jeudi 8 janvier 2015

Projet Annelise 2 – phrases 73-79

La gente se despide. Hay muchos rostros que deciden jugar a la incomprensión, al desgaste, al reproche. Nadie entiende, porque no debemos entender, yo no debía entender. Las palabras, las respuestas no conducen a una idea concreta de ese entendimiento, no hay probabilidades de contacto con algo, una caricia, un gesto que esconda una certeza, un diamante de palabras y de verbos que se guarden entre todos. No existe eso. Celine se detiene al andar de vuelta a su carro. Mira fijamente hacia unos árboles.

Traduction temporaire :
Les gens prennent congé. De nombreux visages décident de jouer le jeu de l’incompréhension, de l’usure, du reproche. Personne ne saisit, car il ne faut pas que nous saisissions, que moi, je saisisse. Ni les mots ni les réponses ne conduisent à une idée concrète de cet entendement, il n’existe pas de probabilités d'établir un lien avec quoi que ce soit, une caresse, un geste dissimulant une certitude, un diamant de paroles et de verbes que chacun de nous pourrait garder. Cela n’existe pas. Sur le chemin du retour vers sa voiture, Celine s’arrête. Elle regarde intensément des arbres.

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Annelise L

Les gens repartent. De nombreux visages décident de jouer le jeu de l’incompréhension, de l’usure, du reproche. Personne ne comprend, car il ne faut pas que nous comprenions ; il ne fallait pas que moi, je comprenne. Ni les mots ni les réponses ne conduisent à une idée concrète de cet entendement, il n’existe pas de probabilités de contact avec quoi que ce soit, une caresse, un geste dissimulant une certitude, un diamant de mots et de verbes que chacun de nous puissions garder. Cela n’existe pas. Sur le chemin du retour vers sa voiture, Celine s’arrête. Elle regarde intensément quelques arbres.

Tradabordo a dit…

Les gens repartent [« prennent congé » ?]. De nombreux visages décident de jouer le jeu de l’incompréhension, de l’usure, du reproche. Personne ne comprend [pas de répétition en V.O. ; donc essaie de trouver une solution en français], car il ne faut pas que nous comprenions ; il ne fallait pas [supprime tout ça et mets une simple virgule] que moi, je comprenne. Ni les mots ni les réponses ne conduisent à une idée concrète de cet entendement, il n’existe pas de probabilités de [« d'établir un lien / rapport » ?] contact avec quoi que ce soit, une caresse, un geste dissimulant une certitude, un diamant de mots [« paroles » ?] et de verbes que chacun de nous puissions garder. Cela n’existe pas. Sur le chemin du retour vers sa voiture, Celine s’arrête. Elle regarde intensément quelques [« des » ?] arbres.

Anonyme a dit…

Annelise L

Les gens prennent congé. De nombreux visages décident de jouer le jeu de l’incompréhension, de l’usure, du reproche. Personne ne saisit, car il ne faut pas que nous saisissions, que moi, je saisisse. Ni les mots ni les réponses ne conduisent à une idée concrète de cet entendement, il n’existe pas de probabilités d'établir un lien avec quoi que ce soit, une caresse, un geste dissimulant une certitude, un diamant de paroles et de verbes que chacun de nous puissions garder. Cela n’existe pas. Sur le chemin du retour vers sa voiture, Celine s’arrête. Elle regarde intensément des arbres.

Tradabordo a dit…

Les gens prennent congé. De nombreux visages décident de jouer le jeu de l’incompréhension, de l’usure, du reproche. Personne ne saisit, car il ne faut pas que nous saisissions, que moi, je saisisse. Ni les mots ni les réponses ne conduisent à une idée concrète de cet entendement, il n’existe pas de probabilités d'établir un lien avec quoi que ce soit, une caresse, un geste dissimulant une certitude, un diamant de paroles et de verbes que chacun de nous puissions [« pourrait »] garder. Cela n’existe pas. Sur le chemin du retour vers sa voiture, Celine s’arrête. Elle regarde intensément des arbres.

Anonyme a dit…

Annelise L

Les gens prennent congé. De nombreux visages décident de jouer le jeu de l’incompréhension, de l’usure, du reproche. Personne ne saisit, car il ne faut pas que nous saisissions, que moi, je saisisse. Ni les mots ni les réponses ne conduisent à une idée concrète de cet entendement, il n’existe pas de probabilités d'établir un lien avec quoi que ce soit, une caresse, un geste dissimulant une certitude, un diamant de paroles et de verbes que chacun de nous pourrait garder. Cela n’existe pas. Sur le chemin du retour vers sa voiture, Celine s’arrête. Elle regarde intensément des arbres.

Tradabordo a dit…

Les gens prennent congé. De nombreux visages décident de jouer le jeu de l’incompréhension, de l’usure, du reproche. Personne ne saisit, car il ne faut pas que nous saisissions, que moi, je saisisse. Ni les mots ni les réponses ne conduisent à une idée concrète de cet entendement, il n’existe pas de probabilités d'établir un lien avec quoi que ce soit, une caresse, un geste dissimulant une certitude, un diamant de paroles et de verbes que chacun de nous pourrait garder. Cela n’existe pas. Sur le chemin du retour vers sa voiture, Celine s’arrête. Elle regarde intensément des arbres.

OK.