vendredi 18 juillet 2014

Projet Élise 4 – phrases 37-39

Ya en el féretro, el muerto adquiere esa melancolía opaca que se apodera de uno tras terminar la lectura de un libro. En la casa cerrada, en cambio, persiste con intensidad, la fuerza de su presencia. Él está allí, en las paredes de la habitación, en las bolsas de la hojarasca, en la brisa de la hora, en las isletas de sol sobre el revoque de las paredes desteñidas y desconchadas, en la humedad de sus esquinas, en las vibraciones del silencio cruzado por murmullos, en la agitación de las ramas del jazmín.

Traduction temporaire :
Une fois dans son cercueil, le mort acquiert cette mélancolie opaque qui s'empare de vous après avoir achevé la lecture d'un livre. Dans la maison fermée, en revanche, la force de sa présence persiste intensément. Il est là, entre les murs de la chambre, dans les sacs pleins de feuilles mortes, dans la brise de cette heure-là, dans les îlots de soleil sur le crépi des murs déteints et défraîchis, dans l'humidité de leurs angles, dans les vibrations du silence traversé de murmures, dans l'agitation des branches du jasmin.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Une fois dans son cercueil, le mort acquiert cette mélancolie opaque qui s'empare de quelqu'un après avoir achevé la lecture d'un livre. Dans la maison fermée, en revanche, la force de sa présence persiste avec intensité. Il est là, dans les murs de la chambre, dans les sacs remplis de feuilles mortes, dans la brise de cette heure-là, dans les îlots de soleil sur le crépi des murs déteints et défraîchis, dans l'humidité de leurs angles, dans les vibrations du silence traversé de murmures, dans l'agitation des branches du jasmin.

Tradabordo a dit…

Une fois dans son cercueil, le mort acquiert cette mélancolie opaque qui s'empare de quelqu'un [ou « de vous » ? J'hésite] après avoir achevé la lecture d'un livre. Dans la maison fermée, en revanche, la force de sa présence persiste [« demeure » ?] avec intensité [pas plus fort avec l'adverbe ?]. Il est là, dans [« entre » ?] les murs de la chambre, dans les sacs remplis [« pleins » ?] de feuilles mortes, dans la brise de cette heure-là [j'hésite sur ton interprétation], dans les îlots de soleil sur le crépi des murs déteints et défraîchis, dans l'humidité de leurs angles, dans les vibrations du silence traversé de murmures, dans l'agitation des branches du jasmin.

Unknown a dit…

Une fois dans son cercueil, le mort acquiert cette mélancolie opaque qui s'empare de vous après avoir achevé la lecture d'un livre. Dans la maison fermée, en revanche, la force de sa présence persiste intensément. Il est là, entre les murs de la chambre, dans les sacs pleins de feuilles mortes, dans la brise de cette heure-là, dans les îlots de soleil sur le crépi des murs déteints et défraîchis, dans l'humidité de leurs angles, dans les vibrations du silence traversé de murmures, dans l'agitation des branches du jasmin.

Oui, je ne suis pas sûre non plus mais il énumère un peu les choses dont il a parlé précédemment, donc je me suis dit que c'était "la brise de la tombée du jour" décrite plus haut.
Par contre, je préfère "persiste" comme en VO, ça ne va pas ?

Tradabordo a dit…

Une fois dans son cercueil, le mort acquiert cette mélancolie opaque qui s'empare de vous après avoir achevé la lecture d'un livre. Dans la maison fermée, en revanche, la force de sa présence persiste intensément. Il est là, entre les murs de la chambre, dans les sacs pleins de feuilles mortes, dans la brise de cette heure-là, dans les îlots de soleil sur le crépi des murs déteints et défraîchis, dans l'humidité de leurs angles, dans les vibrations du silence traversé de murmures, dans l'agitation des branches du jasmin.

OK.