vendredi 25 juillet 2014

Projet Morgane 12 – phrases 70-74

Escribo y leo la palabra inocente y pienso en nosotros y en esa adolescencia edénica del noventa y tres en la que parecíamos inmunes a lo que ocurría fuera de la playa. Estábamos lejos. Disfrutábamos del verano. Comíamos helados, tomábamos cerveza, cocinábamos chorizos y carne los domingos en la terraza viendo los partidos de fútbol por la tele. Mi padre organizaba esas reuniones familiares con Charito y Mercedes y el tío Memo y la tía Yolanda y se reía y emborrachaba y nos acariciaba el pelo con dulzura y gritaba los goles de Universitario como un poseso.

Traduction temporaire :
J'écris puis lis le mot innocent et pense à nous, à cette adolescence édénique de l'année quatre-vingt-treize, où nous paraissions immunisés contre ce qu'il se passait en-dehors de la plage. Nous étions loin. Nous profitions de l'été. Nous buvions de la bière, mangions des glaces, du chorizo et de la viande sur la terrasse le dimanche, en regardant des matchs de football à la télé. Mon père organisait ces réunions familiales avec Charito, Mercedes, l'oncle Memo et la tante Yolanda. Il riait, se soûlait, nous caressait les cheveux avec douceur, et il criait, comme possédé, quand l'Universitario marquait un but.

10 commentaires:

Unknown a dit…

J'écris et je lis le mot innocent et je pense à nous et à cette adolescence édénique de l'année quatre-vingt-treize, durant laquelle nous paraissions exempts de ce qu'il se passait en-dehors de la plage. Nous étions loin. Nous profitions de l'été. Nous mangions des glaces, buvions des bières, cuisinions des chorizos et de la viande les dimanches sur la terrasse, en regardant des matchs de football à la télé. Mon père organisait ces réunions familiales avec Charito et Mercedes, et l'oncle Memo et la tante Yolanda, et il riait, se soûlait, et il nous caressait les cheveux avec douceur, et il criait, comme possédé, quand l'Universitario marquait un but.

Tradabordo a dit…

J'écris et je lis le mot innocent et je pense à nous et

Ça fait beaucoup de « et » tout ça. Trouve une solution.

à cette adolescence édénique de l'année quatre-vingt-treize, durant laquelle nous paraissions exempts de ce qu'il se passait en-dehors de la plage. Nous étions loin. Nous profitions de l'été. Nous mangions des glaces, buvions des bières, cuisinions des chorizos et de la viande les dimanches sur la terrasse, en regardant des matchs de football à la télé. Mon père organisait ces réunions familiales avec Charito et Mercedes, et l'oncle Memo et la tante Yolanda, et il riait, se soûlait, et il nous caressait les cheveux avec douceur, et il criait, comme possédé, quand l'Universitario marquait un but.

Unknown a dit…

J'écris puis je lis le mot innocent et je pense à nous, à cette adolescence édénique de l'année quatre-vingt-treize, durant laquelle nous paraissions exempts de ce qu'il se passait en-dehors de la plage. Nous étions loin. Nous profitions de l'été. Nous mangions des glaces, buvions des bières, cuisinions des chorizos et de la viande les dimanches sur la terrasse, en regardant des matchs de football à la télé. Mon père organisait ces réunions familiales avec Charito et Mercedes, et l'oncle Memo et la tante Yolanda, et il riait, se soûlait, et il nous caressait les cheveux avec douceur, et il criait, comme possédé, quand l'Universitario marquait un but.

Tradabordo a dit…

J'écris puis je lis le mot innocent et je pense à nous, à cette adolescence édénique de l'année quatre-vingt-treize, durant laquelle [« où » .] nous paraissions exempts [non, ça ne va pas.] de ce qu'il se passait en-dehors de la plage. Nous étions loin. Nous profitions de l'été. Nous mangions des glaces, buvions des bières [au singulier ?], cuisinions [bof] des chorizos [au singulier] et de la viande les dimanches [au singulier ?] sur la terrasse, en regardant des matchs de football à la télé.

Mon père organisait ces réunions familiales avec Charito et Mercedes, et l'oncle Memo et la tante Yolanda, et il riait, se soûlait, et il nous caressait les cheveux avec douceur, et il criait, comme possédé, quand l'Universitario marquait un but.

Unknown a dit…

J'écris puis je lis le mot innocent et je pense à nous, à cette adolescence édénique de l'année quatre-vingt-treize, où nous paraissions immunisés contre ce qu'il se passait en-dehors de la plage. Nous étions loin. Nous profitions de l'été. Nous mangions des glaces, buvions de la bière, mangions du chorizo et de la viande le dimanche sur la terrasse, en regardant des matchs de football à la télé.
Mon père organisait ces réunions familiales avec Charito et Mercedes, et l'oncle Memo et la tante Yolanda, et il riait, se soûlait, et il nous caressait les cheveux avec douceur, et il criait, comme possédé, quand l'Universitario marquait un but.

Tradabordo a dit…

J'écris puis je lis le mot innocent et je pense à nous, à cette adolescence édénique de l'année quatre-vingt-treize, où nous paraissions immunisés contre ce qu'il se passait en-dehors de la plage. Nous étions loin. Nous profitions de l'été. Nous mangions des glaces, buvions de la bière, mangions du chorizo et de la viande le dimanche sur la terrasse [avance-le], en regardant des matchs de football à la télé.
Mon père organisait ces réunions familiales avec Charito et Mercedes, et l'oncle Memo et la tante Yolanda, et [point ?] il riait, se soûlait, et il nous caressait les cheveux avec douceur, et il criait, comme possédé, quand l'Universitario marquait un but.

Essaie de faire un peu le ménage dans tous ces « et ».

Unknown a dit…

J'écris puis je lis le mot innocent et je pense à nous, à cette adolescence édénique de l'année quatre-vingt-treize, où nous paraissions immunisés contre ce qu'il se passait en-dehors de la plage. Nous étions loin. Nous profitions de l'été. Nous mangions des glaces, buvions de la bière, mangions du chorizo et de la viande sur la terrasse le dimanche, en regardant des matchs de football à la télé.
Mon père organisait ces réunions familiales avec Charito, Mercedes, l'oncle Memo et la tante Yolanda. Il riait, se soûlait, nous caressait les cheveux avec douceur, et il criait, comme possédé, quand l'Universitario marquait un but.

Tradabordo a dit…

J'écris puis je [nécessaire ? J'hésite] lis le mot innocent et je [idem] pense à nous, à cette adolescence édénique de l'année quatre-vingt-treize, où nous paraissions immunisés contre ce qu'il se passait en-dehors de la plage. Nous étions loin. Nous profitions de l'été. Nous mangions [vois si en modifiant la syntaxe tu peux éviter la répétition ; ou alors, si ça n'est pas le même moment, mets « acheter » ici] des glaces, buvions de la bière, mangions du chorizo et de la viande sur la terrasse le dimanche, en regardant des matchs de football à la télé.
Mon père organisait ces réunions familiales avec Charito, Mercedes, l'oncle Memo et la tante Yolanda. Il riait, se soûlait, nous caressait les cheveux avec douceur, et il criait, comme possédé, quand l'Universitario marquait un but.

Unknown a dit…

J'écris puis lis le mot innocent et pense à nous, à cette adolescence édénique de l'année quatre-vingt-treize, où nous paraissions immunisés contre ce qu'il se passait en-dehors de la plage. Nous étions loin. Nous profitions de l'été. Nous buvions de la bière, mangions des glaces, du chorizo et de la viande sur la terrasse le dimanche, en regardant des matchs de football à la télé.
Mon père organisait ces réunions familiales avec Charito, Mercedes, l'oncle Memo et la tante Yolanda. Il riait, se soûlait, nous caressait les cheveux avec douceur, et il criait, comme possédé, quand l'Universitario marquait un but.

Tradabordo a dit…

J'écris puis lis le mot innocent et pense à nous, à cette adolescence édénique de l'année quatre-vingt-treize, où nous paraissions immunisés contre ce qu'il se passait en-dehors de la plage. Nous étions loin. Nous profitions de l'été. Nous buvions de la bière, mangions des glaces, du chorizo et de la viande sur la terrasse le dimanche, en regardant des matchs de football à la télé.
Mon père organisait ces réunions familiales avec Charito, Mercedes, l'oncle Memo et la tante Yolanda. Il riait, se soûlait, nous caressait les cheveux avec douceur, et il criait, comme possédé, quand l'Universitario marquait un but.

OK.