mercredi 3 décembre 2014

Projet Hélène 3 – phrases 240-245

Contuvo la respiración y luego exhaló para escuchar algo en la avenida. Siguió avanzando por las calles abandonadas, el centro de comercio desierto. Ninguna calle poseía ya nombre, la radiación se los había llevado. El silencio se hacía más profundo mientras más se acercaba al parque de diversiones. Ahí, también los fierros retorcidos se confundían con la maleza que crecía por todas partes atropellándose. A pocos metros, la rueda del diablo, ese armatoste detenido en el tiempo, se alzaba sin darle más explicaciones.

Traduction temporaire :
Ayant entendu un son en provenance de l’avenue, il retint sa respiration, avant de souffler. Il poursuivit son chemin dans les rues abandonnées, puis dans le centre commercial désert. Plus aucune rue ne portait de nom, les radiations les avaient emportés. À mesure qu’il s’approchait du parc, le silence devint de plus en plus profond. Là-bas, la ferraille tordue se confondait avec les broussailles qui poussaient de toutes parts en s’entremêlant. À quelques mètres, la roue du diable, cet engin arrêté dans le temps, se dressait devant lui sans donner d’explication.

8 commentaires:

Hélène a dit…

Il retint sa respiration, avant de souffler, pour écouter quelque son sur l’avenue. Il poursuivis son chemin dans les rues abandonnées, le centre commercial désert. Plus aucune rue ne portait de nom, les radiations les avaient emportés. Le silence devint de plus en plus profond à mesure qu’il s’approchait du parc. Là-bas, la ferraille tordue se confondait avec les broussailles qui poussaient de toutes parts en s’entrechoquant. À quelques mètres, la roue du diable, cet engin arrêté dans le temps se dressait devant lui sans donner d’explication.

Tradabordo a dit…

Il retint sa respiration, avant de souffler, [virgule ?] pour écouter quelque son [peu naturel] sur l’avenue. Il poursuivis [grammaire… Bon, au cas où, je te laisse relire l'ensemble ;-)] son chemin dans les rues abandonnées, le centre commercial désert. Plus aucune rue ne portait de nom, les radiations les avaient emportés. Le silence devint de plus en plus profond à mesure qu’il s’approchait du parc. Là-bas, la ferraille tordue se confondait avec les broussailles qui poussaient de toutes parts en s’entrechoquant. À quelques mètres, la roue du diable, cet engin arrêté dans le temps se dressait devant lui sans donner d’explication.

Hélène a dit…

Il retint sa respiration, avant de souffler pour écouter un son provenant de l’avenue. Il poursuivit son chemin dans les rues abandonnées, le centre commercial désert. Plus aucune rue ne portait de nom, les radiations les avaient emportés. Le silence devint de plus en plus profond à mesure qu’il s’approchait du parc. Là-bas, la ferraille tordue se confondait avec les broussailles qui poussaient de toutes parts en s’entrechoquant. À quelques mètres, la roue du diable, cet engin arrêté dans le temps, se dressait devant lui sans donner d’explication.

Tradabordo a dit…

Il retint sa respiration, avant de souffler pour [au fait, est-ce que c'est vraiment le but ?] écouter un son provenant de l’avenue. Il poursuivit son chemin dans les rues abandonnées, le centre commercial désert. Plus aucune rue ne portait de nom, les radiations les avaient emportés. Le silence devint de plus en plus profond à mesure qu’il s’approchait du parc. Là-bas, la ferraille tordue se confondait avec les broussailles qui poussaient de toutes parts en s’entrechoquant. À quelques mètres, la roue du diable, cet engin arrêté dans le temps, se dressait devant lui sans donner d’explication.

Hélène a dit…

Il retint sa respiration, avant de souffler, car il avait entendu un son provenant de l’avenue. Il poursuivit son chemin dans les rues abandonnées, le centre commercial désert. Plus aucune rue ne portait de nom, les radiations les avaient emportés. Le silence devint de plus en plus profond à mesure qu’il s’approchait du parc. Là-bas, la ferraille tordue se confondait avec les broussailles qui poussaient de toutes parts en s’entrechoquant. À quelques mètres, la roue du diable, cet engin arrêté dans le temps, se dressait devant lui sans donner d’explication.

Tradabordo a dit…

Il retint sa respiration, avant de souffler, car il avait [« ayant » ? Comme tu veux…] entendu un son provenant [« en provenance » ?] de l’avenue. Il poursuivit son chemin dans les rues abandonnées, [chevilles : « puis dans » ou inutile ?] le centre commercial désert. Plus aucune rue ne portait de nom, les radiations les avaient emportés. Le silence devint de plus en plus profond à mesure qu’il s’approchait du parc [au début de la phrase ? Essaie et vois ce qui est mieux…]. Là-bas, la ferraille tordue se confondait avec les broussailles qui poussaient de toutes parts en s’entrechoquant [bizarre]. À quelques mètres, la roue du diable, cet engin arrêté dans le temps, se dressait devant lui sans donner d’explication.

Hélène a dit…

Ayant entendu un son en provenance de l’avenue, il retint sa respiration, avant de souffler. Il poursuivit son chemin dans les rues abandonnées, puis dans le centre commercial désert. Plus aucune rue ne portait de nom, les radiations les avaient emportés. À mesure qu’il s’approchait du parc, le silence devint de plus en plus profond. Là-bas, la ferraille tordue se confondait avec les broussailles qui poussaient de toutes parts en s’entremêlant. À quelques mètres, la roue du diable, cet engin arrêté dans le temps, se dressait devant lui sans donner d’explication.

Tradabordo a dit…

Ayant entendu un son en provenance de l’avenue, il retint sa respiration, avant de souffler. Il poursuivit son chemin dans les rues abandonnées, puis dans le centre commercial désert. Plus aucune rue ne portait de nom, les radiations les avaient emportés. À mesure qu’il s’approchait du parc, le silence devint de plus en plus profond. Là-bas, la ferraille tordue se confondait avec les broussailles qui poussaient de toutes parts en s’entremêlant. À quelques mètres, la roue du diable, cet engin arrêté dans le temps, se dressait devant lui sans donner d’explication.

OK.