mercredi 25 mars 2015

Projet Sarah 19 – phrases 42-44

Yo quisiera que todo esto no pasara, papá, que no ocurriera, y que las cosas volvieran a ser como antes, cuando usted estaba en la casa. Yo siempre me acuerdo de cuando usted se levantaba al alba con el canto del gallo, qué lindo hombre era usted, papá, cuando yo le veía en la madrugada y usted se iba a sembrar, que era un buen sembrador, usted, me dijo mi hermano. Y lo que más me apena, papá, es que mi mamá dice que si ella se vuelve para los cerros, nosotros, mi hermano y yo, deberemos quedarnos en el pueblo, porque ese es nuestro lugar, ha dicho ella, nuestro lugar en la tierra.

Traduction temporaire :
J'aimerais que cela n'ait pas eu lieu, papa, que rien ne se soit pas passé, et que tout redevienne comme avant, lorsque vous viviez à la maison. J'ai sans cesse en mémoire ces moments où vous vous leviez à l'aube, avec le chant du coq, quel bel homme vous étiez, papa, quand je vous voyais au petit matin et que vous partiez semer, chose que vous faisiez bien, selon mon frère. Ce qui m'attriste le plus, papa, c'est que si maman retourne dans les collines, mon frère et moi, nous devrons rester au village, car c'est notre endroit, a-t-elle dit, notre lieu sur terre.

6 commentaires:

Unknown a dit…

J'aimerais que rien de ceci n'ait lieu, papa, que cela ne se passe pas, et que tout redevienne comme avant, lorsque vous viviez à la maison. J'ai sans cesse en mémoire ces moments où vous vous leviez à l'aube avec le chant du coq, quel bel homme vous étiez, papa, quand je vous voyais au petit matin et que vous partiez semer, chose que vous maîtrisiez bien, selon mon frère. Ce qui m'attriste le plus, papa, est que pour maman, si elle repart dans les collines, mon frère et moi devrons rester au village, car c'est notre endroit, a-t-elle dit, notre lieu sur terre.

Tradabordo a dit…

J'aimerais que rien de ceci [« cela »] n'ait [« eu » ?] lieu, papa, que cela ne se passe [temps ?] pas, et que tout redevienne comme avant, lorsque vous viviez à la maison. J'ai sans cesse en mémoire ces moments où vous vous leviez à l'aube [virgule] avec le chant du coq, quel bel homme vous étiez, papa, quand je vous voyais au petit matin et que vous partiez semer, chose que vous maîtrisiez [naturel ici ?] bien, selon mon frère. Ce qui m'attriste le plus, papa, est [pas très naturel] que pour maman [pas plus simple avec : « si maman… » ?], si elle repart dans les collines, mon frère et moi devrons rester au village, car c'est notre endroit, a-t-elle dit, notre lieu sur terre.

Unknown a dit…

J'aimerais que cela n'ait pas eu lieu, papa, que rien ne se soit pas passé, et que tout redevienne comme avant, lorsque vous viviez à la maison. J'ai sans cesse en mémoire ces moments où vous vous leviez à l'aube, avec le chant du coq, quel bel homme vous étiez, papa, quand je vous voyais au petit matin et que vous partiez semer, chose que vous faisiez bien, selon mon frère. Ce qui m'attriste le plus, papa, c'est que si maman retourne dans les collines, mon frère et moi devrons rester au village, car c'est notre endroit, a-t-elle dit, notre lieu sur terre.

Tradabordo a dit…

J'aimerais que cela n'ait pas eu lieu, papa, que rien ne se soit pas passé, et que tout redevienne comme avant, lorsque vous viviez à la maison. J'ai sans cesse en mémoire ces moments où vous vous leviez à l'aube, avec le chant du coq, quel bel homme vous étiez, papa, quand je vous voyais au petit matin et que vous partiez semer, chose que vous faisiez bien, selon mon frère. Ce qui m'attriste le plus, papa, c'est que si maman retourne dans les collines, mon frère et moi [«, nous » ou inutile ? Comme tu veux] devrons rester au village, car c'est notre endroit, a-t-elle dit, notre lieu sur terre.

Unknown a dit…

J'aimerais que cela n'ait pas eu lieu, papa, que rien ne se soit pas passé, et que tout redevienne comme avant, lorsque vous viviez à la maison. J'ai sans cesse en mémoire ces moments où vous vous leviez à l'aube, avec le chant du coq, quel bel homme vous étiez, papa, quand je vous voyais au petit matin et que vous partiez semer, chose que vous faisiez bien, selon mon frère. Ce qui m'attriste le plus, papa, c'est que si maman retourne dans les collines, mon frère et moi, nous devrons rester au village, car c'est notre endroit, a-t-elle dit, notre lieu sur terre.

Tradabordo a dit…

J'aimerais que cela n'ait pas eu lieu, papa, que rien ne se soit pas passé, et que tout redevienne comme avant, lorsque vous viviez à la maison. J'ai sans cesse en mémoire ces moments où vous vous leviez à l'aube, avec le chant du coq, quel bel homme vous étiez, papa, quand je vous voyais au petit matin et que vous partiez semer, chose que vous faisiez bien, selon mon frère. Ce qui m'attriste le plus, papa, c'est que si maman retourne dans les collines, mon frère et moi, nous devrons rester au village, car c'est notre endroit, a-t-elle dit, notre lieu sur terre.

OK.