mercredi 21 janvier 2015

Projet Justine / Joana – phrases 466-469

Dejó el cuaderno lleno de sus historias escritas por mí, para mí, y se fue con el machote de lo que publicaría.Vi a Osorio unos días después de que Cecilia presentara su libro en un bar de Barranco. El pendejo me había guardado un recorte de periódico en el que salía alumbrada bajo un poste y el titular decía «De cabeza sobre el pasto amarillo» de Cecilia Podestá, dos atrevidos relatos.

Traduction temporaire :
Elle a laissé mon cahier rempli de ses histoires écrites par moi, pour moi, et elle est partie avec le brouillon de ce qu'elle allait publier. J'ai vu Osorio quelques jours après que Cecilia a présenté son livre dans un bar de Barranco. Ce crétin m'avait gardé une coupure de presse où elle apparaissait sous la lumière d'un réverbère, le tout agrémenté du titre : « La tête sur l'herbe jaune » de Cecilia Podestá, deux récits osés.

8 commentaires:

Justine a dit…

Elle a laissé mon cahier rempli de ses histoires écrites par moi, pour moi, et elle est partie avec le brouillon de ce qu'elle allait publier. J'ai vu Osorio quelques jours après que Cecilia a présenté son livre dans un bar de Barranco. Ce crétin m'avait gardé une coupure de presse où elle apparaissait sous la lumière d'un réverbère, avec les gros titres suivants : « La tête sur l'herbe jaune » de Cecilia Podestá, deux récits osés.

Tradabordo a dit…

Elle a laissé mon cahier rempli de ses histoires écrites par moi, pour moi, et elle est partie avec le brouillon de ce qu'elle allait publier. J'ai vu Osorio quelques jours après que Cecilia a présenté son livre dans un bar de Barranco. Ce crétin m'avait gardé une coupure de presse où elle apparaissait sous la lumière d'un réverbère, avec les gros titres [nécessaire d'en passer par là ?] suivants : « La tête sur l'herbe jaune » de Cecilia Podestá, deux récits osés.

Justine a dit…

Elle a laissé mon cahier rempli de ses histoires écrites par moi, pour moi, et elle est partie avec le brouillon de ce qu'elle allait publier. J'ai vu Osorio quelques jours après que Cecilia a présenté son livre dans un bar de Barranco. Ce crétin m'avait gardé une coupure de presse où elle apparaissait sous la lumière d'un réverbère, on pouvait lire : « La tête sur l'herbe jaune » de Cecilia Podestá, deux récits osés.

Tradabordo a dit…

Elle a laissé mon cahier rempli de ses histoires écrites par moi, pour moi, et elle est partie avec le brouillon de ce qu'elle allait publier. J'ai vu Osorio quelques jours après que Cecilia a présenté son livre dans un bar de Barranco. Ce crétin m'avait gardé une coupure de presse où elle apparaissait sous la lumière d'un réverbère, on pouvait lire [là, on ne comprend pas ; il faut qd même garder « titre »] : « La tête sur l'herbe jaune » de Cecilia Podestá, deux récits osés.

Justine a dit…

Elle a laissé mon cahier rempli de ses histoires écrites par moi, pour moi, et elle est partie avec le brouillon de ce qu'elle allait publier. J'ai vu Osorio quelques jours après que Cecilia a présenté son livre dans un bar de Barranco. Ce crétin m'avait gardé une coupure de presse où elle apparaissait sous la lumière d'un réverbère, titrée : « La tête sur l'herbe jaune » de Cecilia Podestá, deux récits osés.

Tradabordo a dit…

Elle a laissé mon cahier rempli de ses histoires écrites par moi, pour moi, et elle est partie avec le brouillon de ce qu'elle allait publier. J'ai vu Osorio quelques jours après que Cecilia a présenté son livre dans un bar de Barranco. Ce crétin m'avait gardé une coupure de presse où elle apparaissait sous la lumière d'un réverbère, titrée [« le tout agrémenté du / avec (?) le titre » ?] : « La tête sur l'herbe jaune » de Cecilia Podestá, deux récits osés.

Justine a dit…

Elle a laissé mon cahier rempli de ses histoires écrites par moi, pour moi, et elle est partie avec le brouillon de ce qu'elle allait publier. J'ai vu Osorio quelques jours après que Cecilia a présenté son livre dans un bar de Barranco. Ce crétin m'avait gardé une coupure de presse où elle apparaissait sous la lumière d'un réverbère, le tout agrémenté du titre : « La tête sur l'herbe jaune » de Cecilia Podestá, deux récits osés.

Tradabordo a dit…

Elle a laissé mon cahier rempli de ses histoires écrites par moi, pour moi, et elle est partie avec le brouillon de ce qu'elle allait publier. J'ai vu Osorio quelques jours après que Cecilia a présenté son livre dans un bar de Barranco. Ce crétin m'avait gardé une coupure de presse où elle apparaissait sous la lumière d'un réverbère, le tout agrémenté du titre : « La tête sur l'herbe jaune » de Cecilia Podestá, deux récits osés.

OK.