lundi 29 février 2016

Projet Justine 7 – phrases 10-14

Elcira sentía su corazón apretado, latiéndole desordenado, con potencia, como si fuera el estruendoso motor del auto viejo del dueño del almacén de la esquina. Un miedo como nunca había experimentado en todos los años transcurridos desde que su esposo murió y se llevaron a su hijo. Dos décadas sola, dos décadas abandonada a la suerte, olvidada por los poderosos, los unos y los otros. Una vieja y un intruso, la balanza no estaba a su favor. Pasos, pasos, pasos, latido, esa era la aritmética.

Traduction temporaire :
Elcira se sentait oppressée, son cœur battant de façon désordonnée, puissamment, comme s'il s'agissait du moteur tonitruant de la vieille voiture du propriétaire du magasin au coin de la rue. Une peur comme elle n'en avait jamais ressentie durant toutes ces années, depuis la mort de son mari et l'enlèvement de son fils. Deux décennies seule, deux décennies abandonnée à son sort, oubliée des puissants, des uns et des autres. Une vieille dame et un intrus. La balance ne penchait pas en sa faveur. Des pas, des pas, encore des pas, un battement, telle était son arithmétique.

6 commentaires:

Justine a dit…

Elcira sentait son cœur oppressé, battant de façon désordonnée, de toute sa puissance, comme s'il s'agissait du moteur tonitruant de la vieille voiture du propriétaire du magasin au coin de la rue. Une peur comme elle n'en avait jamais ressentie durant toutes ces années, depuis que son mari est mort et qu'ils [on apprend par la suite que ce sont des militaires, d'où mon « ils »] ont enlevé son fils. Deux décennies seule, deux décennies abandonnée à son sort, oubliée des puissants, des uns et des autres. Une vieille dame et un intrus : la balance ne penchait pas en sa faveur. Des pas, des pas, encore des pas, un battement, telle était son arithmétique.

Tradabordo a dit…

Elcira sentait son cœur [naturel ?] oppressé, battant de façon désordonnée, de toute sa puissance [pas exactement ; passe par un adverbe en « -ment »], comme s'il s'agissait du moteur tonitruant de la vieille voiture du propriétaire du magasin au coin de la rue. Une peur comme elle n'en avait jamais ressentie durant toutes ces années, depuis que son mari est mort et qu'ils ont enlevé son fils [OK, mais passe par fils + a été enlevé]. Deux décennies seule, deux décennies abandonnée à son sort, oubliée des puissants, des uns et des autres. Une vieille dame et un intrus : [point] la balance ne penchait pas en sa faveur. Des pas, des pas, encore des pas, un battement, telle était son arithmétique.

Justine a dit…

Elcira se sentait oppressée, son cœur battant de façon désordonnée, puissamment, comme s'il s'agissait du moteur tonitruant de la vieille voiture du propriétaire du magasin au coin de la rue. Une peur comme elle n'en avait jamais ressentie durant toutes ces années, depuis que son mari est mort et que son fils a été enlevé. Deux décennies seule, deux décennies abandonnée à son sort, oubliée des puissants, des uns et des autres. Une vieille dame et un intrus. La balance ne penchait pas en sa faveur. Des pas, des pas, encore des pas, un battement, telle était son arithmétique.

Tradabordo a dit…

Elcira se sentait oppressée, son cœur battant de façon désordonnée, puissamment, comme s'il s'agissait du moteur tonitruant de la vieille voiture du propriétaire du magasin au coin de la rue. Une peur comme elle n'en avait jamais ressentie durant toutes ces années, depuis que son mari est mort et que son fils a été enlevé [passe par des substantif : mort / enlèvement]. Deux décennies seule, deux décennies abandonnée à son sort, oubliée des puissants, des uns et des autres. Une vieille dame et un intrus. La balance ne penchait pas en sa faveur. Des pas, des pas, encore des pas, un battement, telle était son arithmétique.

Justine a dit…

Elcira se sentait oppressée, son cœur battant de façon désordonnée, puissamment, comme s'il s'agissait du moteur tonitruant de la vieille voiture du propriétaire du magasin au coin de la rue. Une peur comme elle n'en avait jamais ressentie durant toutes ces années, depuis la mort de son mari et l'enlèvement de son fils. Deux décennies seule, deux décennies abandonnée à son sort, oubliée des puissants, des uns et des autres. Une vieille dame et un intrus. La balance ne penchait pas en sa faveur. Des pas, des pas, encore des pas, un battement, telle était son arithmétique.

Tradabordo a dit…

Elcira se sentait oppressée, son cœur battant de façon désordonnée, puissamment, comme s'il s'agissait du moteur tonitruant de la vieille voiture du propriétaire du magasin au coin de la rue. Une peur comme elle n'en avait jamais ressentie durant toutes ces années, depuis la mort de son mari et l'enlèvement de son fils. Deux décennies seule, deux décennies abandonnée à son sort, oubliée des puissants, des uns et des autres. Une vieille dame et un intrus. La balance ne penchait pas en sa faveur. Des pas, des pas, encore des pas, un battement, telle était son arithmétique.

OK.