dimanche 14 décembre 2014

Projet Émilie 6 – phrases 64-72

Estoy perdiendo horas de trabajo. Él sigue saliendo al patio cada noche a las diez y ejecuta su perfomance ante mí, su silencioso cómplice.
Necesito volver a mi rutina, cenar tranquilo viendo la televisión, ir a la cama a las once y descansar como se debe para poder rendir en el trabajo al día siguiente. ¿En qué clase de idiota me estoy convirtiendo? Quiero golpearlo y golpearme. Quizás con un mazazo pueda acomodarle las ideas a él. Y a mí. Sí, un mazazo… aunque quizás los salpicones de sangre en la cal blanca formarían un rompecabezas demasiado obvio par aun forense. Mejor una lobotomía, como las de la de Freeman, con una pica-hielo en el cráneo sobre el conducto lacrimal y moverlo hasta corta las conexiones entre el lóbulo frontal y el resto del cerebro. Freeman ni siguiera era cirujano, yo tampoco. Al menos si Gutierrez queda babeando en el banquito sentado frente a la pared le haré ahorrado el trabajo de responder a sus mandatos infernales.

Traduction temporaire :
Je travaille de moins en moins. Lui, il continue de sortir dans la cour chaque soir à vingt-deux heures pour exécuter sa performance devant moi – moi, son silencieux complice. J’ai besoin de retrouver ma routine, de dîner tranquillement en regardant la télévision, d’aller me coucher à vingt-trois heures et de me reposer suffisamment pour être efficace au bureau le lendemain. Quelle sorte d’imbécile suis-je en train de devenir ? J’ai envie de le frapper et de me frapper. Peut-être qu'avec un coup de massue, je pourrais lui remettre les idées en place. Et les miennes aussi. Oui, un coup de massue… même si les éclaboussures de sang sur la chaux blanche formeraient peut-être un puzzle trop évident pour un médecin légiste. Plutôt une lobotomie, comme celles réalisées par Freeman, avec un pic à glace planté dans le crâne, juste sur le canal lacrymal, et qu’on remue jusqu’à couper les connexions entre le lobe frontal et le reste du cerveau. Freeman n’était même pas chirurgien, pas plus que moi d'ailleurs. Au moins, si Gutiérrez se retrouve à passer son temps à baver sur le petit banc, assis face au mur, lui aurais-je épargné la peine d’obéir à ses ordres infernaux.

4 commentaires:

Emilie a dit…

Je travaille de moins en moins. Lui, il continue de sortir dans la cour chaque nuit à vingt-deux heures pour exécuter sa performance devant moi, son silencieux complice.
J’ai besoin de retrouver ma routine, de dîner tranquillement en regardant la télévision, d’aller me coucher à vingt-trois heures et de me reposer suffisamment pour être efficace au travail le lendemain. Quelle sorte d’imbécile suis-je en train de devenir ? J’ai envie de le frapper et de me frapper. Peut-être que d’un coup de massue, je pourrais lui remettre les idées en place. Et les miennes aussi. Oui, un coup de massue… même si les éclaboussures de sang sur la chaux blanche formeraient peut-être un puzzle trop évident pour un médecin légiste. Plutôt une lobotomie, comme celles réalisées par Freeman, avec un pic à glace planté dans le crâne, juste sur le canal lacrymal, et qu’on remue jusqu’à couper les connexions entre le lobe frontal et le reste du cerveau. Freeman n’était même pas chirurgien, pas plus que moi. Au moins, si Gutiérrez se retrouve à passer son temps à baver sur le petit banc, assis face au mur, je lui aurais épargné la peine d’obéir à ses ordres infernaux.

Tradabordo a dit…

Je travaille de moins en moins. Lui, il continue de sortir dans la cour chaque nuit [« soir » ?] à vingt-deux heures pour exécuter sa performance devant moi, [« – moi, » ?] son silencieux complice.
J’ai besoin de retrouver ma routine, de dîner tranquillement en regardant la télévision, d’aller me coucher à vingt-trois heures et de me reposer suffisamment pour être efficace au travail [« bureau » (tu as « travail » au-dessus…)] le lendemain. Quelle sorte d’imbécile suis-je en train de devenir ? J’ai envie de le frapper et de me frapper. Peut-être que d’un [ou « qu'avec un » ?] coup de massue, je pourrais lui remettre les idées en place. Et les miennes aussi. Oui, un coup de massue… même si les éclaboussures de sang sur la chaux blanche formeraient peut-être un puzzle trop évident pour un médecin légiste. Plutôt une lobotomie, comme celles réalisées par Freeman, avec un pic à glace planté dans le crâne, juste sur le canal lacrymal, et qu’on remue jusqu’à couper les connexions entre le lobe frontal et le reste du cerveau. Freeman n’était même pas chirurgien, pas plus que moi [« , d'ailleurs » ou inutile ? Comme tu veux]. Au moins, si Gutiérrez se retrouve à passer son temps à baver sur le petit banc, assis face au mur, je lui aurais épargné [« lui aurais-je » ?] la peine d’obéir à ses ordres infernaux.

Emilie a dit…

Je travaille de moins en moins. Lui, il continue de sortir dans la cour chaque soir à vingt-deux heures pour exécuter sa performance devant moi – moi, son silencieux complice.
J’ai besoin de retrouver ma routine, de dîner tranquillement en regardant la télévision, d’aller me coucher à vingt-trois heures et de me reposer suffisamment pour être efficace au bureau le lendemain. Quelle sorte d’imbécile suis-je en train de devenir ? J’ai envie de le frapper et de me frapper. Peut-être qu'avec un coup de massue, je pourrais lui remettre les idées en place. Et les miennes aussi. Oui, un coup de massue… même si les éclaboussures de sang sur la chaux blanche formeraient peut-être un puzzle trop évident pour un médecin légiste. Plutôt une lobotomie, comme celles réalisées par Freeman, avec un pic à glace planté dans le crâne, juste sur le canal lacrymal, et qu’on remue jusqu’à couper les connexions entre le lobe frontal et le reste du cerveau. Freeman n’était même pas chirurgien, pas plus que moi d'ailleurs. Au moins, si Gutiérrez se retrouve à passer son temps à baver sur le petit banc, assis face au mur, lui aurais-je épargné la peine d’obéir à ses ordres infernaux.

Tradabordo a dit…

Je travaille de moins en moins. Lui, il continue de sortir dans la cour chaque soir à vingt-deux heures pour exécuter sa performance devant moi – moi, son silencieux complice.
J’ai besoin de retrouver ma routine, de dîner tranquillement en regardant la télévision, d’aller me coucher à vingt-trois heures et de me reposer suffisamment pour être efficace au bureau le lendemain. Quelle sorte d’imbécile suis-je en train de devenir ? J’ai envie de le frapper et de me frapper. Peut-être qu'avec un coup de massue, je pourrais lui remettre les idées en place. Et les miennes aussi. Oui, un coup de massue… même si les éclaboussures de sang sur la chaux blanche formeraient peut-être un puzzle trop évident pour un médecin légiste. Plutôt une lobotomie, comme celles réalisées par Freeman, avec un pic à glace planté dans le crâne, juste sur le canal lacrymal, et qu’on remue jusqu’à couper les connexions entre le lobe frontal et le reste du cerveau. Freeman n’était même pas chirurgien, pas plus que moi d'ailleurs. Au moins, si Gutiérrez se retrouve à passer son temps à baver sur le petit banc, assis face au mur, lui aurais-je épargné la peine d’obéir à ses ordres infernaux.

OK.