mercredi 23 juillet 2014

Projet Annelise 2 – phrases 23-28

Antes me tomó de la mano y me llevó a la terraza del edificio. Iba a morir, debía hacerlo porque lo había visto. Un doble en una ciudad es imposible. Era imposible, la evidencia de que dos iguales no podrían permanecer en el mismo lugar. El doble era él en ausencia. “Son los usurpadores de cuerpos”, me contó con una discreta sonrisa. Me fui, luego se cortaría la mano.

Traduction temporaire :
Avant cela, il me prit par la main et m'emmena sur la terrasse de l'immeuble. Il allait mourir. Il devait le faire parce qu'il l'avait vu. Avoir un sosie dans une ville est impossible. C'était impossible : la preuve même que deux êtres identiques ne pourraient pas demeurer au même endroit. Le sosie, c'était lui en son absence. « Un mauvais tour des usurpateurs de corps », me confia-t-il avec un sourire discret. Je m'en allai, puis il se coupait la main.

8 commentaires:

Anonyme a dit…

Annelise L

Avant cela, il me prit par la main et m'emmena sur la terrasse de l'immeuble. Il allait mourir. Il devait le faire car il l'avait vu. Un double dans une ville, c'est impossible. C'était impossible. La preuve même que deux êtres identiques ne pourraient pas demeurer au même endroit. Le double était lui, en son absence. « C'est à cause des usurpateurs de corps », me confia t-il avec un sourire discret. Je m'en allai, puis il se coupa la main.

Tradabordo a dit…

Avant cela, il me prit par la main et m'emmena sur la terrasse de l'immeuble. Il allait mourir. Il devait le faire car [ç mon avis, ici, « parce que » est plus adapté] il l'avait vu. Un double dans une ville, c'est impossible. C'était impossible. La preuve même que deux êtres identiques ne pourraient pas demeurer au même endroit. Le double était [tu vois, là « c' » aurait été bien utile // vois si tu ne peux pas le virer ailleurs] lui, en son absence. « C'est à cause des usurpateurs de corps », me confia t-il avec un sourire discret. Je m'en allai, puis il se coupa la main.

Anonyme a dit…

Annelise L

Avant cela, il me prit par la main et m'emmena sur la terrasse de l'immeuble. Il allait mourir. Il devait le faire parce qu'il l'avait vu. Avoir un double dans une ville est impossible. C'était impossible : la preuve même que deux êtres identiques ne pourraient pas demeurer au même endroit. Le double c'était lui, en son absence. « C'est à cause des usurpateurs de corps », me confia t-il avec un sourire discret. Je m'en allai, puis il se coupa la main.

Tradabordo a dit…

Avant cela, il me prit par la main et m'emmena sur la terrasse de l'immeuble. Il allait mourir. Il devait le faire parce qu'il l'avait vu. Avoir un double [« sosie » ? Je ne me souviens pas de ton texte… donc à toi de voir de quoi il retourne ici] dans une ville est impossible. C'était impossible : la preuve même que deux êtres identiques ne pourraient pas demeurer au même endroit. Le double [idem ?] c'était lui, en son absence. « C'est à cause des usurpateurs de corps », me confia [tiret !] t-il avec un sourire discret. Je m'en allai, puis il se coupa [attention de ne pas traduire trop vite] la main.

Anonyme a dit…

Annelise L

Avant cela, il me prit par la main et m'emmena sur la terrasse de l'immeuble. Il allait mourir. Il devait le faire parce qu'il l'avait vu. Avoir un sosie dans une ville est impossible. C'était impossible : la preuve même que deux êtres identiques ne pourraient pas demeurer au même endroit. Le sosie c'était lui, en son absence. « Un mauvais tour des usurpateurs de corps », me confia-t-il avec un sourire discret. Je m'en allai, avant qu'il ne se coupe la main.

Tradabordo a dit…

Avant cela, il me prit par la main et m'emmena sur la terrasse de l'immeuble. Il allait mourir. Il devait le faire parce qu'il l'avait vu. Avoir un sosie dans une ville est impossible. C'était impossible : la preuve même que deux êtres identiques ne pourraient pas demeurer au même endroit. Le sosie, c'était lui, en son absence [j'hésite sur l'interprétation… ou la formulation ; que comprends-tu ? Là, je ne te parle que du sens]. « Un mauvais tour des usurpateurs de corps », me confia-t-il avec un sourire discret. Je m'en allai, avant qu'il [pourquoi tu changes ?] ne se coupe la main.

Anonyme a dit…

Annelise L

Avant cela, il me prit par la main et m'emmena sur la terrasse de l'immeuble. Il allait mourir. Il devait le faire parce qu'il l'avait vu. Avoir un sosie dans une ville est impossible. C'était impossible : la preuve même que deux êtres identiques ne pourraient pas demeurer au même endroit. Le sosie, c'était lui en son absence [je comprends que puisque le sosie existe, alors Didier doit disparaître]. « Un mauvais tour des usurpateurs de corps », me confia-t-il avec un sourire discret. Je m'en allai, puis il se coupait la main.

Tradabordo a dit…

Avant cela, il me prit par la main et m'emmena sur la terrasse de l'immeuble. Il allait mourir. Il devait le faire parce qu'il l'avait vu. Avoir un sosie dans une ville est impossible. C'était impossible : la preuve même que deux êtres identiques ne pourraient pas demeurer au même endroit. Le sosie, c'était lui en son absence. « Un mauvais tour des usurpateurs de corps », me confia-t-il avec un sourire discret. Je m'en allai, puis il se coupait la main.

OK.