lundi 23 mars 2015

Projet Agathe 5 – phrase 46

Y miré las manos de uñas grandes que alisaban papel y me dije que si no lograba seducirlo, nunca esas palmas acariciarían mi cuerpo y sólo sería Clara Contardi, con su camisa con el logotipo del banco y la sonrisa dibujada en la ventanilla y los reproches de Tamara.

Traduction temporaire :
Je regardai ses mains, aux ongles longs, qui lissaient le papier, et je me dis que si je ne réussissais pas à le séduire maintenant, ces paumes ne caresseraient jamais mon corps, et que je serais seulement Clara Contardi, avec sa chemise imprimée du logo de la banque et son sourire dessiné derrière le guichet, condamnée à écouter les reproches de Tamara.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Je regardai ses mains aux longs ongles qui défroissaient le papier, et je me dis que si je ne réussissais pas à le séduir maintenant, ces paumes ne caresseraient jamais mon corps, et que je serais seulement Clara Contardi, avec sa chemise imprimée du logo de la banque et son sourire dessiné au guichet, cantonnée à écouter les reproches de Tamara.

Tradabordo a dit…

Je regardai ses mains aux longs ongles [inversez] qui défroissaient [« lissaient » ? J'hésite…] le papier, et je me dis que si je ne réussissais pas à le séduir [orthographe !] maintenant, ces paumes ne caresseraient jamais mon corps, et que je serais seulement Clara Contardi, avec sa chemise imprimée du logo de la banque et son sourire dessiné au [« derrière » ?] guichet, cantonnée à écouter les reproches de Tamara.

Unknown a dit…

Je regardai ses mains aux ongles longs qui lissaient le papier, et je me dis que si je ne réussissais pas à le séduire maintenant, ces paumes ne caresseraient jamais mon corps, et que je serais seulement Clara Contardi, avec sa chemise imprimée du logo de la banque et son sourire dessiné derrière le guichet, cantonnée à écouter les reproches de Tamara.

Tradabordo a dit…

Je regardai ses mains [virgule ?] aux ongles longs [virgule ?] qui lissaient le papier, et je me dis que si je ne réussissais pas à le séduire maintenant, ces paumes ne caresseraient jamais mon corps, et que je serais seulement Clara Contardi, avec sa chemise imprimée du logo de la banque et son sourire dessiné derrière le guichet, cantonnée [« condamnée » ?] à écouter les reproches de Tamara.

Unknown a dit…

Je regardai ses mains, aux ongles longs, qui lissaient le papier, et je me dis que si je ne réussissais pas à le séduire maintenant, ces paumes ne caresseraient jamais mon corps, et que je serais seulement Clara Contardi, avec sa chemise imprimée du logo de la banque et son sourire dessiné derrière le guichet, condamnée à écouter les reproches de Tamara.

Tradabordo a dit…

Je regardai ses mains, aux ongles longs, qui lissaient le papier, et je me dis que si je ne réussissais pas à le séduire maintenant, ces paumes ne caresseraient jamais mon corps, et que je serais seulement Clara Contardi, avec sa chemise imprimée du logo de la banque et son sourire dessiné derrière le guichet, condamnée à écouter les reproches de Tamara.

OK.