vendredi 20 mars 2015

Projet Odile 2 – phrases 137-148

Avanza caminando por el centro de la calle. No puede gritar más. Se ha asomado a todas las ventanas, ha allanado todas las viviendas, todos los lugares en los que sospechó algún signo de vida. Sólo camina. Llamaré a mis padres, decidió Julio. Marcó el número. No hubo respuesta. Marcó diez, veinte números. No hubo respuesta. Meditó un rato. ¿Y mi personaje?, pensó repentinamente. Lo dejé solo.

Traduction temporaire :
l avance en marchant au milieu de la chaussée. Il ne peut plus crier. Il s’est penché à toutes les fenêtres, s’est introduit dans tous les logements, dans tous les lieux où il a suspecté qu'il pourrait y avoir un quelconque signe de vie. Il ne fait que marcher. Je vais appeler mes parents, décida Julio. Il composa le numéro. Il n’y eut pas de réponse. Il réfléchit un instant. Et mon personnage ? pensa-t-il soudain. Je l’ai laissé seul.

17 commentaires:

Odile a dit…

Projet Odile 2 – phrases 137-148

Il avance en marchant au milieu de la chaussée. Il ne peut plus crier. Il s’est penché à toutes les fenêtres, il s’est introduit dans toutes les habitations, dans tous les lieux où il a suspecté quelque signe de vie. Il marche encore et encore. J’appellerai mes parents, décida Julio. Il composa le numéro. Il n’y eut pas de réponse. Il médita un instant. Et mon personnage ? pensa-t-il soudain. Je l’ai laissé seul.

Tradabordo a dit…

Il avance en marchant au milieu de la chaussée. Il ne peut plus crier. Il s’est penché à toutes les fenêtres, il [nécessaire ?] s’est introduit dans toutes les habitations, dans tous les lieux où il a suspecté quelque [« qu'il pourrait y avoir un quelconque » ?] signe de vie. Il marche encore et encore. J’appellerai [ou avec : « vais appeler » ? Comme tu préfères…] mes parents, décida Julio. Il composa [attention, tu mélanges les temps ; ici, tu as du PS alors qu'avant, tu as du PC ; je t'ai dit, il faut systématiser ; tu ne peux pas mélanger] le numéro. Il n’y eut pas de réponse. Il médita [mal dit] un instant. Et mon personnage ? pensa-t-il soudain. Je l’ai laissé seul.

Harmonise ton passage et il faudra penser à le faire au moment de la relecture.

Odile a dit…

Le paragraphe regroupe 2 niveaux de récit, je ne vois pas comment harmoniser ce passage.
J'ai tout faux ?

Tradabordo a dit…

Ah bon et tu verrais quoi comme lignes de récits, du coup ?

Anonyme a dit…

je ne comprends pas "lignes de récit", je suis perdue

Tradabordo a dit…

Si tu penses qu'il y a plusieurs moments qui justifient qu'on ait plusieurs temps du passé, quels seraient-ils ?

Odile a dit…

Il avance en marchant au milieu de la chaussée. Il ne peut plus crier. Il s’est penché à toutes les fenêtres, s’est introduit dans toutes les habitations, dans tous les lieux où il a suspecté qu'il pourrait y avoir un quelconque signe de vie. Il marche encore et encore.

Je vais appeler mes parents, décida Julio. Il composa le numéro. Il n’y eut pas de réponse. Il réfléchit un instant. Et mon personnage ? pensa-t-il soudain. Je l’ai laissé seul.


J’ai beau lire et relire tout le texte, je ne vois pas ce qui cloche au niveau des temps du passé. Sans doute quelque chose m’échappe au sujet de ces temps, ou du récit entier d’ailleurs.

Tradabordo a dit…

Il avance en marchant au milieu de la chaussée. Il ne peut plus crier. Il s’est penché à toutes les fenêtres, s’est introduit dans toutes les habitations [« logements » ?], dans tous les lieux où il a suspecté qu'il pourrait y avoir un quelconque signe de vie. Il marche encore et encore [« Il ne fait que marcher » ?]. Je vais appeler mes parents, décida [pour le passé simple, là, j'ai besoin que tu me dises ce qu'on a mis jusque-là quand on avait du passé simple ; je te laisse vérifier dans ta trad – cf « Travaux en cours » dans la colonne de droite du blog] Julio. Il composa le numéro. Il n’y eut pas de réponse. Il réfléchit un instant. Et mon personnage ? pensa-t-il soudain. Je l’ai laissé seul.

Odile a dit…

Il avance en marchant au milieu de la chaussée. Il ne peut plus crier. Il s’est penché à toutes les fenêtres, s’est introduit dans tous les logements, dans tous les lieux où il a suspecté qu'il pourrait y avoir un quelconque signe de vie. Il ne fait que marcher. Je vais appeler mes parents, décida Julio. Il composa le numéro. Il n’y eut pas de réponse. Il réfléchit un instant. Et mon personnage ? pensa-t-il soudain. Je l’ai laissé seul.

Pour la question du passé simple, dans le paragraphe suivant, j’ai employé 2 PC alors que ce sont 2 PS dans le texte (se cansó / le dedicó)
Phrases 39-45 : Julio leyó el párrafo. Tampoco le gustó. El dedo medio de la mano derecha atacó de nuevo la tecla larga en la que antes figuraba una flecha apuntando hacia la izquierda y que ha sido borrado por el uso frecuente. Es absurdo, se dijo, pero eso no es lo peor. Lo peor era, según él, el estilo. Las formas. Tampoco es verosímil la reacción del hombre solo. ¿Cómo reaccionaría la gente en esta circunstancia? No lo sabe. Ha perdido contacto con la gente. El aislamiento, el claustro del oficio. El teléfono desconectado, la novia que se cansó de esperar. El padre que lo atenaza con reproches. Que la última vez, en la comida, le dedicó la canción, la que dice vas muriendo en mi recuerdo. ¿Cómo reacciona la gente sola que advierte, como yo, que está sola? El hombre está solo porque todos se han ido. Mi experiencia no sirve. Soy yo el que se fue a la mierda.

Odile a dit…

Et aussi dans la dernière phrase de ce même paragraphe

Tradabordo a dit…

OK… mais je ne comprends pas pourquoi tu distingues les plans et que cela te pousses à mettre tantôt du PS, tantôt du PC. Je ne dis pas que tu as tort, je ne vois juste pas pourquoi.

Odile a dit…

Dans le dernier paragraphe (lignes 137-138), je ne voyais pas comment harmoniser ce passage au PS ou au PC. Je pensais que c’est ce que tu me demandais.
Puis, j'ai repris le texte en regardant les temps employés pour "Julio" et pour "Il" (c'est pour ça que je parle, maladroitement sans doute, de niveaux de récit) et je ne voyais toujours pas comment harmoniser les temps.

Tradabordo a dit…

Donc, que je comprenne : il te semble que pour Julio et il, il ne faut pas employer les mêmes temps, c'est ça ?

Odile a dit…

Oui, et de mémoire, jusqu'à ce paragraphe, le PC c'est pour le monologue intérieur de Julio.

Tradabordo a dit…

OK. Dans ce cas, remets-moi la bonne version de ce fragment + au moment de la relecture, il faudra s'assurer que le système que tu mets en place est bien respecté d'un bout à l'autre.

Odile a dit…

Projet Odile 2 – phrases 137-148

Il avance en marchant au milieu de la chaussée. Il ne peut plus crier. Il s’est penché à toutes les fenêtres, s’est introduit dans tous les logements, dans tous les lieux où il a suspecté qu'il pourrait y avoir un quelconque signe de vie. Il ne fait que marcher. Je vais appeler mes parents, décida Julio. Il composa le numéro. Il n’y eut pas de réponse. Il réfléchit un instant. Et mon personnage ? pensa-t-il soudain. Je l’ai laissé seul.

Tradabordo a dit…

l avance en marchant au milieu de la chaussée. Il ne peut plus crier. Il s’est penché à toutes les fenêtres, s’est introduit dans tous les logements, dans tous les lieux où il a suspecté qu'il pourrait y avoir un quelconque signe de vie. Il ne fait que marcher. Je vais appeler mes parents, décida Julio. Il composa le numéro. Il n’y eut pas de réponse. Il réfléchit un instant. Et mon personnage ? pensa-t-il soudain. Je l’ai laissé seul.

OK.