mardi 16 décembre 2014

Projet Hélène 3 – phrases 254-266

 16

La nevada se había llevado la sensación de frío. Pero Aliaksei no se esperaba la llegada del invierno tan temprano. Sentado en el parque de diversiones, vio cómo la nieve se iba apoderando de la ciudad, entraba por los huecos de los techos de las ventanas y se depositaba lentamente sobre la maleza. A lo lejos la vieja construcción de ladrillo y cemento, la planta nuclear, se levantaba hermética y eterna sobre la ciudad. Sólo la nieve seguía cayendo sobre ella sin pedirle permiso. Entonces, Aliaksei creyó ver a lo lejos la silueta de un hombre llevando algo entre las manos. El anciano comenzó a caminar y a llamar al hombre. Pero este no le hizo caso. Aliaksei corrió más de prisa y se percató de que el hombre no se movía. Al llegar frente a él se detuvo. Ya no pudo escuchar sus latidos, sólo la nieve que caía perpetua sobre la zona. Enfrente de la planta nuclear, la estatua absorta mirando el fuego entre sus manos permanecía callada. Inmóvil, reconoció la figura de Prometeo. Aliaksei había llegado a casa.


Nueva York, marzo del 2013

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires :
La chute de neige avait emporté la sensation de froid. Pourtant, Aliaksei ne s’attendait pas à ce que l’hiver arrive si tôt. Assis au milieu de l’aire de jeux, il observa comment le blanc s’emparait de la ville, entrait par les trous des toits, des fenêtres, et couvraient lentement les broussailles. Au loin, se dressait cette vieille construction en briques et en ciment, la centrale nucléaire, hermétique et éternelle. Seule la neige s’abattait encore sur elle sans lui demander la permission. Aliaksei crut voir, à quelques mètres, la silhouette d’un homme avec quelque chose dans les mains, et se mit à courir après lui et à l’appeler. En vain ; l'autre ne répondit pas. Aliaksei accéléra le pas et se rendit compte que l'autre ne bougeait pas. Quand il fut face à lui, il s’arrêta, ne parvenant plus à écouter les battements de son cœur, seulement la neige qui ne cessait de tomber. Devant la centrale, la statue, songeuse, les yeux fixés sur le feu entre ses mains, restait silencieuse. Transi, il reconnut le visage de Prométhée. Aliaksei était arrivé chez lui.

New York, mars 2013

10 commentaires:

Hélène a dit…


16
La neige avait balayé la sensation de froid. Pourtant Aliaksei ne s’attendait pas à ce que l’hiver arrive si tôt. Assis au milieu de l’aire de jeux, il observa comment la neige s’emparait de la ville, entrait par les trous des toits, des fenêtres, et se déposait lentement sur les broussailles. Au loin, cette vieille construction en briques et en ciment, la centrale nucléaire, se dressait hermétique et éternelle sur la ville. Seule la neige s’abattait encore sur elle sans lui demander la permission. Aliaksei crut alors voir à quelques mètres la silhouette d’un homme portant quelque chose dans ses mains, et se mit à courir après lui et à l’appeler. Mais, celui-ci ne répondit pas. Aliaksei accéléra alors le pas et se rendit compte que l’homme ne bougeait pas. Quand il fut face à lui, il s’arrêta, ne parvenant plus à écouter les battements de son cœur, seulement la neige qui ne cessait de tomber sur la zone. Devant la centrale, la statue, songeuse, observant le feu entre ses mains, restait silencieuse. Transi, il reconnut le visage de Prométhée. Aliaksei était arrivé chez lui.

New York, mars 2013

Tradabordo a dit…

16

La [« chute » ?] neige avait balayé [« emporté » ?] la sensation de froid. Pourtant [virgule] Aliaksei ne s’attendait pas à ce que l’hiver arrive si tôt. Assis au milieu de l’aire de jeux, il observa comment la neige [« le blanc » ? On triche un peu, mais bon… À toi de voir…] s’emparait de la ville, entrait par les trous des toits, des fenêtres, et se déposait [« couvrir » ?] lentement sur les broussailles. Au loin, cette vieille construction en briques et en ciment, la centrale nucléaire, se dressait [placé avant ?] [virgule] hermétique et éternelle sur la ville. Seule la neige s’abattait encore sur elle sans lui demander la permission. Aliaksei crut alors [nécessaire ?] voir [virgule ?] à quelques mètres [virgule ?] la silhouette d’un homme portant [« avec » ?] quelque chose dans ses mains, et se mit à courir après [populaire ? Vérifie] lui et à l’appeler. Mais, celui-ci ne répondit pas [« en vain ; l'autre ne répondit pas » ?]. Aliaksei accéléra alors [supprime ; tu vois, c'est un tic… le genre de trucs à supprimer // le fait que ce soit ultérieur est implicite et ça allège] le pas et se rendit compte que l’homme [« l'autre »] ne bougeait pas. Quand il fut face à lui, il s’arrêta, ne parvenant plus à écouter les battements de son cœur, seulement la neige qui ne cessait de tomber sur la zone. Devant la centrale, la statue, songeuse, observant [« les yeux fixés sur » ?] le feu entre ses mains, restait silencieuse. Transi, il reconnut le visage de Prométhée. Aliaksei était arrivé chez lui.

New York, mars 2013

Tradabordo a dit…

16

La [« chute » ?] neige avait balayé [« emporté » ?] la sensation de froid. Pourtant [virgule] Aliaksei ne s’attendait pas à ce que l’hiver arrive si tôt. Assis au milieu de l’aire de jeux, il observa comment la neige [« le blanc » ? On triche un peu, mais bon… À toi de voir…] s’emparait de la ville, entrait par les trous des toits, des fenêtres, et se déposait [« couvrir » ?] lentement sur les broussailles. Au loin, cette vieille construction en briques et en ciment, la centrale nucléaire, se dressait [placé avant ?] [virgule] hermétique et éternelle sur la ville. Seule la neige s’abattait encore sur elle sans lui demander la permission. Aliaksei crut alors [nécessaire ?] voir [virgule ?] à quelques mètres [virgule ?] la silhouette d’un homme portant [« avec » ?] quelque chose dans ses mains, et se mit à courir après [populaire ? Vérifie] lui et à l’appeler. Mais, celui-ci ne répondit pas [« en vain ; l'autre ne répondit pas » ?]. Aliaksei accéléra alors [supprime ; tu vois, c'est un tic… le genre de trucs à supprimer // le fait que ce soit ultérieur est implicite et ça allège] le pas et se rendit compte que l’homme [« l'autre »] ne bougeait pas. Quand il fut face à lui, il s’arrêta, ne parvenant plus à écouter les battements de son cœur, seulement la neige qui ne cessait de tomber sur la zone. Devant la centrale, la statue, songeuse, observant [« les yeux fixés sur » ?] le feu entre ses mains, restait silencieuse. Transi, il reconnut le visage de Prométhée. Aliaksei était arrivé chez lui.

New York, mars 2013

Hélène a dit…

La chute de neige avait emporté la sensation de froid. Pourtant, Aliaksei ne s’attendait pas à ce que l’hiver arrive si tôt. Assis au milieu de l’aire de jeux, il observa comment le blanc s’emparait de la ville, entrait par les trous des toits, des fenêtres, et couvraient lentement les broussailles. Au loin, se dressait, hermétique et éternelle sur la ville, cette vieille construction en briques et en ciment, la centrale nucléaire. Seule la neige s’abattait encore sur elle sans lui demander la permission. Aliaksei crut voir, à quelques mètres, la silhouette d’un homme avec quelque chose dans ses mains, et se mit à courir après [populaire ? Vérifie // "Courir après quelqu'un pour le rattraper", langage courant d'après RoRo, le petit Robert ;-) Pareil chez TLFi] lui et à l’appeler. Mais, en vain ; l'autre ne répondit pas. Aliaksei accéléra le pas et se rendit compte que l'autre ne bougeait pas. Quand il fut face à lui, il s’arrêta, ne parvenant plus à écouter les battements de son cœur, seulement la neige qui ne cessait de tomber sur la zone. Devant la centrale, la statue, songeuse, les yeux fixés sur le feu entre ses mains, restait silencieuse. Transi, il reconnut le visage de Prométhée. Aliaksei était arrivé chez lui.
New York, mars 2013

Tradabordo a dit…

La chute de neige avait emporté la sensation de froid. Pourtant, Aliaksei ne s’attendait pas à ce que l’hiver arrive si tôt. Assis au milieu de l’aire de jeux, il observa comment le blanc s’emparait de la ville, entrait par les trous des toits, des fenêtres, et couvraient lentement les broussailles. Au loin, se dressait, hermétique et éternelle sur la ville, [pb de syntaxe… les adjectifs ne vont pas sur le bon truc] cette vieille construction en briques et en ciment, la centrale nucléaire. Seule la neige s’abattait encore sur elle sans lui demander la permission. Aliaksei crut voir, à quelques mètres, la silhouette d’un homme avec quelque chose dans ses [sans le possessif ce sera mieux…] mains, et se mit à courir après [populaire ? Vérifie // "Courir après quelqu'un pour le rattraper", langage courant d'après RoRo, le petit Robert ;-) Pareil chez TLFi // OK] lui et à l’appeler. Mais, en vain ; l'autre ne répondit pas. Aliaksei accéléra le pas et se rendit compte que l'autre ne bougeait pas. Quand il fut face à lui, il s’arrêta, ne parvenant plus à écouter les battements de son cœur, seulement la neige qui ne cessait de tomber sur la zone [pas besoin]. Devant la centrale, la statue, songeuse, les yeux fixés sur le feu entre ses mains, restait silencieuse. Transi, il reconnut le visage de Prométhée. Aliaksei était arrivé chez lui.
New York, mars 2013

Hélène a dit…

La chute de neige avait emporté la sensation de froid. Pourtant, Aliaksei ne s’attendait pas à ce que l’hiver arrive si tôt. Assis au milieu de l’aire de jeux, il observa comment le blanc s’emparait de la ville, entrait par les trous des toits, des fenêtres, et couvraient lentement les broussailles. Au loin, se dressait sur la ville cette vieille construction en briques et en ciment, la centrale nucléaire, hermétique et éternelle. Seule la neige s’abattait encore sur elle sans lui demander la permission. Aliaksei crut voir, à quelques mètres, la silhouette d’un homme avec quelque chose dans les mains, et se mit à courir après lui et à l’appeler. Mais, en vain ; l'autre ne répondit pas. Aliaksei accéléra le pas et se rendit compte que l'autre ne bougeait pas. Quand il fut face à lui, il s’arrêta, ne parvenant plus à écouter les battements de son cœur, seulement la neige qui ne cessait de tomber. Devant la centrale, la statue, songeuse, les yeux fixés sur le feu entre ses mains, restait silencieuse. Transi, il reconnut le visage de Prométhée. Aliaksei était arrivé chez lui.
New York, mars 2013

Tradabordo a dit…

La chute de neige avait emporté la sensation de froid. Pourtant, Aliaksei ne s’attendait pas à ce que l’hiver arrive si tôt. Assis au milieu de l’aire de jeux, il observa comment le blanc s’emparait de la ville, entrait par les trous des toits, des fenêtres, et couvraient lentement les broussailles. Au loin, se dressait sur la ville [supprime ; on l'a avant et c'est évident] cette vieille construction en briques et en ciment, la centrale nucléaire, hermétique et éternelle. Seule la neige s’abattait encore sur elle sans lui demander la permission. Aliaksei crut voir, à quelques mètres, la silhouette d’un homme avec quelque chose dans les mains, et se mit à courir après lui et à l’appeler. Mais, en vain [redondant… pas besoin de « mais »] ; l'autre ne répondit pas. Aliaksei accéléra le pas et se rendit compte que l'autre ne bougeait pas. Quand il fut face à lui, il s’arrêta, ne parvenant plus à écouter les battements de son cœur, seulement la neige qui ne cessait de tomber. Devant la centrale, la statue, songeuse, les yeux fixés sur le feu entre ses mains, restait silencieuse. Transi, il reconnut le visage de Prométhée. Aliaksei était arrivé chez lui.
New York, mars 2013

Tradabordo a dit…

La chute de neige avait emporté la sensation de froid. Pourtant, Aliaksei ne s’attendait pas à ce que l’hiver arrive si tôt. Assis au milieu de l’aire de jeux, il observa comment le blanc s’emparait de la ville, entrait par les trous des toits, des fenêtres, et couvraient lentement les broussailles. Au loin, se dressait sur la ville [supprime ; on l'a avant et c'est évident] cette vieille construction en briques et en ciment, la centrale nucléaire, hermétique et éternelle. Seule la neige s’abattait encore sur elle sans lui demander la permission. Aliaksei crut voir, à quelques mètres, la silhouette d’un homme avec quelque chose dans les mains, et se mit à courir après lui et à l’appeler. Mais, en vain [redondant… pas besoin de « mais »] ; l'autre ne répondit pas. Aliaksei accéléra le pas et se rendit compte que l'autre ne bougeait pas. Quand il fut face à lui, il s’arrêta, ne parvenant plus à écouter les battements de son cœur, seulement la neige qui ne cessait de tomber. Devant la centrale, la statue, songeuse, les yeux fixés sur le feu entre ses mains, restait silencieuse. Transi, il reconnut le visage de Prométhée. Aliaksei était arrivé chez lui.
New York, mars 2013

Hélène a dit…

La chute de neige avait emporté la sensation de froid. Pourtant, Aliaksei ne s’attendait pas à ce que l’hiver arrive si tôt. Assis au milieu de l’aire de jeux, il observa comment le blanc s’emparait de la ville, entrait par les trous des toits, des fenêtres, et couvraient lentement les broussailles. Au loin, se dressait cette vieille construction en briques et en ciment, la centrale nucléaire, hermétique et éternelle. Seule la neige s’abattait encore sur elle sans lui demander la permission. Aliaksei crut voir, à quelques mètres, la silhouette d’un homme avec quelque chose dans les mains, et se mit à courir après lui et à l’appeler. En vain ; l'autre ne répondit pas. Aliaksei accéléra le pas et se rendit compte que l'autre ne bougeait pas. Quand il fut face à lui, il s’arrêta, ne parvenant plus à écouter les battements de son cœur, seulement la neige qui ne cessait de tomber. Devant la centrale, la statue, songeuse, les yeux fixés sur le feu entre ses mains, restait silencieuse. Transi, il reconnut le visage de Prométhée. Aliaksei était arrivé chez lui.
New York, mars 2013

Tradabordo a dit…

La chute de neige avait emporté la sensation de froid. Pourtant, Aliaksei ne s’attendait pas à ce que l’hiver arrive si tôt. Assis au milieu de l’aire de jeux, il observa comment le blanc s’emparait de la ville, entrait par les trous des toits, des fenêtres, et couvraient lentement les broussailles. Au loin, se dressait cette vieille construction en briques et en ciment, la centrale nucléaire, hermétique et éternelle. Seule la neige s’abattait encore sur elle sans lui demander la permission. Aliaksei crut voir, à quelques mètres, la silhouette d’un homme avec quelque chose dans les mains, et se mit à courir après lui et à l’appeler. En vain ; l'autre ne répondit pas. Aliaksei accéléra le pas et se rendit compte que l'autre ne bougeait pas. Quand il fut face à lui, il s’arrêta, ne parvenant plus à écouter les battements de son cœur, seulement la neige qui ne cessait de tomber. Devant la centrale, la statue, songeuse, les yeux fixés sur le feu entre ses mains, restait silencieuse. Transi, il reconnut le visage de Prométhée. Aliaksei était arrivé chez lui.
New York, mars 2013

OK.

Tu peux relire. Et remets la mise en page initiale.
Assure-toi bien qu'il ne manque pas de phrases. J'ai souvent des problèmes à l'enregistrement.