lundi 5 janvier 2015

Projet Sophie L – phrases 4-5

El muchacho poco se diferenciaba de los demás compañeros de clase de su edad, aunque tal vez no lo supiera. En general, debido a los avances tecnológicos y al aislamiento social, unidos a la experiencia virtual de la convivencia irreal, la vida de los jóvenes se mezclaba entre mundos auténticos y fantásticos de una forma que era difícil saber en qué lugar se encontraba en cada momento, muchas veces teniendo que detenerse a pensar si se hallaba en la realidad física o en el mundo ilusorio.

Traduction temporaire :
Le jeune homme n’était guère différent de ses camarades de classe, même s’il ne le savait peut-être pas. En général, du fait des progrès technologiques et de l’isolement social, auxquels s'ajoutait l’expérience virtuelle d’une cohabitation irréelle, la vie des jeunes se partageait entre des mondes authentiques et fantastiques, à telle enseigne qu’il était difficile de savoir où l’on se trouvait à chaque instant : il fallait souvent prendre le temps de se demander si l’on était dans la réalité physique où dans un monde illusoire.

8 commentaires:

Sophie L. a dit…

Le jeune homme n’était guère différent de ses camarades de classe, même s’il ne le savait peut-être pas. En général, du fait des progrès technologiques et de l’isolement social, ajoutés à l’expérience virtuelle d’une vie commune irréelle, la vie des jeunes se partageait entre des mondes authentiques et fantastiques, de telle sorte qu’il était difficile de savoir où l’on se trouvait à chaque instant ; il fallait donc souvent prendre le temps de se demander si l’on était dans la réalité physique où dans un monde illusoire.

Tradabordo a dit…

Le jeune homme n’était guère différent de ses camarades de classe [et « de su edad » ?], même s’il ne le savait peut-être pas. En général, du fait des progrès technologiques et de l’isolement social, ajoutés à [« à quoi s'ajoutait » ?] l’expérience virtuelle d’une vie commune irréelle, la vie [il faudrait ne pas répéter « vie » – ça ne l'est pas en V.O.] des jeunes se partageait entre des mondes authentiques et fantastiques, de telle sorte qu’il était difficile de savoir où l’on se trouvait à chaque instant ; il fallait donc [nécessaire ?] souvent prendre le temps de se demander si l’on était dans la réalité physique où dans un monde illusoire.

Sophie L. a dit…

Le jeune homme n’était guère différent de ses camarades de classe [et « de su edad » ? --> c'est plus ou moins sous-entendu dans "ses camarades de classe", non ? tu penses qu'il faut préciser ?], même s’il ne le savait peut-être pas. En général, du fait des progrès technologiques et de l’isolement social, auxquels s'ajoutait l’expérience virtuelle d’une vie commune irréelle, l'existence des jeunes se partageait entre des mondes authentiques et fantastiques, de telle sorte qu’il était difficile de savoir où l’on se trouvait à chaque instant : il fallait souvent prendre le temps de se demander si l’on était dans la réalité physique où dans un monde illusoire.

Tradabordo a dit…

Le jeune homme n’était guère différent de ses camarades de classe [et « de su edad » ? --> c'est plus ou moins sous-entendu dans "ses camarades de classe", non ? tu penses qu'il faut préciser ? // par principe, je préfère qu'on respecte la V.O. ; or en V.O., la précision est tout aussi superfétatoire… sinon, on se met à corriger… Mais bon, là, je te laisse trancher], même s’il ne le savait peut-être pas. En général, du fait des progrès technologiques et de l’isolement social, auxquels s'ajoutait l’expérience virtuelle d’une vie commune [« cohabitation » et tu garderais « vie » pour après ?] irréelle, l'existence des jeunes se partageait entre des mondes authentiques et fantastiques, de telle sorte [« à telle enseigne » ?] qu’il était difficile de savoir où l’on se trouvait à chaque instant : il fallait souvent prendre le temps de se demander si l’on était dans la réalité physique où dans un monde illusoire.

Sophie L. a dit…

Le jeune homme n’était guère différent de ses camarades de classe [et « de su edad » ? --> c'est plus ou moins sous-entendu dans "ses camarades de classe", non ? tu penses qu'il faut préciser ? // par principe, je préfère qu'on respecte la V.O. ; or en V.O., la précision est tout aussi superfétatoire… sinon, on se met à corriger… Mais bon, là, je te laisse trancher // oui, mais je trouve qu'en espagnol c'est moins flagrant qu'en français vu qu'il n'y a pas le possessif devant "compañeros de clase", non ? sans le "de su edad", ça pourrait être des camarades qui sont en classe avec lui sans être de la même tranche d'âge], même s’il ne le savait peut-être pas. En général, du fait des progrès technologiques et de l’isolement social, auxquels s'ajoutait l’expérience virtuelle d’une vie commune [« cohabitation » et tu garderais « vie » pour après ? // c'est choquant, "existence" ensuite ? je n'aime pas trop "cohabitation" mais c'est sans doute un caprice personnel...] irréelle, l'existence des jeunes se partageait entre des mondes authentiques et fantastiques, à telle enseigne [ah oui, beaucoup mieux en effet!] qu’il était difficile de savoir où l’on se trouvait à chaque instant : il fallait souvent prendre le temps de se demander si l’on était dans la réalité physique où dans un monde illusoire.

Tradabordo a dit…

Le jeune homme n’était guère différent de ses camarades de classe, même s’il ne le savait peut-être pas. En général, du fait des progrès technologiques et de l’isolement social, auxquels s'ajoutait l’expérience virtuelle d’une vie commune [« cohabitation » et tu garderais « vie » pour après ? // c'est choquant, "existence" ensuite ? je n'aime pas trop "cohabitation" mais c'est sans doute un caprice personnel... // Disons qu'un œil un peu expérimenté trouve un peu artificiel le contournement de la répétition + « existence » ici ne me semble pas très naturel ; le lecteur se demandera pourquoi « vie » n'est pas là…] irréelle, l'existence des jeunes se partageait entre des mondes authentiques et fantastiques, à telle enseigne qu’il était difficile de savoir où l’on se trouvait à chaque instant : il fallait souvent prendre le temps de se demander si l’on était dans la réalité physique où dans un monde illusoire.

Sophie L. a dit…

Le jeune homme n’était guère différent de ses camarades de classe, même s’il ne le savait peut-être pas. En général, du fait des progrès technologiques et de l’isolement social, auxquels s'ajoutait l’expérience virtuelle d’une cohabitation irréelle, la vie des jeunes se partageait entre des mondes authentiques et fantastiques, à telle enseigne qu’il était difficile de savoir où l’on se trouvait à chaque instant : il fallait souvent prendre le temps de se demander si l’on était dans la réalité physique où dans un monde illusoire.

Tradabordo a dit…

Le jeune homme n’était guère différent de ses camarades de classe, même s’il ne le savait peut-être pas. En général, du fait des progrès technologiques et de l’isolement social, auxquels s'ajoutait l’expérience virtuelle d’une cohabitation irréelle, la vie des jeunes se partageait entre des mondes authentiques et fantastiques, à telle enseigne qu’il était difficile de savoir où l’on se trouvait à chaque instant : il fallait souvent prendre le temps de se demander si l’on était dans la réalité physique où dans un monde illusoire.

OK.