mardi 31 mars 2015

Projet Émilie 8 – phrases 111-117

Regresé temprano y rendido. Nunca me acogí al lecho con más grata pesadez de sueño. Desperté bañado en sudor, los ojos turbios, la garganta reseca. Había afuera un rumor de lluvia. Buscando algo, me apoyé en la pared, y por mi cuerpo corrió como un latigazo el escalofrío del miedo. La pared estaba caliente y conmovida por una sorda vibración. Casi no necesité abrir la ventana para darme cuenta de lo que ocurría.

Traduction temporaire :
Je rentrai tôt, épuisé. Jamais je n’avais rejoint mon lit si agréablement alourdi de sommeil. Je m’éveillai en sueur, la vue brouillée, la gorge sèche. Dehors, on entendait le bruit de la pluie. En tâtonnant un peu, je m’appuyai contre le mur : le frisson de la peur parcourut mon corps, tel un coup de fouet. La paroi était chaude et ébranlée par une vibration sourde. Je n’eus quasiment pas besoin d’ouvrir la fenêtre pour me rendre compte de ce qui se passait.

10 commentaires:

Emilie a dit…

Je rentrai tôt, épuisé. Jamais je n’avais rejoint mon lit si agréablement alourdi de sommeil.
Je m’éveillai en sueur, la vue brouillée, la gorge sèche. Dehors, il y avait un bruit de pluie. En quête de quelque chose, je m’appuyai sur le mur : tel un coup de fouet, le frisson de la peur me parcourut le corps. La paroi était chaude et ébranlée par une vibration sourde. Je n’eus quasiment pas besoin d’ouvrir la fenêtre pour me rendre compte de ce qui se passait.

Tradabordo a dit…

Je rentrai tôt, épuisé. Jamais je n’avais rejoint mon lit si agréablement alourdi de sommeil.
Je m’éveillai en sueur, la vue brouillée, la gorge sèche. Dehors, il y avait un bruit de pluie [bof]. En quête de quelque chose [bof], je m’appuyai sur le mur : tel un coup de fouet, le frisson de la peur me parcourut [bof] le corps. La paroi était chaude et ébranlée par une vibration sourde. Je n’eus quasiment pas besoin d’ouvrir la fenêtre pour me rendre compte de ce qui se passait.

3 bof, quoi ;-)))) Jajaja… amuse-toi bien.

Emilie a dit…

Pffff, c'est malin... D'autant que je ne suis guère inspirée...

Je rentrai tôt, épuisé. Jamais je n’avais rejoint mon lit si agréablement alourdi de sommeil.
Je m’éveillai en sueur, la vue brouillée, la gorge sèche. Dehors, on entendait la pluie. En tâtonnant, je m’appuyai sur le mur : tel un coup de fouet, le frisson de la peur me traversa le corps. La paroi était chaude et ébranlée par une vibration sourde. Je n’eus quasiment pas besoin d’ouvrir la fenêtre pour me rendre compte de ce qui se passait.

Tradabordo a dit…

Je rentrai tôt, épuisé. Jamais je n’avais rejoint mon lit si agréablement alourdi de sommeil.
Je m’éveillai en sueur, la vue brouillée, la gorge sèche. Dehors, on entendait [« le bruit de » ?] la pluie. En tâtonnant [CS ?], je m’appuyai sur le mur : tel un coup de fouet, le frisson de la peur me traversa le corps [« parcourut mon corps » ?]. La paroi était chaude et ébranlée par une vibration sourde. Je n’eus quasiment pas besoin d’ouvrir la fenêtre pour me rendre compte de ce qui se passait.

Emilie a dit…

Je rentrai tôt, épuisé. Jamais je n’avais rejoint mon lit si agréablement alourdi de sommeil.
Je m’éveillai en sueur, la vue brouillée, la gorge sèche. Dehors, on entendait le bruit de la pluie. En cherchant mes repères [CS ? pas sûre de ça non plus], je m’appuyai sur le mur : tel un coup de fouet, le frisson de la peur parcourut mon corps. La paroi était chaude et ébranlée par une vibration sourde. Je n’eus quasiment pas besoin d’ouvrir la fenêtre pour me rendre compte de ce qui se passait.

Tradabordo a dit…

Je rentrai tôt, épuisé. Jamais je n’avais rejoint mon lit si agréablement alourdi de sommeil.
Je m’éveillai en sueur, la vue brouillée, la gorge sèche. Dehors, on entendait le bruit de la pluie. En cherchant mes repères [CS ? pas sûre de ça non plus], je m’appuyai sur le mur : tel un coup de fouet, le frisson de la peur parcourut mon corps. La paroi était chaude et ébranlée par une vibration sourde. Je n’eus quasiment pas besoin d’ouvrir la fenêtre pour me rendre compte de ce qui se passait.

ALGO dans le sens de « un peu » ?

Emilie a dit…

Je rentrai tôt, épuisé. Jamais je n’avais rejoint mon lit si agréablement alourdi de sommeil.
Je m’éveillai en sueur, la vue brouillée, la gorge sèche. Dehors, on entendait le bruit de la pluie. En cherchant un peu, je m’appuyai sur le mur : tel un coup de fouet, le frisson de la peur parcourut mon corps. La paroi était chaude et ébranlée par une vibration sourde. Je n’eus quasiment pas besoin d’ouvrir la fenêtre pour me rendre compte de ce qui se passait.

Tradabordo a dit…

Je rentrai tôt, épuisé. Jamais je n’avais rejoint mon lit si agréablement alourdi de sommeil.
Je m’éveillai en sueur, la vue brouillée, la gorge sèche. Dehors, on entendait le bruit de la pluie. En cherchant [dans le sens de « tâtonnant » ?] un peu, je m’appuyai sur [« contre » ?] le mur : tel un coup de fouet [ou ça à la fin ? Essaie et vois ce qui est mieux], le frisson de la peur parcourut mon corps. La paroi était chaude et ébranlée par une vibration sourde. Je n’eus quasiment pas besoin d’ouvrir la fenêtre pour me rendre compte de ce qui se passait.

Emilie a dit…

Je rentrai tôt, épuisé. Jamais je n’avais rejoint mon lit si agréablement alourdi de sommeil.
Je m’éveillai en sueur, la vue brouillée, la gorge sèche. Dehors, on entendait le bruit de la pluie. En tâtonnant un peu, je m’appuyai contre le mur : le frisson de la peur parcourut mon corps, tel un coup de fouet. La paroi était chaude et ébranlée par une vibration sourde. Je n’eus quasiment pas besoin d’ouvrir la fenêtre pour me rendre compte de ce qui se passait.

Tradabordo a dit…

Je rentrai tôt, épuisé. Jamais je n’avais rejoint mon lit si agréablement alourdi de sommeil.
Je m’éveillai en sueur, la vue brouillée, la gorge sèche. Dehors, on entendait le bruit de la pluie. En tâtonnant un peu, je m’appuyai contre le mur : le frisson de la peur parcourut mon corps, tel un coup de fouet. La paroi était chaude et ébranlée par une vibration sourde. Je n’eus quasiment pas besoin d’ouvrir la fenêtre pour me rendre compte de ce qui se passait.

OK.