vendredi 12 décembre 2014

Projet Annelise 2 – phrases 58-63

No debe ser fácil verlo en esa condición horizontal, recostándose dentro de la tierra. “Igual que papá”, me susurró. Pensé en la esquizofrenia, en el drama de ellos, en ignorar lo que el primer muerto les había dicho. La historia estaba clara en la memoria de Didier. Su papá entró a su habitación y le dijo, con lágrimas en los ojos, que se debía morir porque las luces eran insoportables, que él debía ser quien cuidara todas las plantas del jardín. “Soy el principito que no sabe cuidar sus plantas, loco.”

Traduction temporaire :
Ce doit être difficile de le voir dans cet état-là, à l'horizontale, s'ensevelissant dans la terre. « Pareil que papa », me murmura-t-elle. Je pensai à la schizophrénie, au drame qu'ils traversaient, ignorant ce que le premier qui était mort leur avait confié. L'histoire était claire dans la mémoire de Didier : son père était entré dans sa chambre et lui avait dit, les larmes aux yeux, qu'il devait mourir car les lumières étaient insupportables, que désormais, c'était lui qui devrait s'occuper de toutes les fleurs du jardin. « Je suis le petit prince qui ne sait pas comment prendre soin des fleurs, mec. »

8 commentaires:

Anonyme a dit…

Annelise L

Ce doit être difficile de le voir dans cet état-là, à l'horizontale, s'ensevelissant dans la terre. « Pareil que papa », me murmura-t-elle à l'oreille. Je pensai à la schizophrénie, au drame de leur famille, à ignorer ce que le premier mort d'entre eux leur avait confié. L'histoire était sans équivoque dans la mémoire de Didier. Son père entra dans sa chambre et lui dit, les larmes aux yeux, qu'il devait mourir car les lumières étaient insupportables, que c'était lui qui, désormais, devrait s'occuper de toutes les plantes du jardin. « Je suis le petit prince qui ne sait pas comment prendre soin des plantes, mec. »

Tradabordo a dit…

Ce doit être difficile de le voir dans cet état-là, à l'horizontale, s'ensevelissant dans la terre. « Pareil que papa », me murmura-t-elle à l'oreille [nécessaire ?]. Je pensai à la schizophrénie, au drame de leur famille [est-ce que tu ne changes pas trop avec cet ajout ?], à ignorer ce que le premier mort d'entre eux [mal dit] leur avait confié. L'histoire était sans équivoque [pourquoi tu changes ?] dans la mémoire de Didier. [deux points ?] Son père entra [PQP ?] dans sa chambre et lui dit [idem ?], les larmes aux yeux, qu'il devait mourir car les lumières étaient insupportables, que c'était lui qui, désormais [mets-le après… ça t'évitera la coupure de l'entre-virgules], devrait s'occuper de toutes les plantes du jardin. « Je suis le petit prince qui ne sait pas comment prendre soin des plantes, mec. »

Anonyme a dit…

Annelise L

Ce doit être difficile de le voir dans cet état-là, à l'horizontale, s'ensevelissant dans la terre. « Pareil que papa », me murmura-t-elle. Je pensai à la schizophrénie, à leur drame, à ignorer ce que le premier qui était mort leur avait confié. L'histoire était claire dans la mémoire de Didier : son père était entré dans sa chambre et lui avait dit, les larmes aux yeux, qu'il devait mourir car les lumières étaient insupportables, que désormais c'était lui qui devrait s'occuper de toutes les plantes du jardin. « Je suis le petit prince qui ne sait pas comment prendre soin des plantes, mec. »

Tradabordo a dit…

Ce doit être difficile de le voir dans cet état-là, à l'horizontale [« en position horizontale » ?], s'ensevelissant dans la terre. « Pareil que papa », me murmura-t-elle. Je pensai à la schizophrénie, à leur drame [« au drame qu'ils traversaient » ?], à ignorer ce que le premier qui était mort leur avait confié. L'histoire était claire dans la mémoire de Didier : son père était entré dans sa chambre et lui avait dit, les larmes aux yeux, qu'il devait mourir car les lumières étaient insupportables, que désormais [virgule] c'était lui qui devrait s'occuper de toutes les plantes du jardin. « Je suis le petit prince qui ne sait pas comment prendre soin des plantes [dans le petit prince : « fleur », non ?], mec. »

Anonyme a dit…

Annelise L

Ce doit être difficile de le voir dans cet état-là, à l'horizontale, s'ensevelissant dans la terre. « Pareil que papa », me murmura-t-elle. Je pensai à la schizophrénie, au drame qu'ils traversaient, à ignorer ce que le premier qui était mort leur avait confié. L'histoire était claire dans la mémoire de Didier : son père était entré dans sa chambre et lui avait dit, les larmes aux yeux, qu'il devait mourir car les lumières étaient insupportables, que désormais, c'était lui qui devrait s'occuper de toutes les fleurs du jardin. « Je suis le petit prince qui ne sait pas comment prendre soin des fleurs, mec. »

Tradabordo a dit…

Ce doit être difficile de le voir dans cet état-là, à l'horizontale, s'ensevelissant dans la terre. « Pareil que papa », me murmura-t-elle. Je pensai à la schizophrénie, au drame qu'ils traversaient, à [pas certaine qu'on puisse le construire comme ça… Du coup, ça va avec le drame… Or est-ce le cas en V.O. ?] ignorer ce que le premier qui était mort leur avait confié. L'histoire était claire dans la mémoire de Didier : son père était entré dans sa chambre et lui avait dit, les larmes aux yeux, qu'il devait mourir car les lumières étaient insupportables, que désormais, c'était lui qui devrait s'occuper de toutes les fleurs du jardin. « Je suis le petit prince qui ne sait pas comment prendre soin des fleurs, mec. »

Anonyme a dit…

Annelise L

Ce doit être difficile de le voir dans cet état-là, à l'horizontale, s'ensevelissant dans la terre. « Pareil que papa », me murmura-t-elle. Je pensai à la schizophrénie, au drame qu'ils traversaient, ignorant ce que le premier qui était mort leur avait confié. L'histoire était claire dans la mémoire de Didier : son père était entré dans sa chambre et lui avait dit, les larmes aux yeux, qu'il devait mourir car les lumières étaient insupportables, que désormais, c'était lui qui devrait s'occuper de toutes les fleurs du jardin. « Je suis le petit prince qui ne sait pas comment prendre soin des fleurs, mec. »

Tradabordo a dit…

Ce doit être difficile de le voir dans cet état-là, à l'horizontale, s'ensevelissant dans la terre. « Pareil que papa », me murmura-t-elle. Je pensai à la schizophrénie, au drame qu'ils traversaient, ignorant ce que le premier qui était mort leur avait confié. L'histoire était claire dans la mémoire de Didier : son père était entré dans sa chambre et lui avait dit, les larmes aux yeux, qu'il devait mourir car les lumières étaient insupportables, que désormais, c'était lui qui devrait s'occuper de toutes les fleurs du jardin. « Je suis le petit prince qui ne sait pas comment prendre soin des fleurs, mec. »

OK.