jeudi 17 juillet 2014

Projet Alison 2 – phrases 12-13

Después la noche en la cucheta de arriba, ventanilla abierta invitando al paisaje, alguna vez la luna trepada a un caldén solitario y un amanecer radiante que me sorprendía apenas adormilada. (Desde chica practico esta permanencia de las noches en vela, ahora sin trenes, la luz filtrándose por las persianas del dormitorio).

Traduction temporaire :
Ensuite, la nuit, sur la couchette du haut, vitre ouverte invitant à admirer le paysage, parfois, la lune juchée sur un caldén solitaire, puis un lever de soleil radieux qui me surprenait à peine étais-je assoupie. (Depuis toute petite, je m'exerce aux nuits blanches, aujourd'hui sans plus de trains, juste avec la lumière filtrant à travers les persiennes de ma chambre).

8 commentaires:

Unknown a dit…

Ensuite, la nuit, dans la couchette du haut, fenêtre ouverte, invitant le paysage, de temps en temps, la lune grimpée sur un caldén solitaire, et un lever de soleil radieux qui me surprenait à peine assoupie. (Depuis toute petite, je m'exerce aux nuits blanches, aujourd'hui sans trains, la lumière filtrant à travers les persiennes de ma chambre).

Tradabordo a dit…

Ensuite, la nuit, dans [ou « sur » ? Vérifiez, au pire avec la fréquence d'usage sur Google – le nombre d'occurrences quand vous le mettez avec des guillemets] la couchette du haut, fenêtre [s'il s'agit d'un train, est-ce le terme le plus adapté – même si ça va… ?] ouverte, invitant le [pas sûre de l'interprétation] paysage, de temps en temps [simplifiez], la lune grimpée [« juchée »] sur un caldén [c'est quoi ?] solitaire, et [embêtant, on croit que la lune est juchée dessus aussi] un lever de soleil radieux qui me surprenait à peine assoupie. (Depuis toute petite, je m'exerce aux nuits blanches, aujourd'hui sans trains, la lumière filtrant à travers les persiennes de ma chambre).

Tradabordo a dit…

Ensuite, la nuit, dans [ou « sur » ? Vérifiez, au pire avec la fréquence d'usage sur Google – le nombre d'occurrences quand vous le mettez avec des guillemets] la couchette du haut, fenêtre [s'il s'agit d'un train, est-ce le terme le plus adapté – même si ça va… ?] ouverte, invitant le [pas sûre de l'interprétation] paysage, de temps en temps [simplifiez], la lune grimpée [« juchée »] sur un caldén [c'est quoi ?] solitaire, et [embêtant, on croit que la lune est juchée dessus aussi] un lever de soleil radieux qui me surprenait à peine assoupie. (Depuis toute petite, je m'exerce aux nuits blanches, aujourd'hui sans trains, la lumière filtrant à travers les persiennes de ma chambre).

Tradabordo a dit…

Ensuite, la nuit, dans [ou « sur » ? Vérifiez, au pire avec la fréquence d'usage sur Google – le nombre d'occurrences quand vous le mettez avec des guillemets] la couchette du haut, fenêtre [s'il s'agit d'un train, est-ce le terme le plus adapté – même si ça va… ?] ouverte, invitant le [pas sûre de l'interprétation] paysage, de temps en temps [simplifiez], la lune grimpée [« juchée »] sur un caldén [c'est quoi ?] solitaire, et [embêtant, on croit que la lune est juchée dessus aussi] un lever de soleil radieux qui me surprenait à peine assoupie. (Depuis toute petite, je m'exerce aux nuits blanches, aujourd'hui sans trains, la lumière filtrant à travers les persiennes de ma chambre).

Unknown a dit…

[Le caldén est un arbre, proche de l'acacia et du mimosa du genre Prosopis, typique de la pampa argentine. Je n'ai pas trouvé de traduction française, il semblerait qu'en français on utilise également le mot "caldén" pour le désigner, puisque c'est une espèce inféodée à l'Argentine.]

Ensuite, la nuit, sur la couchette du haut, fenêtre ouverte invitant à admirer le paysage, parfois, la lune juchée sur un caldén solitaire, puis un lever de soleil radieux qui me surprenait à peine assoupie. (Depuis toute petite, je m'exerce aux nuits blanches, aujourd'hui sans trains, la lumière filtrant à travers les persiennes de ma chambre).

Tradabordo a dit…

Ensuite, la nuit, sur la couchette du haut, fenêtre ouverte invitant à admirer le paysage, parfois, la lune juchée sur un caldén solitaire, puis un lever de soleil radieux qui me surprenait à peine [cheville : « étais-je » ?] assoupie. (Depuis toute petite, je m'exerce aux nuits blanches, aujourd'hui sans [« plus de » ?] trains, [cheville : « juste avec » ou inutile ? Je vous laisse juger] la lumière filtrant à travers les persiennes de ma chambre).

Unknown a dit…

Bonjour, je ne comprends pas, votre commentaire n'est pas apparu sur la page. Il est apparu seulement quand j'ai cliqué sur "ajouter un commentaire" :-S (du coup je m'inquiétais ;) !)
Pour la fenêtre du train, j'ai pensé peut-être tout simplement à la "vitre", ou est-ce qu'on laisse "fenêtre"? Le "hublot" c'est pour le bateau ou l'avion, je ne crois pas qu'il y ait de terme spécifique pour la fenêtre d'un train...

Ensuite, la nuit, sur la couchette du haut, vitre ouverte invitant à admirer le paysage, parfois, la lune juchée sur un caldén solitaire, puis un lever de soleil radieux qui me surprenait à peine étais-je assoupie. (Depuis toute petite, je m'exerce aux nuits blanches, aujourd'hui sans plus de trains, juste avec la lumière filtrant à travers les persiennes de ma chambre).

Tradabordo a dit…

Il y a parfois des bugs… Ne vous inquiétez pas. de toute façon, quand vous voyez que ça bouge chez les autres, mais pas chez vous depuis quelques jours, vous pouvez être certaine qu'il y a un problème… et dans ce cas, vous m'envoyez un mail.

Ensuite, la nuit, sur la couchette du haut, vitre ouverte invitant à admirer le paysage, parfois, la lune juchée sur un caldén solitaire, puis un lever de soleil radieux qui me surprenait à peine étais-je assoupie. (Depuis toute petite, je m'exerce aux nuits blanches, aujourd'hui sans plus de trains, juste avec la lumière filtrant à travers les persiennes de ma chambre).

OK.