mercredi 14 janvier 2015

Projet Élodie 10 – phrases 14-17


Venía a casa un viernes y, al día siguiente, desayunaba dos veces: una a solas ―es tan triste saciar el hambre sin compañía― y otra con ella: música y tostadas; infusiones o café; embutido, fruta, tomate rayado, aceite de linaza a la primera presión en frío. Y zumo. Siempre me ha parecido que la gente que necesita colar el zumo de naranja es insulsa, un poco imbécil. Para Micaela, en cambio, exprimía cuatro naranjas que se bebía en dos o tres tragos con todos los grumos. 

Traduction temporaire :

Lorsqu'elle venait à la maison le vendredi, le lendemain, je déjeunais deux fois : une fois seule – c'est tellement triste d'apaiser sa faim sans avoir de compagnie – l'autre fois avec elle ; musique et tartines grillées, infusions ou café, charcuterie, fruits, tomates tranchées, huile de linette à la première pression à froid. Et du jus. Il m'a toujours semblé que les gens qui ont besoin de filtrer le jus d'orange sont fades, un peu imbéciles. En revanche, Micaela, elle, pressait quatre oranges qu'elle buvait en seulement deux ou trois gorgées avec tous les grumeaux.

14 commentaires:

Elodie a dit…

Elle venait à la maison le vendredi et le lendemain, je déjeunais deux fois : une fois seule – c'est tellement triste d'assouvir sa faim sans compagnie – et l'autre fois avec elle ; musique et tartines grillées, infusions ou café, charcuterie, fruits, tomates tranchées, huile de linette a la première pression, à froid. Et du jus. Il m'a toujours semblé que les gens qui ont besoin de filtrer le jus d'orange sont fades, un peu imbéciles. En revanche, Micaela pressait quatre oranges qu'elle buvait en deux ou trois gorgées avec tous les grumeaux.

Tradabordo a dit…

Elle venait à la maison le vendredi [est-ce que là, on ne croit pas que c'est toutes les semaines ?] et le lendemain, je déjeunais deux fois : une fois seule – c'est tellement triste d'assouvir [pas sûre que ça se dise avec « faim », mais vérifie… Un petit doute] sa faim sans [cheville : « avoir de » ou inutile ? Comme tu veux] compagnie – et l'autre fois avec elle ; musique et tartines grillées, infusions ou café, charcuterie, fruits, tomates tranchées, huile de linette a [grammaire] la première pression, [la virgule ?] à froid. Et du jus. Il m'a toujours semblé que les gens qui ont besoin de filtrer [vérifie qu'on dit bien comme ça…] le jus d'orange sont fades, un peu imbéciles. En revanche, Micaela pressait quatre oranges qu'elle buvait en [« seulement » ?] deux ou trois gorgées avec tous les grumeaux.

Elodie a dit…

Elle venait à la maison un vendredi et le lendemain, je déjeunais deux fois : une fois seule – c'est tellement triste d'apaiser sa faim sans avoir de compagnie – et l'autre fois avec elle ; musique et tartines grillées, infusions ou café, charcuterie, fruits, tomates tranchées, huile de linette à la première pression à froid. Et du jus. Il m'a toujours semblé que les gens qui ont besoin de filtrer le jus d'orange sont fades, un peu imbéciles. En revanche, Micaela pressait quatre oranges qu'elle buvait en seulement deux ou trois gorgées avec tous les grumeaux.

Tradabordo a dit…

Elle venait à la maison un vendredi [mais le dirait-on spontanément ? Tu devrais t'approprier davantage tout cela] et le lendemain, je déjeunais deux fois : une fois seule – c'est tellement triste d'apaiser sa faim sans avoir de compagnie – et [nécessaire ?] l'autre fois avec elle ; musique et tartines grillées, infusions ou café, charcuterie, fruits, tomates tranchées, huile de linette à la première pression à froid. Et du jus. Il m'a toujours semblé que les gens qui ont besoin de filtrer le jus d'orange sont fades, un peu imbéciles. En revanche, Micaela pressait quatre oranges qu'elle buvait en seulement deux ou trois gorgées avec tous les grumeaux.

Elodie a dit…

Un vendredi, elle venait à la maison et le lendemain, je déjeunais deux fois : une fois seule – c'est tellement triste d'apaiser sa faim sans avoir de compagnie – l'autre fois avec elle ; musique et tartines grillées, infusions ou café, charcuterie, fruits, tomates tranchées, huile de linette à la première pression à froid. Et du jus. Il m'a toujours semblé que les gens qui ont besoin de filtrer le jus d'orange sont fades, un peu imbéciles. En revanche, Micaela pressait quatre oranges qu'elle buvait en seulement deux ou trois gorgées avec tous les grumeaux.

Tradabordo a dit…

Un vendredi, elle venait à la maison et le lendemain, je déjeunais deux fois : une fois seule – c'est tellement triste d'apaiser sa faim sans avoir de compagnie – l'autre fois avec elle ; musique et tartines grillées, infusions ou café, charcuterie, fruits, tomates tranchées, huile de linette à la première pression à froid. Et du jus. Il m'a toujours semblé que les gens qui ont besoin de filtrer le jus d'orange sont fades, un peu imbéciles. En revanche, Micaela [« , elle, » ?] pressait quatre oranges qu'elle buvait en seulement deux ou trois gorgées avec tous les grumeaux [on n'appelle pas plutôt cela la pulpe, au fait ?].

Elodie a dit…

Un vendredi, elle venait à la maison et le lendemain, je déjeunais deux fois : une fois seule – c'est tellement triste d'apaiser sa faim sans avoir de compagnie – l'autre fois avec elle ; musique et tartines grillées, infusions ou café, charcuterie, fruits, tomates tranchées, huile de linette à la première pression à froid. Et du jus. Il m'a toujours semblé que les gens qui ont besoin de filtrer le jus d'orange sont fades, un peu imbéciles. En revanche, Micaela, elle, pressait quatre oranges qu'elle buvait en seulement deux ou trois gorgées avec tous les grumeaux [on n'appelle pas plutôt cela la pulpe, au fait ?].

J'ai pensé à mettre "pulpe" mais je me dis que l'auteur n'a pas mis "pulpa" et "grumeaux" ça donne plus l'impression que c'est écœurant contrairement à "pulpe". Peut-être que j'invente ?

Tradabordo a dit…

Pas idiot, mais quand même, avant de trancher, fais des recherches en esp. pour voir si c'est vraiment une création de l'auteur ou si ça se dit régulièrement – auquel cas, il faudrait revenir à du standard en français (pulpe).

Elodie a dit…

L'expression existe mais elle se dit moins que "la pulpe". Je serais bien tentée de garder les grumeaux.

Tradabordo a dit…

OK.

Remets la bonne version.

Elodie a dit…

Un vendredi, elle venait à la maison et le lendemain, je déjeunais deux fois : une fois seule – c'est tellement triste d'apaiser sa faim sans avoir de compagnie – l'autre fois avec elle ; musique et tartines grillées, infusions ou café, charcuterie, fruits, tomates tranchées, huile de linette à la première pression à froid. Et du jus. Il m'a toujours semblé que les gens qui ont besoin de filtrer le jus d'orange sont fades, un peu imbéciles. En revanche, Micaela, elle, pressait quatre oranges qu'elle buvait en seulement deux ou trois gorgées avec tous les grumeaux.

Tradabordo a dit…

Un vendredi [je pense que ça ne résout pas le pb // Pas plutôt un truc du genre : « Si elle venait le… » ? Je te laisse réfléchir], elle venait à la maison et le lendemain, je déjeunais deux fois : une fois seule – c'est tellement triste d'apaiser sa faim sans avoir de compagnie – l'autre fois avec elle ; musique et tartines grillées, infusions ou café, charcuterie, fruits, tomates tranchées, huile de linette à la première pression à froid. Et du jus. Il m'a toujours semblé que les gens qui ont besoin de filtrer le jus d'orange sont fades, un peu imbéciles. En revanche, Micaela, elle, pressait quatre oranges qu'elle buvait en seulement deux ou trois gorgées avec tous les grumeaux.

Elodie a dit…

Lorsqu'elle venait à la maison le vendredi, le lendemain, je déjeunais deux fois : une fois seule – c'est tellement triste d'apaiser sa faim sans avoir de compagnie – l'autre fois avec elle ; musique et tartines grillées, infusions ou café, charcuterie, fruits, tomates tranchées, huile de linette à la première pression à froid. Et du jus. Il m'a toujours semblé que les gens qui ont besoin de filtrer le jus d'orange sont fades, un peu imbéciles. En revanche, Micaela, elle, pressait quatre oranges qu'elle buvait en seulement deux ou trois gorgées avec tous les grumeaux.

Tradabordo a dit…

Lorsqu'elle venait à la maison le vendredi, le lendemain, je déjeunais deux fois : une fois seule – c'est tellement triste d'apaiser sa faim sans avoir de compagnie – l'autre fois avec elle ; musique et tartines grillées, infusions ou café, charcuterie, fruits, tomates tranchées, huile de linette à la première pression à froid. Et du jus. Il m'a toujours semblé que les gens qui ont besoin de filtrer le jus d'orange sont fades, un peu imbéciles. En revanche, Micaela, elle, pressait quatre oranges qu'elle buvait en seulement deux ou trois gorgées avec tous les grumeaux.

OK.