samedi 21 mars 2015

Projet Annelise 2 – phrases 152-154

Una vez me dijo, al acostarnos a dormir, que el padre también parecía que había perdido algo, desmembrado de alguna sensación, de algún criterio y que no sabe cómo ponerlo en palabras. Es ahora que te pones a pensar en esas cosas que no son más que absurdos que alguien dijo y que se te quedan incrustados en la cabeza para algo que no tiene sentido. Ahora he perdido a Didier, a la segunda familia.

Traduction temporaire :
Une fois, au moment de nous coucher, il m'a dit que son père semblait lui aussi avoir perdu quelque chose, être amputé d'une certaine sensation, d'un certain discernement, sans savoir comment l'exprimer avec des mots. Il est grand temps de se mettre à penser à ces histoires complètement absurdes, que quelqu'un a racontées, et qui restent gravées dans la mémoire alors qu'elles n'ont aucun sens. À présent, j'ai perdu Didier, et ma deuxième famille.

8 commentaires:

Anonyme a dit…

Annelise L

Une fois, au moment de nous coucher, il m'a dit que son père semblait lui aussi avoir perdu quelque chose, être démembré d'une sensation, d'un critère, sans savoir comment l'exprimer avec des mots. Il est grand temps de se mettre à penser à ces histoires complètement absurdes, que quelqu'un a dites, et qui restent gravées dans la mémoire au nom de je ne sais quoi d'insensé. A présent j'ai perdu Didier, et ma deuxième famille.

Tradabordo a dit…

Une fois, au moment de nous coucher, il m'a dit que son père semblait lui aussi avoir perdu quelque chose, être démembré [« amputé » ?] d'une sensation, d'un critère [tu as vérifié ; je ne dis pas que c'est faux… mais attention aux divers sens que peut avoir ce mot], sans savoir comment l'exprimer avec des mots. Il est grand temps de se [il s'adresse à un « tu » en particulier ou c'est général ? Je ne me souviens plus] mettre à penser à ces histoires complètement absurdes, que quelqu'un a dites [tu en as un au début ; si tu as une autre solution, ce serait mieux, mais bon…], et qui restent gravées dans la mémoire au nom de je ne sais quoi d'insensé. A [accentue tes majuscules] présent [VIRGULE !] j'ai perdu Didier, et ma deuxième famille.

Anonyme a dit…

Annelise L

Une fois, au moment de nous coucher, il m'a raconté que son père semblait lui aussi avoir perdu quelque chose, être amputé d'une sensation, d'une notion, sans savoir comment l'exprimer avec des mots. Il est grand temps de se mettre à penser à ces histoires complètement absurdes, que quelqu'un a dites, et qui restent gravées dans la mémoire au nom de je ne sais quoi d'insensé. À présent, j'ai perdu Didier, et ma deuxième famille.

Tradabordo a dit…

Une fois, au moment de nous coucher, il m'a raconté que son père semblait lui aussi avoir perdu quelque chose, être amputé d'une sensation, d'une notion [pas sûre de l'interprétation ; tu as regardé dans l'unilingue ?], sans savoir comment l'exprimer avec des mots. Il est grand temps de se mettre à penser à ces histoires complètement absurdes, que quelqu'un a dites [« racontées » ?], et qui restent gravées dans la mémoire au nom de [j'hésite ; le cas échéant, demande son avis à Elena] je ne sais quoi d'insensé. À présent, j'ai perdu Didier, et ma deuxième famille.

Anonyme a dit…

Annelise L

Une fois, au moment de nous coucher, il m'a dit que son père semblait lui aussi avoir perdu quelque chose, être amputé d'une certaine sensation, d'un certain discernement, sans savoir comment l'exprimer avec des mots. Il est grand temps de se mettre à penser à ces histoires complètement absurdes, que quelqu'un a racontées, et qui restent gravées dans la mémoire alors qu'elles n'ont aucun sens. À présent, j'ai perdu Didier, et ma deuxième famille.

Tradabordo a dit…

Une fois, au moment de nous coucher, il m'a dit que son père semblait lui aussi avoir perdu quelque chose, être amputé d'une certaine sensation, d'un certain discernement, sans savoir comment l'exprimer avec des mots. Il est grand temps de se mettre à penser à ces histoires complètement absurdes, que quelqu'un a racontées, et qui restent gravées dans la mémoire alors qu'elles [tu as eu l'avis d'Elena ?] n'ont aucun sens. À présent, j'ai perdu Didier, et ma deuxième famille.

Anonyme a dit…

Annelise L

Oui, elle aurait opté pour "alors que"

Tradabordo a dit…

Une fois, au moment de nous coucher, il m'a dit que son père semblait lui aussi avoir perdu quelque chose, être amputé d'une certaine sensation, d'un certain discernement, sans savoir comment l'exprimer avec des mots. Il est grand temps de se mettre à penser à ces histoires complètement absurdes, que quelqu'un a racontées, et qui restent gravées dans la mémoire alors qu'elles n'ont aucun sens. À présent, j'ai perdu Didier, et ma deuxième famille.

OK.