jeudi 11 décembre 2014

Projet Émilie 6 – phrases 52-63

En seguida abrí la ventana de la cocina. Gutiérrez ya no estaba ahí. Gracias a Dios. Gracias. Tomé un café y salí.
Hace una semana que estoy intentando cruzarme con Gutiérrez en el pasillo, en las escaleras o en la puerta del edificio. Me he quedado esperando por horas algún ruido que me indicara la presencia de Gutiérrez. He estado llegando tarde al trabajo y volviendo rapidísimo, pensando que quizá Gutiérrez pudo haber salido en mi ausencia.
Cada noche observo desde mi ventana su ritual privado. Anoche esperé a que saliera al patio para confirmar que estaba en e el departamento Lo vi regar el potus y bajé las escaleras. Llamé a su puerta, toqué el timbre y grité su nombre varias veces pero nada pasó. Cuando regresé a mi departamento, Gutiérrez seguía en la mis posición.

Traduction temporaire :

Aussitôt, j’ai ouvert la fenêtre de la cuisine. Gutiérrez n’était plus là. Dieu merci. Merci. J’ai pris un café et suis sorti.
Cela fait une semaine que j’essaie de croiser Gutiérrez dans le couloir, les escaliers ou à la porte de l’immeuble. J’ai passé des heures à attendre le moindre bruit susceptible de m’indiquer sa présence. Je suis arrivé en retard à mon travail et en suis revenu très vite, m’imaginant qu’il était peut-être sorti pendant mon absence.
Toutes les nuits, de ma fenêtre, j’observe son rituel privé. Hier soir, j’ai attendu qu’il sorte dans la cour pour être sûr qu’il était chez lui. Je l’ai vu arroser le pothos et ai descendu l’escalier. J’ai frappé à sa porte, sonné et crié son nom à plusieurs reprises, mais il ne s’est rien passé. Quand je suis rentré dans mon appartement, Gutiérrez était toujours dans la même position.

2 commentaires:

Emilie a dit…

Aussitôt, j’ai ouvert la fenêtre de la cuisine. Gutiérrez n’était plus là. Dieu merci. Merci. J’ai pris un café et suis sorti.
Cela fait une semaine que j’essaie de croiser Gutiérrez dans le couloir, les escaliers ou à la porte de l’immeuble. J’ai passé des heures à attendre le moindre bruit susceptible de m’indiquer sa présence. Je suis arrivé en retard à mon travail et en suis revenu très vite, m’imaginant qu’il était peut-être sorti pendant mon absence.
Toutes les nuits, de ma fenêtre, j’observe son rituel privé. Hier soir, j’ai attendu qu’il sorte dans la cour pour être sûr qu’il était chez lui. Je l’ai vu arroser le pothos et ai descendu l’escalier. J’ai frappé à sa porte, sonné et crié son nom à plusieurs reprises, mais il ne s’est rien passé. Quand je suis rentré dans mon appartement, Gutiérrez était toujours dans la même position.

Tradabordo a dit…

Aussitôt, j’ai ouvert la fenêtre de la cuisine. Gutiérrez n’était plus là. Dieu merci. Merci. J’ai pris un café et suis sorti.
Cela fait une semaine que j’essaie de croiser Gutiérrez dans le couloir, les escaliers ou à la porte de l’immeuble. J’ai passé des heures à attendre le moindre bruit susceptible de m’indiquer sa présence. Je suis arrivé en retard à mon travail et en suis revenu très vite, m’imaginant qu’il était peut-être sorti pendant mon absence.
Toutes les nuits, de ma fenêtre, j’observe son rituel privé. Hier soir, j’ai attendu qu’il sorte dans la cour pour être sûr qu’il était chez lui. Je l’ai vu arroser le pothos et ai descendu l’escalier. J’ai frappé à sa porte, sonné et crié son nom à plusieurs reprises, mais il ne s’est rien passé. Quand je suis rentré dans mon appartement, Gutiérrez était toujours dans la même position.

OK.