mardi 9 décembre 2014

Projet Manon 3 – phrases 129-130

Demasiadas veces él había sentido que los escritores eran más bien aprendices de mago que mediante ciertos sortilegios convocaban criaturas maravillosas que ellos mismos no podían inteligir. García Márquez —como todo artista que no se dijera mentiras a sí mismo— sabía que él realmente no había "creado" nada, tan sólo era —como cualquier pastorcito de Fátima— alguien a quien la Virgen se le había aparecido repetidas veces.

Traduction temporaire :

Il avait maintes fois eu l'intuition que les écrivains étaient surtout des apprentis sorciers qui, grâce à des sortilèges, convoquaient des créatures merveilleuses qu'eux-mêmes ne pouvaient comprendre. García Márquez, comme tout artiste incapable de se mentir, savait qu'il n'avait véritablement rien « créé » de lui-même – à l'instar de n'importe quel petit berger de Fátima (quelqu'un à qui la Vierge était apparue plusieurs fois).

7 commentaires:

Unknown a dit…

Il avait si souvent senti que les écrivains étaient plutôt des apprentis sorciers qui, grâce à certains sortilèges, convoquaient des créatures merveilleuses qu'eux-mêmes ne pouvaient comprendre. García Márquez, comme tout artiste qui ne pourrait se mentir à lui-même, savait qu'il n'avait véritablement rien « créé » à lui tout seul – à l'instar de n'importe quel petit berger de Fátima (quelqu'un à qui la Vierge était apparue plusieurs fois).

Unknown a dit…

J'hésite pour tous ces tirets, je pense que ça ne va pas en français, mais crois-tu que c'est volontaire de la part de l'auteur ?

Tradabordo a dit…

Il avait si souvent [« maintes fois » ?] senti [adapté ici ? J'hésite…] que les écrivains étaient plutôt [« surtout » ?] des apprentis sorciers qui, grâce à certains [nécessaire ?] sortilèges, convoquaient des créatures merveilleuses qu'eux-mêmes ne pouvaient comprendre. García Márquez, comme tout artiste qui ne pourrait [« incapable de » ?] se mentir à lui-même, savait qu'il n'avait véritablement rien « créé » à lui tout seul [pas très fluide + tu répètes « tout »] – à l'instar de n'importe quel petit berger de Fátima (quelqu'un à qui la Vierge était apparue plusieurs fois).

Unknown a dit…

Il avait maintes fois songé que les écrivains étaient surtout des apprentis sorciers qui, grâce à des sortilèges, convoquaient des créatures merveilleuses qu'eux-mêmes ne pouvaient comprendre. García Márquez, comme tout artiste incapable de se mentir [j'ai supprimé « à lui-même » pour ne pas répéter « lui-même »], savait qu'il n'avait véritablement rien « créé » de lui-même – à l'instar de n'importe quel petit berger de Fátima (quelqu'un à qui la Vierge était apparue plusieurs fois).

Tradabordo a dit…

Il avait maintes fois songé [« eut l'intuition » ?] que les écrivains étaient surtout des apprentis sorciers qui, grâce à des sortilèges, convoquaient des créatures merveilleuses qu'eux-mêmes ne pouvaient comprendre. García Márquez, comme tout artiste incapable de se mentir, savait qu'il n'avait véritablement rien « créé » de lui-même – à l'instar de n'importe quel petit berger de Fátima (quelqu'un à qui la Vierge était apparue plusieurs fois).

Unknown a dit…

Il avait maintes fois eu l'intuition que les écrivains étaient surtout des apprentis sorciers qui, grâce à des sortilèges, convoquaient des créatures merveilleuses qu'eux-mêmes ne pouvaient comprendre. García Márquez, comme tout artiste incapable de se mentir, savait qu'il n'avait véritablement rien « créé » de lui-même – à l'instar de n'importe quel petit berger de Fátima (quelqu'un à qui la Vierge était apparue plusieurs fois).

Tradabordo a dit…

Il avait maintes fois eu l'intuition que les écrivains étaient surtout des apprentis sorciers qui, grâce à des sortilèges, convoquaient des créatures merveilleuses qu'eux-mêmes ne pouvaient comprendre. García Márquez, comme tout artiste incapable de se mentir, savait qu'il n'avait véritablement rien « créé » de lui-même – à l'instar de n'importe quel petit berger de Fátima (quelqu'un à qui la Vierge était apparue plusieurs fois).

OK.