lundi 1 décembre 2014

Projet Justine 3 – phrases 106-116

Fue Camila la primera que se puso de pie. Aún intenté tomarla de la mano. Pero ella se zafó con furia. Sólo entonces lloré. Por un segundo se enterneció. Me abrazó. Le dije que no había manera de que yo me perdonara por lo que había hecho, y ella dijo:
Lo sé, no tienes perdón.
Entonces, cuando se estaba yendo, yo dije.
Dentro de tres años iré una hora antes de Navidad a atar un pañuelo en tu ventana. Y si sales y me das un beso sabré que ya no me odias.
No lo recordarás —dijo ella—, seguramente no lo recordarás.

Traduction temporaire :

Camila s’était levée la première. Là encore, j'avais essayé de lui prendre la main. Mais sous le coup de la colère, elle s’était dérobée. Alors seulement, j’avais pleuré. L'espace d'un instant, ça l’avait attendrie. Elle m’avait embrassé. Je lui avais avoué que je n’arrivais pas à me pardonner ce que j’avais fait ; à quoi elle avait répondu :
— Je sais, tu ne mérites pas mon pardon.
Alors qu’elle tournait les talons, j’avais lancé :
— Dans trois ans, une heure avant Noël, je viendrai accrocher un foulard à ta fenêtre. Et si tu sors m’embrasser, je saurai que tu ne me hais plus.
— Tu ne te le rappelleras pas, avait-elle assuré. Tu ne te le rappelleras sûrement pas.

11 commentaires:

Justine a dit…

Camila s’était levée la première. Là, encore, j'avais essayé de lui prendre la main. Mais, sous le coup de la colère, elle s’était dérobée. Alors seulement, j’avais pleuré. Ça l’avait attendrie, l’espace d’un instant. Elle m’avait embrassé. Je lui avais avoué que je n’arrivais pas à me pardonner ce que j’avais fait ; elle avait renchéri :
— Je sais, tu ne mérites pas mon pardon.
Alors qu’elle tournait les talons, j’avais lancé :
— Dans trois ans, une heure avant Noël, je viendrai accrocher un foulard à ta fenêtre.
Et si tu sors m’embrasser, je saurai que tu ne me hais plus.
— Tu ne te le rappelleras pas – avait-elle parié – Tu ne te le rappelleras sûrement pas.

Tradabordo a dit…

Camila s’était levée la première. Là, [supprime la virgule] encore, j'avais essayé de lui prendre la main. Mais, sous le coup de la colère, elle s’était dérobée. Alors seulement, j’avais pleuré. Ça l’avait attendrie, l’espace d’un instant. Elle m’avait embrassé. Je lui avais avoué que je n’arrivais pas à me pardonner ce que j’avais fait ; elle avait renchéri [adapté alors que c'est l'autre qui a parlé ? Vérifie] :
— Je sais, tu ne mérites pas mon pardon.
Alors qu’elle tournait les talons, j’avais lancé :
— Dans trois ans, une heure avant Noël, je viendrai accrocher un foulard à ta fenêtre. Et si tu sors m’embrasser, je saurai que tu ne me hais plus.
— Tu ne te le rappelleras pas – [virgule] avait-elle parié [tu vas un peu trop loin] – [point] Tu ne te le rappelleras sûrement pas.

Justine a dit…

Camila s’était levée la première. Là encore, j'avais essayé de lui prendre la main. Mais, sous le coup de la colère, elle s’était dérobée. Alors seulement, j’avais pleuré. Ça l’avait attendrie, l’espace d’un instant. Elle m’avait embrassé. Je lui avais avoué que je n’arrivais pas à me pardonner ce que j’avais fait ; elle avait abondé dans mon sens :
— Je sais, tu ne mérites pas mon pardon.
Alors qu’elle tournait les talons, j’avais lancé :
— Dans trois ans, une heure avant Noël, je viendrai accrocher un foulard à ta fenêtre. Et si tu sors m’embrasser, je saurai que tu ne me hais plus.
— Tu ne te le rappelleras pas, avait-elle assuré. Tu ne te le rappelleras sûrement pas.

Tradabordo a dit…

Camila s’était levée la première. Là encore, j'avais essayé de lui prendre la main. Mais, [j'hésite sur cette virgule…] sous le coup de la colère, elle s’était dérobée. Alors seulement, j’avais pleuré. Ça l’avait attendrie, l’espace d’un instant [mets-le devant… sinon, tu as la même construction que dans la phrase d'avant]. Elle m’avait embrassé. Je lui avais avoué que je n’arrivais pas à me pardonner ce que j’avais fait ; elle avait abondé dans mon sens :
— Je sais, tu ne mérites pas mon pardon.
Alors qu’elle tournait les talons, j’avais lancé :
— Dans trois ans, une heure avant Noël, je viendrai accrocher un foulard à ta fenêtre. Et si tu sors m’embrasser, je saurai que tu ne me hais plus.
— Tu ne te le rappelleras pas, avait-elle assuré. Tu ne te le rappelleras sûrement pas.

Justine a dit…

Camila s’était levée la première. Là encore, j'avais essayé de lui prendre la main. Mais sous le coup de la colère, elle s’était dérobée. Alors seulement, j’avais pleuré. L'espace d'un instant, ça l’avait attendrie. Elle m’avait embrassé. Je lui avais avoué que je n’arrivais pas à me pardonner ce que j’avais fait ; elle avait abondé dans mon sens :
— Je sais, tu ne mérites pas mon pardon.
Alors qu’elle tournait les talons, j’avais lancé :
— Dans trois ans, une heure avant Noël, je viendrai accrocher un foulard à ta fenêtre. Et si tu sors m’embrasser, je saurai que tu ne me hais plus.
— Tu ne te le rappelleras pas, avait-elle assuré. Tu ne te le rappelleras sûrement pas.

Tradabordo a dit…

Camila s’était levée la première. Là encore, j'avais essayé de lui prendre la main. Mais sous le coup de la colère, elle s’était dérobée. Alors seulement, j’avais pleuré. L'espace d'un instant, ça l’avait attendrie. Elle m’avait embrassé. Je lui avais avoué que je n’arrivais pas à me pardonner ce que j’avais fait ; elle avait abondé dans mon sens [au fait, tu changes beaucoup… c'est neutre en V.O.] :
— Je sais, tu ne mérites pas mon pardon.
Alors qu’elle tournait les talons, j’avais lancé :
— Dans trois ans, une heure avant Noël, je viendrai accrocher un foulard à ta fenêtre. Et si tu sors m’embrasser, je saurai que tu ne me hais plus.
— Tu ne te le rappelleras pas, avait-elle assuré. Tu ne te le rappelleras sûrement pas.

Justine a dit…

Camila s’était levée la première. Là encore, j'avais essayé de lui prendre la main. Mais sous le coup de la colère, elle s’était dérobée. Alors seulement, j’avais pleuré. L'espace d'un instant, ça l’avait attendrie. Elle m’avait embrassé. Je lui avais avoué que je n’arrivais pas à me pardonner ce que j’avais fait ; elle avait déclaré :
— Je sais, tu ne mérites pas mon pardon.
Alors qu’elle tournait les talons, j’avais lancé :
— Dans trois ans, une heure avant Noël, je viendrai accrocher un foulard à ta fenêtre. Et si tu sors m’embrasser, je saurai que tu ne me hais plus.
— Tu ne te le rappelleras pas, avait-elle assuré. Tu ne te le rappelleras sûrement pas.

Tradabordo a dit…

Camila s’était levée la première. Là encore, j'avais essayé de lui prendre la main. Mais sous le coup de la colère, elle s’était dérobée. Alors seulement, j’avais pleuré. L'espace d'un instant, ça l’avait attendrie. Elle m’avait embrassé. Je lui avais avoué que je n’arrivais pas à me pardonner ce que j’avais fait ; elle avait déclaré [« à quoi elle avait répondu » ?] :
— Je sais, tu ne mérites pas mon pardon.
Alors qu’elle tournait les talons, j’avais lancé :
— Dans trois ans, une heure avant Noël, je viendrai accrocher un foulard à ta fenêtre. Et si tu sors m’embrasser, je saurai que tu ne me hais plus.
— Tu ne te le rappelleras pas, avait-elle assuré. Tu ne te le rappelleras sûrement pas.

Tradabordo a dit…

Camila s’était levée la première. Là encore, j'avais essayé de lui prendre la main. Mais sous le coup de la colère, elle s’était dérobée. Alors seulement, j’avais pleuré. L'espace d'un instant, ça l’avait attendrie. Elle m’avait embrassé. Je lui avais avoué que je n’arrivais pas à me pardonner ce que j’avais fait ; elle avait déclaré [« à quoi elle avait répondu » ?] :
— Je sais, tu ne mérites pas mon pardon.
Alors qu’elle tournait les talons, j’avais lancé :
— Dans trois ans, une heure avant Noël, je viendrai accrocher un foulard à ta fenêtre. Et si tu sors m’embrasser, je saurai que tu ne me hais plus.
— Tu ne te le rappelleras pas, avait-elle assuré. Tu ne te le rappelleras sûrement pas.

Justine a dit…

Camila s’était levée la première. Là encore, j'avais essayé de lui prendre la main. Mais sous le coup de la colère, elle s’était dérobée. Alors seulement, j’avais pleuré. L'espace d'un instant, ça l’avait attendrie. Elle m’avait embrassé. Je lui avais avoué que je n’arrivais pas à me pardonner ce que j’avais fait ; à quoi elle avait répondu :
— Je sais, tu ne mérites pas mon pardon.
Alors qu’elle tournait les talons, j’avais lancé :
— Dans trois ans, une heure avant Noël, je viendrai accrocher un foulard à ta fenêtre. Et si tu sors m’embrasser, je saurai que tu ne me hais plus.
— Tu ne te le rappelleras pas, avait-elle assuré. Tu ne te le rappelleras sûrement pas.

Tradabordo a dit…

Camila s’était levée la première. Là encore, j'avais essayé de lui prendre la main. Mais sous le coup de la colère, elle s’était dérobée. Alors seulement, j’avais pleuré. L'espace d'un instant, ça l’avait attendrie. Elle m’avait embrassé. Je lui avais avoué que je n’arrivais pas à me pardonner ce que j’avais fait ; à quoi elle avait répondu :
— Je sais, tu ne mérites pas mon pardon.
Alors qu’elle tournait les talons, j’avais lancé :
— Dans trois ans, une heure avant Noël, je viendrai accrocher un foulard à ta fenêtre. Et si tu sors m’embrasser, je saurai que tu ne me hais plus.
— Tu ne te le rappelleras pas, avait-elle assuré. Tu ne te le rappelleras sûrement pas.

OK.