mardi 23 décembre 2014

Projet Élodie 10 – phrases 5-8

Pero yo no soy una exhibicionista. Yo sacio mi apetito cuando miro a las mujeres o cuando hago el amor con mi amante. También cuando pillo a un hombre embobado con nuestros culos de pollo, con nuestros traseros planos, con nuestras nalgas de cíngaras ampulosas. Me encanta imaginarme la presión que ejerce esa mirada: amasa senos insolentes, tremendos; acaricia piernas largas y robustas como las de Micaela, o velludas, de piel traslúcida y con los tobillos finos como los míos; rastrea un olor que va más allá del perfume, acaricia la seda de un cabello recién cepillado o la aridez de unas rastas.

Traduction temporaire :
Mais moi, je ne suis pas une exhibitionniste. J'assouvis mon appétit en regardant les femmes ou en faisant l'amour avec mon amant. Également quand je surprends un homme ébahi devant nos culs écrasés, nos derrières plats, nos grosses fesses de tziganes. J'adore m'imaginer la pression qu'exerce ce regard : il embrasse des seins insolents, extraordinaires ; caresse de longues et solides jambes, comme celles de Micaela, ou bien poilues, avec la peau translucide ou des genoux fins, comme les miens ; il suit une odeur au-delà du seul parfum, caresse la soie d'un poil juste brossé ou l'aridité des rastas.

10 commentaires:

Elodie a dit…

Mais moi, je ne suis pas une exhibitionniste. J'assouvis mon appétit en regardant les femmes ou en faisant l'amour avec mon amant. Également quand j'attrape un homme ébahi devant nos culs de poule, nos derrières plats, nos fesses de tzigane ampoulées. J'adore m'imaginer la pression qu'exerce ce regard : il réunit des seins insolents, terribles ; caresse de longues et robustes jambes comme celles de Micaela, ou bien velues, de peau translucide ou avec des genoux fins comme les miens. Il suit une odeur au-delà du parfum, caresse la soie d'un cheveu juste brossé ou l'aridité des rastas.

Tradabordo a dit…

Mais moi, je ne suis pas une exhibitionniste. J'assouvis mon appétit en regardant les femmes ou en faisant l'amour avec mon amant. Également quand j'attrape [peu clair / FS ?] un homme ébahi devant nos culs de poule [ça se dit ?], nos derrières plats, nos fesses de tzigane ampoulées [peu clair].

Fais déjà ça.

J'adore m'imaginer la pression qu'exerce ce regard : il réunit des seins insolents, terribles ; caresse de longues et robustes jambes comme celles de Micaela, ou bien velues, de peau translucide ou avec des genoux fins comme les miens. Il suit une odeur au-delà du parfum, caresse la soie d'un cheveu juste brossé ou l'aridité des rastas.

Elodie a dit…

Mais moi, je ne suis pas une exhibitionniste. J'assouvis mon appétit en regardant les femmes ou en faisant l'amour avec mon amant. Également quand je surprends un homme ébahi devant nos culs de jeunettes, nos derrières plats, nos grosses fesses de tziganes.


J'adore m'imaginer la pression qu'exerce ce regard : il réunit des seins insolents, terribles ; caresse de longues et robustes jambes comme celles de Micaela, ou bien velues, de peau translucide ou avec des genoux fins comme les miens. Il suit une odeur au-delà du parfum, caresse la soie d'un cheveu juste brossé ou l'aridité des rastas.

Tradabordo a dit…

Mais moi, je ne suis pas une exhibitionniste. J'assouvis mon appétit [au pluriel, non ? Vérifie ce qu'on dit pour le domaine en question ;-) J'ai un doute…] en regardant les femmes ou en faisant l'amour avec mon amant. Également quand je surprends un homme ébahi devant nos culs de jeunettes [tu as bien vérifié ? Juste pour être rassurée], nos derrières plats, nos grosses fesses de tziganes. J'adore m'imaginer la pression qu'exerce ce regard : il réunit [FS ? Cf le verbe qu'il y a pour les jambes // ça devrait t'aider…] des seins insolents, terribles [FS ?] ; caresse de longues et robustes [« solides » ? Comme tu veux…] jambes [virgule] comme celles de Micaela, ou bien velues [« poilues » ?], de [mal dit] peau translucide ou avec des genoux fins [virgule] comme les miens. [laisse le point-virgule… L'énumération n'est pas terminée] Il suit une odeur au-delà du [cheville : « seul » ou inutile ?] parfum, caresse la soie d'un cheveu [FS !] juste brossé ou l'aridité des rastas.

Elodie a dit…

Mais moi, je ne suis pas une exhibitionniste. J'assouvis mon appétit en regardant les femmes ou en faisant l'amour avec mon amant. Également quand je surprends un homme ébahi devant nos culs de jeunettes [Je ne suis pas sûre, je l'ai déduit grâce à cette définition : « 5. m coloq. p. us. Hombre joven aludido o invocado por persona de mayor edad » mais j'hésite avec avec « culs de poussins ». L'expression existe mais elle n'est pas très utilisée donc pas très naturelle peut-être], nos derrières plats, nos grosses fesses de tziganes. J'adore m'imaginer la pression qu'exerce ce regard : il embrasse des seins insolents, démesurés ; caresse de longues et solides jambes, comme celles de Micaela, ou bien poilues, avec la peau translucide ou des genoux fins, comme les miens ; il suit une odeur au-delà du seul parfum, caresse la soie d'un poil juste brossé ou l'aridité des rastas.

Tradabordo a dit…

Mais moi, je ne suis pas une exhibitionniste. J'assouvis mon appétit en regardant les femmes ou en faisant l'amour avec mon amant. Également quand je surprends un homme ébahi devant nos culs de jeunettes [Je ne suis pas sûre, je l'ai déduit grâce à cette définition : « 5. m coloq. p. us. Hombre joven aludido o invocado por persona de mayor edad » mais j'hésite avec avec « culs de poussins ». L'expression existe mais elle n'est pas très utilisée donc pas très naturelle peut-être // demande son avis à Elena], nos derrières plats, nos grosses fesses de tziganes. J'adore m'imaginer la pression qu'exerce ce regard : il embrasse des seins insolents, démesurés [dans le sens de « incroyables » ou un truc comme ça ?] ; caresse de longues et solides jambes, comme celles de Micaela, ou bien poilues, avec la peau translucide ou des genoux fins, comme les miens ; il suit une odeur au-delà du seul parfum, caresse la soie d'un poil juste brossé ou l'aridité des rastas.

Elodie a dit…

Mais moi, je ne suis pas une exhibitionniste. J'assouvis mon appétit en regardant les femmes ou en faisant l'amour avec mon amant. Également quand je surprends un homme ébahi devant nos culs écrasés, nos derrières plats, nos grosses fesses de tziganes. J'adore m'imaginer la pression qu'exerce ce regard : il embrasse des seins insolents, extraordinaires ; caresse de longues et solides jambes, comme celles de Micaela, ou bien poilues, avec la peau translucide ou des genoux fins, comme les miens ; il suit une odeur au-delà du seul parfum, caresse la soie d'un poil juste brossé ou l'aridité des rastas.

Tradabordo a dit…

Mais moi, je ne suis pas une exhibitionniste. J'assouvis mon appétit en regardant les femmes ou en faisant l'amour avec mon amant. Également quand je surprends un homme ébahi devant nos culs écrasés [tu as demandé confirmation ? Juste que je trouve bizarre avec ce qui suit… On dirait que c'est à peu près la même chose… or c'est pas très logique vu qu'elle énumère], nos derrières plats, nos grosses fesses de tziganes. J'adore m'imaginer la pression qu'exerce ce regard : il embrasse des seins insolents, extraordinaires ; caresse de longues et solides jambes, comme celles de Micaela, ou bien poilues, avec la peau translucide ou des genoux fins, comme les miens ; il suit une odeur au-delà du seul parfum, caresse la soie d'un poil juste brossé ou l'aridité des rastas.

Elodie a dit…

Oui, j'ai demandé à Elena, elle m'a donné cette définition :
"En España, se dice de alquien que tiene "culo pollo" cuando es el típico trasero 'metido para dentro', sin carne, que típicamente hace que el pantalón quede hueco y formando bolsas. No es un piropo, más bien lo contrario (en realidad es justo lo contrario, el culo de pollo "como en los pollos", es respingón, alto)."

Tradabordo a dit…

OK.

Mais moi, je ne suis pas une exhibitionniste. J'assouvis mon appétit en regardant les femmes ou en faisant l'amour avec mon amant. Également quand je surprends un homme ébahi devant nos culs écrasés, nos derrières plats, nos grosses fesses de tziganes. J'adore m'imaginer la pression qu'exerce ce regard : il embrasse des seins insolents, extraordinaires ; caresse de longues et solides jambes, comme celles de Micaela, ou bien poilues, avec la peau translucide ou des genoux fins, comme les miens ; il suit une odeur au-delà du seul parfum, caresse la soie d'un poil juste brossé ou l'aridité des rastas.

OK.