mercredi 23 juillet 2014

Projet Morgane 11 – phrases 39-40

Desde su diminuto interior emerge el sonido de los remos contra el oleaje, las venas gordas hinchándose en los brazos de su abuelo por el esfuerzo, la líquida superficie golpeando contra la madera, la entrada esplendorosa, la fresca claridad del lecho, y más adentro el llanto de las piedras, su jaula, la cóncava serenidad del ancho espacio esmeraldino. En los ojos verdes de Dalila brilla por un instante la limpidez de la inocencia.

Traduction temporaire :
De son minuscule intérieur émane le son des rames contre la houle, les grosses veines des bras de son grand-père gonflées par l'effort, la surface liquide frappant contre le bois, l'entrée splendide, la fraîche clarté du lit, et plus au fond, les pleurs des pierres, sa cage, la concave sérénité du large espace couleur émeraude. Dans les yeux verts de Dalila, brille la limpidité de l'innocence, le temps d'un instant.

6 commentaires:

Unknown a dit…

De son minuscule intérieur émane le son des rames contre la houle, les grosses veines des bras de son grand-père gonflées par l'effort, la surface liquide frappant contre le bois, l'entrée splendide, la fraîche clarté du lit, et plus au fond, les pleurs des pierres, sa cage, la concave sérénité du large espace couleur émeraude. Dans les yeux verts de Dalila, le temps d'un instant, la limpidité de l'innocence brille.

Tradabordo a dit…

De son minuscule intérieur émane le son des rames contre la houle, les grosses veines des bras de son grand-père gonflées par l'effort, la surface liquide frappant contre le bois, l'entrée splendide, la fraîche clarté du lit, et plus au fond, les pleurs des pierres, sa cage, la concave sérénité du large espace couleur émeraude. Dans les yeux verts de Dalila, le temps d'un instant, la limpidité de l'innocence brille [je pense que tu devrais mettre le verbe ailleurs ; fais des essais].

Unknown a dit…

De son minuscule intérieur émane le son des rames contre la houle, les grosses veines des bras de son grand-père gonflées par l'effort, la surface liquide frappant contre le bois, l'entrée splendide, la fraîche clarté du lit, et plus au fond, les pleurs des pierres, sa cage, la concave sérénité du large espace couleur émeraude.Le temps d'un instant, dans les yeux verts de Dalila, brille la limpidité de l'innocence.

Tradabordo a dit…

De son minuscule intérieur émane le son des rames contre la houle, les grosses veines des bras de son grand-père gonflées par l'effort, la surface liquide frappant contre le bois, l'entrée splendide, la fraîche clarté du lit, et plus au fond, les pleurs des pierres, sa cage, la concave sérénité du large espace couleur émeraude. Le temps d'un instant [tu devais mettre ça à la fin ; ça renforcerait le dramatisme], dans les yeux verts de Dalila, brille la limpidité de l'innocence.

Unknown a dit…

De son minuscule intérieur émane le son des rames contre la houle, les grosses veines des bras de son grand-père gonflées par l'effort, la surface liquide frappant contre le bois, l'entrée splendide, la fraîche clarté du lit, et plus au fond, les pleurs des pierres, sa cage, la concave sérénité du large espace couleur émeraude. Dans les yeux verts de Dalila, brille la limpidité de l'innocence, le temps d'un instant.

Tradabordo a dit…

De son minuscule intérieur émane le son des rames contre la houle, les grosses veines des bras de son grand-père gonflées par l'effort, la surface liquide frappant contre le bois, l'entrée splendide, la fraîche clarté du lit, et plus au fond, les pleurs des pierres, sa cage, la concave sérénité du large espace couleur émeraude. Dans les yeux verts de Dalila, brille la limpidité de l'innocence, le temps d'un instant.

OK.