jeudi 11 décembre 2014

Projet Hélène 3 – phrases 246-253

El color amarillo de los compartimientos aún se lograba distinguir si detenía fijamente la mirada. Se acordó de Anya y de las innumerables veces que subieron a la rueda. Aunque a Aliaksei le daba vértigo mirar desde arriba, su nieta gritaba riendo cada vez que su carrito llegaba hasta el punto más alto. Desde ahí se podía ver toda la ciudad y a lo lejos la planta. Se acercó a los controles para tratar de hacer funcionar el armatoste de metal, pero fue inútil. Aliaksei volvió a mirarlo quieto, silencioso. Esperando que viniera alguna ráfaga de viento que se lo llevase al olvido. Entonces, sintió sobre su cabeza los primeros copos del invierno.

Traduction temporaire :
En observant attentivement, on pouvait encore percevoir la couleur jaune des wagons. Il se souvint d’Anya et des innombrables fois où ils étaient montés dans cette roue. Alors qu’Aliaksei avait le vertige dès qu’il regardait d’en haut, sa petite-fille, elle, criait et riait chaque fois que la cabine atteignait le point culminant, d’où on voyait toute la ville et, au loin, la centrale. Il s’approcha des manettes pour essayer de mettre en marche l’engin métallique, en vain. Aliaksei l’observa dans le calme et le silence, espérant qu’une rafale de vent l’emporte dans l’oubli. À ce moment-là, il sentit les premiers flocons de l’hiver tomber sur son crâne.

4 commentaires:

Hélène a dit…

La couleur jaune des wagons était encore perceptible en observant attentivement. Il se souvint d’Anya et des innombrables fois où ils montèrent dans cette roue. Alors qu’Aliaksei avait le vertige dès qu’il regardait d’en haut, sa petite-fille, elle, criait et riait chaque fois que la cabine atteignait le point culminant, d’où on voyait toute la ville et, au loin, la centrale. Il s’approcha des manettes pour essayer de faire fonctionner l’engin métallique, en vain. Aliaksei l’observa de nouveau dans le calme et le silence, espérant qu’une rafale de vent l’emporte avec elle dans l’oubli. À ce moment, il sentit tomber sur son crâne les premiers flocons de l’hiver.

Tradabordo a dit…

La couleur jaune des wagons était encore perceptible en observant attentivement [un petit changement de syntaxe pourrait donner plus de fluidité à cette phrase // parfois, il ne faut pas hésiter à se dégager de la V.O. ; pas réécrire, juste aménager ;-)]. Il se souvint d’Anya et des innombrables fois où ils montèrent [temps] dans cette roue. Alors qu’Aliaksei avait le vertige dès qu’il regardait d’en haut, sa petite-fille, elle, criait et riait chaque fois que la cabine atteignait le point culminant, d’où on voyait toute la ville et, au loin, la centrale. Il s’approcha des manettes pour essayer de faire fonctionner [« mettre en marche » ?] l’engin métallique, en vain. Aliaksei l’observa de nouveau [nécessaire ?] dans le calme et le silence, espérant qu’une rafale de vent l’emporte avec elle [nécessaire ?] dans l’oubli. À ce moment[« -là » ?], il sentit tomber sur son crâne les premiers flocons de l’hiver [inverse].

Hélène a dit…

En observant attentivement, on pouvait encore percevoir la couleur jaune des wagons. Il se souvint d’Anya et des innombrables fois où ils étaient montés dans cette roue. Alors qu’Aliaksei avait le vertige dès qu’il regardait d’en haut, sa petite-fille, elle, criait et riait chaque fois que la cabine atteignait le point culminant, d’où on voyait toute la ville et, au loin, la centrale. Il s’approcha des manettes pour essayer de mettre en marche l’engin métallique, en vain. Aliaksei l’observa dans le calme et le silence, espérant qu’une rafale de vent l’emporte dans l’oubli. À ce moment-là, il sentit les premiers flocons de l’hiver tomber sur son crâne.

Tradabordo a dit…

En observant attentivement, on pouvait encore percevoir la couleur jaune des wagons. Il se souvint d’Anya et des innombrables fois où ils étaient montés dans cette roue. Alors qu’Aliaksei avait le vertige dès qu’il regardait d’en haut, sa petite-fille, elle, criait et riait chaque fois que la cabine atteignait le point culminant, d’où on voyait toute la ville et, au loin, la centrale. Il s’approcha des manettes pour essayer de mettre en marche l’engin métallique, en vain. Aliaksei l’observa dans le calme et le silence, espérant qu’une rafale de vent l’emporte dans l’oubli. À ce moment-là, il sentit les premiers flocons de l’hiver tomber sur son crâne.

OK.