mercredi 16 juillet 2014

Projet Céline – phrase 125


Se sentía triste, más que triste angustiado, más que angustiado, humillado y comprendía de alguna manera que ese encuentro y ese encuentro terminado tan de súbito, tan suciamente moral por él, era una prueba y una situación en la que no había pensado cuando se decidió irse de la vida para siempre, pero eso era como su advertencia primera, como su castigo por cuotas que debería seguir recibiendo porque no había sido lo bastante valiente para enfrentar la vida y sus circunstancias, y tampoco había sido lo bastante valiente como para coger un revolver, un veneno, hasta un veneno, una navaja.

Traduction temporaire :
Il se sentait triste, plus que triste angoissé, plus qu’angoissé humilié, et d’une certaine manière, il comprenait que cette rencontre, cette rencontre si soudainement terminée, si salement morale pour lui, était une épreuve et une situation à laquelle il n’avait pas pensé quand il avait décidé de quitter la vie pour toujours ; mais c’était comme un premier avertissement, comme une punition pour des frais qu’il devrait continuer de payer parce qu’il n’avait pas été assez courageux pour affronter l’existence et ses aléas, et parce qu'il n’avait pas non plus été assez courageux pour prendre un revolver, un poison – même un poison – un couteau.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Il se sentait triste, plus que triste, angoissé, plus qu’angoissé, humilié, et il comprenait d’une certaine manière que cette rencontre, cette rencontre terminée si soudainement, si salement morale pour lui, était une épreuve et une situation à laquelle il n’avait pas pensé quand il avait décidé de quitter la vie pour toujours ; mais c’était comme un premier avertissement, comme une punition pour des frais qu’il devrait continuer de recevoir parce qu’il n’avait pas été assez courageux pour affronter la vie et ses aléas, et qu'il n’avait pas non plus été assez courageux pour prendre un revolver, un poison – même un poison –, un couteau.

Tradabordo a dit…

Il se sentait triste, plus que triste, angoissé, [supprime la virgule] plus qu’angoissé, humilié, et il comprenait d’une certaine manière [ou placé avant ?] que cette rencontre, cette rencontre terminée si soudainement [avance-le pour qu'on ne pense pas qu'il y a un parallèle avec l'adverbe d'après…], si salement morale pour lui,

était une épreuve et une situation à laquelle il n’avait pas pensé quand il avait décidé de quitter la vie pour toujours ; mais c’était comme un premier avertissement, comme une punition pour des frais qu’il devrait continuer de recevoir parce qu’il n’avait pas été assez courageux pour affronter la vie et ses aléas, et qu'il n’avait pas non plus été assez courageux pour prendre un revolver, un poison – même un poison –, un couteau.

Unknown a dit…

Il se sentait triste, plus que triste, angoissé plus qu’angoissé, humilié, et d’une certaine manière il comprenait que cette rencontre, cette rencontre si soudainement terminée, si salement morale pour lui, était une épreuve et une situation à laquelle il n’avait pas pensé quand il avait décidé de quitter la vie pour toujours ; mais c’était comme un premier avertissement, comme une punition pour des frais qu’il devrait continuer de recevoir parce qu’il n’avait pas été assez courageux pour affronter la vie et ses aléas, et qu'il n’avait pas non plus été assez courageux pour prendre un revolver, un poison – même un poison – un couteau.

Tradabordo a dit…

Il se sentait triste, plus que triste angoissé, plus qu’angoissé humilié, et d’une certaine manière, il comprenait que cette rencontre, cette rencontre si soudainement terminée, si salement morale pour lui, était une épreuve et une situation à laquelle il n’avait pas pensé quand il avait décidé de quitter la vie pour toujours ; mais c’était comme un premier avertissement, comme une punition pour des frais qu’il devrait continuer de recevoir [adapté pour « frais » ?] parce qu’il n’avait pas été assez courageux pour affronter la vie [« existence », pour éviter la répétition] et ses aléas, et [« parce »] qu'il n’avait pas non plus été assez courageux pour prendre un revolver, un poison – même un poison – un couteau.

Unknown a dit…

Il se sentait triste, plus que triste angoissé, plus qu’angoissé humilié, et d’une certaine manière, il comprenait que cette rencontre, cette rencontre si soudainement terminée, si salement morale pour lui, était une épreuve et une situation à laquelle il n’avait pas pensé quand il avait décidé de quitter la vie pour toujours ; mais c’était comme un premier avertissement, comme une punition pour des frais qu’il devrait continuer de payer parce qu’il n’avait pas été assez courageux pour affronter l’existence et ses aléas, et parce qu'il n’avait pas non plus été assez courageux pour prendre un revolver, un poison – même un poison – un couteau.

Tradabordo a dit…

Il se sentait triste, plus que triste angoissé, plus qu’angoissé humilié, et d’une certaine manière, il comprenait que cette rencontre, cette rencontre si soudainement terminée, si salement morale pour lui, était une épreuve et une situation à laquelle il n’avait pas pensé quand il avait décidé de quitter la vie pour toujours ; mais c’était comme un premier avertissement, comme une punition pour des frais qu’il devrait continuer de payer parce qu’il n’avait pas été assez courageux pour affronter l’existence et ses aléas, et parce qu'il n’avait pas non plus été assez courageux pour prendre un revolver, un poison – même un poison – un couteau.

OK.