samedi 19 juillet 2014

Projet Élise 4 – phrases 40-41

Hasta es posible aspirar su antiguo aroma y escuchar - como requiebros de tiempo - pisadas, risa de niños, el ladrido de la mascota juguetona, el trajinar de la siesta... El que todo siga igual, el llanto bajito y triste abismado en algún lugar y las voces fantasmas que recorren las piezas de la casa vacía, fueron la causa de mi miedo, ese miedo ubicuo que nace en la convergencia de olvidos y recuerdos, de hechos ocurridos e imaginados que me obligaron a permanecer en el patio, con una mano apoyada en el picaporte de la puerta que da a la pieza donde el muerto ya no puede estar, porque se lo enterró la tarde anterior.

Traduction temporaire :
On peut même sentir son ancien parfum et entendre – comme des failles dans le temps – des bruits de pas, des rires d'enfants, les aboiements du chien joueur de la maison, le va-et-vient de la sieste… Le fait que rien ne change, les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause de ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte donnant sur la pièce où le mort ne peut plus se trouver, puisqu'il a été enterré la veille.

18 commentaires:

Unknown a dit…

On pouvait même sentir son ancien parfum et entendre - comme des failles dans le temps - des bruits de pas, des rires d'enfants, l'aboiement de la mascotte des joueurs, le va-et-vient de la sieste… Ce qui reste inchangé : les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide furent la cause ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte qui donne sur la pièce où le mort ne peux plus se trouver, puisqu'il fut enterré la veille.

Tradabordo a dit…

On pouvait même sentir son ancien parfum et entendre - comme des failles dans le temps - des bruits de pas, des rires d'enfants, l'aboiement de la mascotte [bof] des joueurs, le va-et-vient de la sieste… Ce qui reste inchangé [CS] : les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide furent la cause ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte qui donne sur la pièce où le mort ne peux plus se trouver, puisqu'il fut enterré la veille.

Unknown a dit…

On pouvait même sentir son ancien parfum et entendre - comme des failles dans le temps - des bruits de pas, des rires d'enfants, l'aboiement de la mascotte des joueurs, le va-et-vient de la sieste… Ce qui ne change jamais, les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte qui donne sur la pièce où le mort ne peux plus se trouver, puisqu'il fut enterré la veille.

Je ne vois pas par quoi remplacer "mascotte" par contre…

Tradabordo a dit…

« animal de compagnie » ?

Unknown a dit…

On pouvait même sentir son ancien parfum et entendre - comme des failles dans le temps - des bruits de pas, des rires d'enfants, les aboiements du chien joueur de la maison, le va-et-vient de la sieste… Ce qui ne change jamais, les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte qui donne sur la pièce où le mort ne peux plus se trouver, puisqu'il fut enterré la veille.

Tradabordo a dit…

Pour les tirets/parenthèses, ce sont les moyens pas les petits, qui sont réservés aux mots-composés.

Unknown a dit…

On pouvait même sentir son ancien parfum et entendre – comme des failles dans le temps – des bruits de pas, des rires d'enfants, les aboiements du chien joueur de la maison, le va-et-vient de la sieste… Ce qui ne change jamais, les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte qui donne sur la pièce où le mort ne peux plus se trouver, puisqu'il fut enterré la veille.

Tradabordo a dit…

On pouvait même sentir son ancien parfum et entendre – comme des failles dans le temps – des bruits de pas, des rires d'enfants, les aboiements du chien joueur de la maison, le va-et-vient de la sieste… Ce qui ne change jamais [pas ce que dit le texte], les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte qui donne sur la pièce où le mort ne peux plus se trouver, puisqu'il fut enterré la veille.

Unknown a dit…

On pouvait même sentir son ancien parfum et entendre – comme des failles dans le temps – des bruits de pas, des rires d'enfants, les aboiements du chien joueur de la maison, le va-et-vient de la sieste… Ce qui reste pareil, les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte qui donne sur la pièce où le mort ne peux plus se trouver, puisqu'il fut enterré la veille.

Tradabordo a dit…

On pouvait même sentir son ancien parfum et entendre – comme des failles dans le temps – des bruits de pas, des rires d'enfants, les aboiements du chien joueur de la maison, le va-et-vient de la sieste… Ce qui [non ; pas « Lo que », mais « El que »] reste pareil, les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte qui donne sur la pièce où le mort ne peux plus se trouver, puisqu'il fut enterré la veille.

Unknown a dit…

On pouvait même sentir son ancien parfum et entendre – comme des failles dans le temps – des bruits de pas, des rires d'enfants, les aboiements du chien joueur de la maison, le va-et-vient de la sieste… Ceux qui continuent sans changer, les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte qui donne sur la pièce où le mort ne peux plus se trouver, puisqu'il fut enterré la veille.

J'ai du mal à comprendre le sens, donc "el que" se rattache à "el llanto" ? Donc j'accorde à "pleurs" ?

Tradabordo a dit…

On pouvait même sentir son ancien parfum et entendre – comme des failles dans le temps – des bruits de pas, des rires d'enfants, les aboiements du chien joueur de la maison, le va-et-vient de la sieste… Ceux qui continuent sans changer [bon, je t'aide : « Le fait que rien ne change / que tout demeure inchangé »], les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte qui donne sur la pièce où le mort ne peux plus se trouver, puisqu'il fut enterré la veille.

Unknown a dit…

On pouvait même sentir son ancien parfum et entendre – comme des failles dans le temps – des bruits de pas, des rires d'enfants, les aboiements du chien joueur de la maison, le va-et-vient de la sieste… Le fait que rien ne change, les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte qui donne sur la pièce où le mort ne peux plus se trouver, puisqu'il fut enterré la veille.

Aaah ok, merci ! ;)

Tradabordo a dit…

On pouvait même sentir son ancien parfum et entendre – comme des failles dans le temps – des bruits de pas, des rires d'enfants, les aboiements du chien joueur de la maison, le va-et-vient de la sieste… Le fait que rien ne change, les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte qui donne [« donnant » ?] sur la pièce où le mort ne peux [grammaire] plus se trouver, puisqu'il fut enterré [sûre, pour le temps ?] la veille.

Unknown a dit…

On peut même sentir son ancien parfum et entendre – comme des failles dans le temps – des bruits de pas, des rires d'enfants, les aboiements du chien joueur de la maison, le va-et-vient de la sieste… Le fait que rien ne change, les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte donnant sur la pièce où le mort ne peut plus se trouver, puisqu'il a été enterré la veille.

J'ai changé en effet, le texte oscille entre passé et présent du coup c'est pas évident.

Tradabordo a dit…

On peut même sentir son ancien parfum et entendre – comme des failles dans le temps – des bruits de pas, des rires d'enfants, les aboiements du chien joueur de la maison, le va-et-vient de la sieste… Le fait que rien ne change, les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause [manque quelque chose] ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte donnant sur la pièce où le mort ne peut plus se trouver, puisqu'il a été enterré la veille.

Unknown a dit…

On peut même sentir son ancien parfum et entendre – comme des failles dans le temps – des bruits de pas, des rires d'enfants, les aboiements du chien joueur de la maison, le va-et-vient de la sieste… Le fait que rien ne change, les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause de ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte donnant sur la pièce où le mort ne peut plus se trouver, puisqu'il a été enterré la veille.

Tradabordo a dit…

On peut même sentir son ancien parfum et entendre – comme des failles dans le temps – des bruits de pas, des rires d'enfants, les aboiements du chien joueur de la maison, le va-et-vient de la sieste… Le fait que rien ne change, les pleurs faibles et tristes étouffés quelque part et les voix fantômes qui parcourent les pièces de la maison vide, furent la cause de ma peur, cette peur omniprésente qui naît de la convergence des oublis et des souvenirs, des faits réels et imaginaires qui m'obligèrent à demeurer dans le patio, une main appuyée sur le loquet de la porte donnant sur la pièce où le mort ne peut plus se trouver, puisqu'il a été enterré la veille.

OK.