lundi 8 décembre 2014

Projet Élodie 10 – titre + phrases 1-4

Marisa Mañana (Espagne)

Fantodio o la enfermedad de los sanos

Al recordar a Micaela, también pienso en los exhibicionistas de mi adolescencia. Se escondían en una cabina, en el interior de un coche o tras unos matorrales; salían al paso de nuestras falditas de tablas, un montón de uniformes de color azul marino que se desperdigaba del susto. Ahora los imagino expectantes, con el miembro preparado para sacudírselo en cuanto vean aparecer niñas uniformadas. Es como si, al recordar a Micaela, el hambre de esos exhibicionistas fuera mío.

Traduction temporaire :


Marisa Mañana (Espagne)

Fantodio ou la maladie des bien-portants

En me souvenant de Micaela, je pense également aux exhibitionnistes de mon adolescence. Ils se cachaient dans une cabine, à l'intérieur d'une voiture ou derrière des fourrés et jaillissaient au passage de nos petites jupes plissées, une volée d'uniformes bleu marine qui s'éparpillait de peur. Maintenant, je les imagine aux aguets, avec leur membre prêt à être secoué au moment où ils verraient apparaître les fillettes en uniforme. C'est comme si en me souvenant de Micaela, la faim de ces exhibitionnistes était la mienne.

8 commentaires:

Elodie a dit…

Marisa Mañana (Espagne)
Fantodio ou la maladie des sains

En me rappelant Micaela, je pense également aux exhibitionnistes de mon adolescence. Ils se cachaient dans une cabine, à l'intérieur d'une voiture ou derrières des fourrés et sortaient au passage de nos petites jupes plissées, un tas d'uniformes bleu marine qui s'éparpillait de peur. Maintenant, je les imagine, attendant, avec leur membre préparé à être secoué au moment où ils verraient apparaître les fillettes en uniforme. C'est comme si, en me souvenant de Micaela, la faim de ces exhibitionnistes fût la mienne.

Tradabordo a dit…

Marisa Mañana (Espagne)

Fantodio ou la maladie des sains [grammaire : adjectifs, OK, mais substantifs ?]

En me rappelant [pas moins lourd avec « se souvenir » ?] Micaela, je pense également aux exhibitionnistes de mon adolescence. Ils se cachaient dans une cabine, à l'intérieur d'une voiture ou derrières [orthographe] des fourrés et sortaient au passage de nos petites jupes plissées, un tas [« volée »] d'uniformes bleu marine qui s'éparpillait de peur. Maintenant, je les imagine, attendant [assez fort N], avec leur membre préparé à être secoué au moment où ils verraient apparaître les fillettes en uniforme [manque de naturel dans cette phrase…]. C'est comme si, en me souvenant de Micaela, la faim de ces exhibitionnistes fût [grammaire] la mienne.

Elodie a dit…

Marisa Mañana (Espagne)

Fantodio ou la maladie de la santé. 

En me souvenant de Micaela, je pense également aux exhibitionnistes de mon adolescence. Ils se cachaient dans une cabine, à l'intérieur d'une voiture ou derrière des fourrés et sortaient au passage de nos petites jupes plissées, une volée d'uniformes bleu marine qui s'éparpillait de peur. Maintenant, je les imagine aux aguets, le membre préparé à être secoué au moment où ils verraient apparaître les fillettes en uniforme. C'est comme si, en me souvenant de Micaela, la faim de ces exhibitionnistes était la mienne.

Tradabordo a dit…

Marisa Mañana (Espagne)

Fantodio ou la maladie de la santé [ça m'embête quand même… Tu changes beaucoup // vois si tu as une autre solution]

En me souvenant de Micaela, je pense également aux exhibitionnistes de mon adolescence. Ils se cachaient dans une cabine, à l'intérieur d'une voiture ou derrière des fourrés et sortaient au passage de nos petites jupes plissées, une volée d'uniformes bleu marine qui s'éparpillait de peur. Maintenant, je les imagine aux aguets, le membre [n'en fait pas le sujet…] préparé à être secoué au moment où ils verraient apparaître les fillettes en uniforme. C'est comme si, en me souvenant de Micaela, la faim de ces exhibitionnistes était la mienne.

Elodie a dit…

Marisa Mañana (Espagne)

Fantodio ou la maladie des bien-portants

En me souvenant de Micaela, je pense également aux exhibitionnistes de mon adolescence. Ils se cachaient dans une cabine, à l'intérieur d'une voiture ou derrière des fourrés et sortaient au passage de nos petites jupes plissées, une volée d'uniformes bleu marine qui s'éparpillait de peur. Maintenant, je les imagine aux aguets, avec leur membre préparé à être secoué au moment où ils verraient apparaître les fillettes en uniforme. C'est comme si, en me souvenant de Micaela, la faim de ces exhibitionnistes était la mienne.


Pour le titre, je ne trouve pas d'autre solution, j'ai remplacé le substantif "santé" par l'adjectif "bien-portants", c'est peut-être plus naturel que "sains".

Tradabordo a dit…

Marisa Mañana (Espagne)

Fantodio ou la maladie des bien-portants

En me souvenant de Micaela, je pense également aux exhibitionnistes de mon adolescence. Ils se cachaient dans une cabine, à l'intérieur d'une voiture ou derrière des fourrés et sortaient [« se montraient » / « jaillissaient » ? Prends celui des 3 que tu préfères…] au passage de nos petites jupes plissées, une volée d'uniformes bleu marine qui s'éparpillait de peur. Maintenant, je les imagine aux aguets, avec leur membre préparé [« prêt » ?] à être secoué au moment où ils verraient apparaître les fillettes en uniforme. C'est comme si, [j'hésite sur cette cirgule] en me souvenant de Micaela, la faim de ces exhibitionnistes était la mienne.

Elodie a dit…

Marisa Mañana (Espagne)

Fantodio ou la maladie des bien-portants

En me souvenant de Micaela, je pense également aux exhibitionnistes de mon adolescence. Ils se cachaient dans une cabine, à l'intérieur d'une voiture ou derrière des fourrés et jaillissaient au passage de nos petites jupes plissées, une volée d'uniformes bleu marine qui s'éparpillait de peur. Maintenant, je les imagine aux aguets, avec leur membre prêt à être secoué au moment où ils verraient apparaître les fillettes en uniforme. C'est comme si en me souvenant de Micaela, la faim de ces exhibitionnistes était la mienne.

Tradabordo a dit…

Marisa Mañana (Espagne)

Fantodio ou la maladie des bien-portants

En me souvenant de Micaela, je pense également aux exhibitionnistes de mon adolescence. Ils se cachaient dans une cabine, à l'intérieur d'une voiture ou derrière des fourrés et jaillissaient au passage de nos petites jupes plissées, une volée d'uniformes bleu marine qui s'éparpillait de peur. Maintenant, je les imagine aux aguets, avec leur membre prêt à être secoué au moment où ils verraient apparaître les fillettes en uniforme. C'est comme si en me souvenant de Micaela, la faim de ces exhibitionnistes était la mienne.

OK.