vendredi 25 juillet 2014

Projet Aurélie – phrases 17-18

A los 25 años no podía seguir pensando en los huevos del gallo y trabajaba como una loca, "aunque tenga que chupar kilómetros de pinga", decía. Ella se arreglaba, se pintaba, se compraba ropa bonita y calzones con bobos que siempre terminaba regalando a sus voraces clientes.

Traduction temporaire :
À 25 ans, elle ne pouvait plus continuer de bayer aux corneilles et elle travaillait comme une folle, "même si je dois sucer des kilomètres de bite", disait-elle. Elle se pomponnait, se maquillait, s'achetait de jolis vêtements et des culottes à froufrou qu'elle finissait toujours par offrir à ses clients voraces.

4 commentaires:

Unknown a dit…

À 25 ans elle ne pouvait plus continuer à rêvasser et elle travaillait comme une folle, "même si je dois sucer des kilomètres de bite", disait-elle. Elle se pomponnait, se maquillait, s'achetait de jolis vêtements et des culottes à froufrou qu'elle finissait toujours par offrir à ses clients voraces.

Tradabordo a dit…

À 25 ans [virgule] elle ne pouvait plus continuer à rêvasser [c'est une expression en V.O. ; il faut une expression en français… Sinon, tu as une rupture de style] et elle travaillait comme une folle, "même si je dois sucer des kilomètres de bite", disait-elle. Elle se pomponnait, se maquillait, s'achetait de jolis vêtements et des culottes à froufrou qu'elle finissait toujours par offrir à ses clients voraces.

Unknown a dit…

À 25 ans, elle ne pouvait plus continuer de bayer aux corneilles et elle travaillait comme une folle, "même si je dois sucer des kilomètres de bite", disait-elle. Elle se pomponnait, se maquillait, s'achetait de jolis vêtements et des culottes à froufrou qu'elle finissait toujours par offrir à ses clients voraces.

Tradabordo a dit…

À 25 ans, elle ne pouvait plus continuer de bayer aux corneilles et elle travaillait comme une folle, "même si je dois sucer des kilomètres de bite", disait-elle. Elle se pomponnait, se maquillait, s'achetait de jolis vêtements et des culottes à froufrou, qu'elle finissait toujours par offrir à ses clients voraces.

Avec l'ajout d'une virgule, OK.