mercredi 16 juillet 2014

Projet Elena 7 – phrases 109-110

Miguela era la posesión más preciada de mi madre: de rasgos araucanos, silenciosa, infatigable, limpiaba en nuestra casa tres veces por semana. Mi madre, que la había descubierto primero, recién llegada de su provincia, sufría en silencio por no poder contratarla también los demás días y vivía en la perpetua zozobra de que otra familia pudiera arrebatársela.

Traduction temporaire :
Miguela était le bien auquel ma mère accordait le plus grand prix : des traits auracans, silencieuse, infatigable, elle astiquait notre maison trois fois par semaine. Ma mère, qui l'avait découverte en premier, à peine arrivée de sa province, souffrait en silence de ne pas pouvoir l'embaucher les autres jours de la semaine aussi, et vivait dans la crainte perpétuelle qu'une autre famille la lui prenne. 

13 commentaires:

Elena a dit…

Miguela était la possession, la plus appréciée de ma mère : traits auracanos, silencieuse, infatigable, elle nettoyait notre maison trois fois par semaine. Ma mère, qui l'avait découverte en premier, à peine arrivée de sa province, souffrait en silence de ne pas pouvoir aussi l'embaucher les autres jours de la semaine et vivait dans la crainte perpétuelle qu'une autre famille puisse la lui enlever.

Tradabordo a dit…

Miguela était la possession [peu clair ainsi formulé], la plus appréciée [avec « accorder du prix » ?] de ma mère : traits auracanos [pas un adjectif en français ?], silencieuse, infatigable, elle nettoyait [bof] notre maison trois fois par semaine. Ma mère, qui l'avait découverte en premier, à peine arrivée de sa province, souffrait en silence de ne pas pouvoir aussi [syntaxe] l'embaucher les autres jours de la semaine et vivait dans la crainte perpétuelle qu'une autre famille puisse [supprime] la lui enlever.

Elena a dit…

Miguela était la propriété à laquelle ma mère accordait du prix : traits auracans, silencieuse, infatigable, elle astiquait notre maison trois fois par semaine. Ma mère, qui l'avait découverte en premier, à peine arrivée de sa province, souffrait en silence de ne pas pouvoir l'embaucher les autres jours de la semaine aussi, et vivait dans la crainte perpétuelle qu'une autre famille la lui enlève.

Je crois que je n'ai pas tout compris pour les modifs du début... ;-/

Tradabordo a dit…

Miguela était la propriété [« le bien » ?] à laquelle ma mère accordait du [là, il faut que tu introduises l'idée contenue dans le « más »] prix : [« des »] traits auracans, silencieuse, infatigable, elle astiquait notre maison trois fois par semaine. Ma mère, qui l'avait découverte en premier, à peine arrivée de sa province, souffrait en silence de ne pas pouvoir l'embaucher les autres jours de la semaine aussi, et vivait dans la crainte perpétuelle qu'une autre famille la lui enlève [le verbe n'est pas très bon].

Elena a dit…

Miguela était le bien auquel ma mère accordait un prix important : des traits auracans, silencieuse, infatigable, elle astiquait notre maison trois fois par semaine. Ma mère, qui l'avait découverte en premier, à peine arrivée de sa province, souffrait en silence de ne pas pouvoir l'embaucher les autres jours de la semaine aussi, et vivait dans la crainte perpétuelle qu'une autre famille la lui arrache.

Elena a dit…

Ça devient arabesque, je sens bien qu'on va tourner au tour du prix ! ;-))

Tradabordo a dit…

Miguela était le bien auquel ma mère accordait un prix important [non, « más »] : des traits auracans, silencieuse, infatigable, elle astiquait notre maison trois fois par semaine. Ma mère, qui l'avait découverte en premier, à peine arrivée de sa province, souffrait en silence de ne pas pouvoir l'embaucher les autres jours de la semaine aussi, et vivait dans la crainte perpétuelle qu'une autre famille la lui arrache [« prenne »].

Elena a dit…

Miguela était le bien auquel ma mère accordait le plus haut un prix : des traits auracans, silencieuse, infatigable, elle astiquait notre maison trois fois par semaine. Ma mère, qui l'avait découverte en premier, à peine arrivée de sa province, souffrait en silence de ne pas pouvoir l'embaucher les autres jours de la semaine aussi, et vivait dans la crainte perpétuelle qu'une autre famille la lui prenne.

Tradabordo a dit…

Miguela était le bien auquel ma mère accordait le plus haut [« grand »] un prix : des traits auracans, silencieuse, infatigable, elle astiquait notre maison trois fois par semaine. Ma mère, qui l'avait découverte en premier, à peine arrivée de sa province, souffrait en silence de ne pas pouvoir l'embaucher les autres jours de la semaine aussi, et vivait dans la crainte perpétuelle qu'une autre famille la lui prenne.

Elena a dit…

Miguela était le bien auquel ma mère accordait le plus grand prix : des traits auracans, silencieuse, infatigable, elle astiquait notre maison trois fois par semaine. Ma mère, qui l'avait découverte en premier, à peine arrivée de sa province, souffrait en silence de ne pas pouvoir l'embaucher les autres jours de la semaine aussi, et vivait dans la crainte perpétuelle qu'une autre famille la lui prenne.

J'avais contourné : "grand prix", dès le début parce que ça me faisait penser à la F1...

Tradabordo a dit…

Mais ça reste mieux.

Elena a dit…

Et comme ceci ?

Miguela était le bien auquel ma mère accordait la plus grande valeur : des traits auracans, silencieuse, infatigable, elle astiquait notre maison trois fois par semaine. Ma mère, qui l'avait découverte en premier, à peine arrivée de sa province, souffrait en silence de ne pas pouvoir l'embaucher les autres jours de la semaine aussi, et vivait dans la crainte perpétuelle qu'une autre famille la lui prenne.

Tradabordo a dit…

Pour l'instant, on s'en tient à ce qui a été enregistré. On verra à la relecture.