jeudi 24 juillet 2014

Projet Hélène 2 – phrases 86-90

–Soy un pobre viejo sin ojos, pero sé mirar muy bien las cosas –suspiró–. ¿Te das cuenta? Si no hubiera sido por tu padre estaría pidiendo limosnas en una esquina sin luz, o muerto, atropellado por alguien con demasiada prisa o por mí mismo, muerto por cualquiera que no podría haber visto llegar ni detener a tiempo... Un hombre a quien solo le dieron el don de la fuerza, sin sus ojos, es solo un estorbo para el resto de su cuerpo... Pero tu padre, niño...

Traduction temporaire :
— Je suis un pauvre vieux sans ses yeux, mais je sais très bien regarder les choses, soupira-t-il. Tu te rends compte ? Sans ton père, je serais en train de faire la manche à un coin de rue sans lumière, ou bien mort, écrasé par quelqu’un de trop pressé ou par moi-même, tué par quiconque que je n’aurais pas pu voir arriver, ni stopper à temps… Avec sa force pour seul atout, un homme privé de ses yeux n’est qu’un fardeau pour le reste de son corps… Mais, ton père, petit…

11 commentaires:

Hélène a dit…

— Je suis un pauvre vieux sans yeux, mais je sais très bien voir les choses, soupira-t-il. Tu te rends compte ? Sans ton père, je serais en train de faire la manche dans un coin de rue sans lumière, ou bien mort, écrasé par quelqu’un trop pressé ou par moi-même, tué par quiconque que je n’aurais pas pu voir arriver, ni arrêter à temps… Un homme à qui on n’attribua que le don de la force, sans ses yeux, n’est qu’un fardeau pour le reste de son corps… Mais, ton père, petit…

Tradabordo a dit…

— Je suis un pauvre vieux sans [possessifs ?] yeux, mais je sais très bien voir [« regarder », justement, non ?] les choses, soupira-t-il. Tu te rends compte ? Sans ton père, je serais en train de faire la manche dans un coin de rue sans lumière, ou bien mort, écrasé par quelqu’un [« de »] trop pressé ou par moi-même, tué par quiconque que je n’aurais pas pu voir arriver, ni arrêter [« stopper » ? J'hésite] à temps… Un homme à qui on n’attribua que le don de la force [maladroit], sans ses yeux [pb de syntaxe ; cette partie n'est pas très réussie ;-)], n’est qu’un fardeau pour le reste de son corps… Mais, ton père, petit…

Hélène a dit…

— Je suis un pauvre vieux sans ses yeux, mais je sais très bien regarder les choses, soupira-t-il. Tu te rends compte ? Sans ton père, je serais en train de faire la manche dans un coin de rue sans lumière, ou bien mort, écrasé par quelqu’un de trop pressé ou par moi-même, tué par quiconque que je n’aurais pas pu voir arriver, ni stopper à temps… Sans ses yeux, un homme à qui on n’attribua la force comme unique qualité n’est qu’un fardeau pour le reste de son corps… Mais, ton père, petit…

Tradabordo a dit…

— Je suis un pauvre vieux sans ses yeux, mais je sais très bien regarder les choses, soupira-t-il. Tu te rends compte ? Sans ton père, je serais en train de faire la manche dans [« à »] un coin de rue sans lumière, ou bien mort, écrasé par quelqu’un de trop pressé ou par moi-même, tué par quiconque que je n’aurais pas pu voir arriver, ni stopper à temps… Sans ses yeux, un homme à qui on n’attribua la force comme unique qualité n’est qu’un fardeau pour le reste de son corps [ce morceau manque vraiment de fluidité]… Mais, ton père, petit…

Hélène a dit…

— Je suis un pauvre vieux sans ses yeux, mais je sais très bien regarder les choses, soupira-t-il. Tu te rends compte ? Sans ton père, je serais en train de faire la manche à un coin de rue sans lumière, ou bien mort, écrasé par quelqu’un de trop pressé ou par moi-même, tué par quiconque que je n’aurais pas pu voir arriver, ni stopper à temps… Bien que doué de force, sans ses yeux, un homme n’est qu’un fardeau pour le reste de son corps… Mais, ton père, petit…

Tradabordo a dit…

— Je suis un pauvre vieux sans ses yeux, mais je sais très bien regarder les choses, soupira-t-il. Tu te rends compte ? Sans ton père, je serais en train de faire la manche à un coin de rue sans lumière, ou bien mort, écrasé par quelqu’un de trop pressé ou par moi-même, tué par quiconque que je n’aurais pas pu voir arriver, ni stopper à temps… Bien que doué de force [tu triches ; là, tu n'as pas la restriction du « solo »], sans ses yeux, un homme n’est qu’un fardeau pour le reste de son corps… Mais, ton père, petit…

Hélène a dit…

— Je suis un pauvre vieux sans ses yeux, mais je sais très bien regarder les choses, soupira-t-il. Tu te rends compte ? Sans ton père, je serais en train de faire la manche à un coin de rue sans lumière, ou bien mort, écrasé par quelqu’un de trop pressé ou par moi-même, tué par quiconque que je n’aurais pas pu voir arriver, ni stopper à temps… Avec sa force pour seule qualité, sans ses yeux, un homme n’est qu’un fardeau pour le reste de son corps… Mais, ton père, petit…

Tradabordo a dit…

— Je suis un pauvre vieux sans ses yeux, mais je sais très bien regarder les choses, soupira-t-il. Tu te rends compte ? Sans ton père, je serais en train de faire la manche à un coin de rue sans lumière, ou bien mort, écrasé par quelqu’un de trop pressé ou par moi-même, tué par quiconque que je n’aurais pas pu voir arriver, ni stopper à temps… Avec sa force pour seule qualité [« atout » ?], sans ses yeux [à la fin], un homme n’est qu’un fardeau pour le reste de son corps… Mais, ton père, petit…

Hélène a dit…

— Je suis un pauvre vieux sans ses yeux, mais je sais très bien regarder les choses, soupira-t-il. Tu te rends compte ? Sans ton père, je serais en train de faire la manche à un coin de rue sans lumière, ou bien mort, écrasé par quelqu’un de trop pressé ou par moi-même, tué par quiconque que je n’aurais pas pu voir arriver, ni stopper à temps… Avec sa force pour seul atout, un homme n’est qu’un fardeau pour le reste de son corps sans ses yeux [J'hésite ; est-ce qu'en tout début de phrase et avec une conjonction de coordination, ce ne serait pas mieux ?]… Mais, ton père, petit…

Tradabordo a dit…

— Je suis un pauvre vieux sans ses yeux, mais je sais très bien regarder les choses, soupira-t-il. Tu te rends compte ? Sans ton père, je serais en train de faire la manche à un coin de rue sans lumière, ou bien mort, écrasé par quelqu’un de trop pressé ou par moi-même, tué par quiconque que je n’aurais pas pu voir arriver, ni stopper à temps… Avec sa force pour seul atout, un homme n’est qu’un fardeau pour le reste de son corps sans ses yeux [J'hésite ; est-ce qu'en tout début de phrase et avec une conjonction de coordination, ce ne serait pas mieux ? Essaie avec « un homme privé de ses yeux »]… Mais, ton père, petit…

Hélène a dit…

— Je suis un pauvre vieux sans ses yeux, mais je sais très bien regarder les choses, soupira-t-il. Tu te rends compte ? Sans ton père, je serais en train de faire la manche à un coin de rue sans lumière, ou bien mort, écrasé par quelqu’un de trop pressé ou par moi-même, tué par quiconque que je n’aurais pas pu voir arriver, ni stopper à temps… Avec sa force pour seul atout, un homme privé de ses yeux n’est qu’un fardeau pour le reste de son corps… Mais, ton père, petit…

OK