. Il est rentré et a refermé la baie vitrée située précisément sous ma fenêtre.
Levez-vous.
Debout.

Le lendemain matin, la voix de Gutiérrez m’a réveillé. Je n’ai pas su si je l’avais vraiment entendue. J’ai pris une douche, bu un café rapidement et n’ai pas voulu ouvrir la fenêtre. Je savais que si je le voyais là, j’arriverais en retard à mon travail. Quand je suis revenu, il était déjà vingt et une heures passées et il pleuvait des cordes. J’étais fatigué, affamé, et mon voisin du RdC m’était complètement sorti de la tête. Je me suis préparé un sandwich, que j’ai mangé, j’ai bu une canette de bière, fumé une cigarette et ouvert la fenêtre.

4 commentaires:

Emilie a dit…

Cette première fois, je m’en souviens bien, il a arrosé la plante, est rentré dans son appartement avant de ressortir dans la cour. Je fumais à la fenêtre, tentant d’empêcher la fumée de pénétrer dans la cuisine.
Il s’est immobilisé face au petit banc blanc. Il a ordonné à voix haute : « Assieds-toi ». Il s’est exécuté. Il est resté assis à peu près deux minutes. « Debout », a-t-il exigé ensuite. Il s’est levé. Il est rentré et a refermé la baie vitrée située précisément sous ma fenêtre.
Levez-vous.
Debout.
La voix de Gutiérrez m’a réveillé le lendemain matin. Je n’ai pas su si je l’avais vraiment entendue. J’ai pris une douche, bu un café rapidement et n’ai pas voulu ouvrir la fenêtre. Je savais que si je le voyais là, j’arriverais en retard à mon travail. Quand je suis revenu, il était déjà vingt et une heures passées et il pleuvait à torrents. J’étais fatigué, affamé, et mon voisin du RdC m’était complètement sorti de la tête. Je me suis fait un sandwich, que j’ai mangé, j’ai bu une cannette de bière, fumé une cigarette et ouvert la fenêtre.

Tradabordo a dit…

Cette première fois, je m’en souviens bien [« je me la rappelle bien » ? Sinon, avec « se souvenir » il faudra un « de »], il a arrosé la plante, est rentré [ou : « a regagné » ? Comme tu veux] dans son appartement avant de ressortir dans la cour. Je fumais à la fenêtre, tentant d’empêcher la fumée de pénétrer dans la cuisine.
Il s’est immobilisé face au petit banc blanc. Il a ordonné à voix haute : « Assieds-toi ». Il s’est exécuté. Il est resté assis à peu près deux minutes. « Debout », a-t-il exigé ensuite. Il s’est levé. Il est rentré et a refermé la baie vitrée située précisément sous ma fenêtre.
Levez-vous [le « tu » ?].
Debout.
La voix de Gutiérrez m’a réveillé [un homme ou une femme, au fait ?] le lendemain matin [place-le au début]. Je n’ai pas su si je l’avais vraiment entendue. J’ai pris une douche, bu un café rapidement et n’ai pas voulu ouvrir la fenêtre. Je savais que si je le voyais là, j’arriverais en retard à mon travail. Quand je suis revenu, il était déjà vingt et une heures passées et il pleuvait à torrents [« des cordes » ? Comme tu veux]. J’étais fatigué, affamé, et mon voisin du RdC m’était complètement sorti de la tête. Je me suis fait [« préparé », pour économiser les « faire » ?] un sandwich, que j’ai mangé, j’ai bu une cannette [orthographe ?] de bière, fumé une cigarette et ouvert la fenêtre.

Emilie a dit…

Cette première fois, je me la rappelle bien, il a arrosé la plante, a regagné son appartement avant de ressortir dans la cour. Je fumais à la fenêtre, tentant d’empêcher la fumée de pénétrer dans la cuisine.
Il s’est immobilisé face au petit banc blanc. Il a ordonné à voix haute : « Assieds-toi ». Il s’est exécuté. Il est resté assis à peu près deux minutes. « Debout », a-t-il exigé ensuite. Il s’est levé. Il est rentré et a refermé la baie vitrée située précisément sous ma fenêtre.
Levez-vous [le « tu » ? tu veux dire qu'il faut passer à "lève-toi"? je ne sais pas trop, on a déjà "siéntese" au début]].
Debout.
Le lendemain matin, la voix de Gutiérrez m’a réveillé [un homme, c'est explicite plus loin]. Je n’ai pas su si je l’avais vraiment entendue. J’ai pris une douche, bu un café rapidement et n’ai pas voulu ouvrir la fenêtre. Je savais que si je le voyais là, j’arriverais en retard à mon travail. Quand je suis revenu, il était déjà vingt et une heures passées et il pleuvait des cordes. J’étais fatigué, affamé, et mon voisin du RdC m’était complètement sorti de la tête. Je me suis préparé un sandwich, que j’ai mangé, j’ai bu une canette [apparemment on a le choix: n/nn] de bière, fumé une cigarette et ouvert la fenêtre.

Tradabordo a dit…

Cette première fois, je me la rappelle bien, il a arrosé la plante, a regagné son appartement avant de ressortir dans la cour. Je fumais à la fenêtre, tentant d’empêcher la fumée de pénétrer dans la cuisine.
Il s’est immobilisé face au petit banc blanc. Il a ordonné à voix haute : « Assieds-toi ». Il s’est exécuté. Il est resté assis à peu près deux minutes. « Debout », a-t-il exigé ensuite. Il s’est levé. Il est rentré et a refermé la baie vitrée située précisément sous ma fenêtre.
Levez-vous.
Debout.
Le lendemain matin, la voix de Gutiérrez m’a réveillé. Je n’ai pas su si je l’avais vraiment entendue. J’ai pris une douche, bu un café rapidement et n’ai pas voulu ouvrir la fenêtre. Je savais que si je le voyais là, j’arriverais en retard à mon travail. Quand je suis revenu, il était déjà vingt et une heures passées et il pleuvait des cordes. J’étais fatigué, affamé, et mon voisin du RdC m’était complètement sorti de la tête. Je me suis préparé un sandwich, que j’ai mangé, j’ai bu une canette de bière, fumé une cigarette et ouvert la fenêtre.

OK.