jeudi 19 mars 2015

Projet Chloé T – phrases 23-26

El momento por el que había esperado toda la vida. Una mañana como otra cualquiera, el director de la orquestica de cuerdas le entregó un manojo de pentagramas y le dijo, casi en broma: Va usted a estrenarme esta pieza. Aquella noche, en la soledad de su cuarto, el violinista tuvo un ataque de pánico, abrazó al gato de tal manera que casi lo asfixia, regó las partituras por todo el suelo, agarró el atril, enganchó el manojo de pentagramas que el director le había entregado y se decidió a tocar, y a tocar, y a tocar. Insistentemente.

Traduction temporaire :
Le moment qu'il avait attendu toute sa vie. Un matin comme un autre, le directeur du petit orchestre de cordes lui remit un paquet de portées et lui dit, presque sur le ton de la plaisanterie : c'est vous qui allez jouer cette pièce pour la première fois. Cette nuit-là, le violoniste fut pris d'une crise de panique ; il étreignit son chat au point qu'il manqua de l'étouffer, éparpilla les partitions partout sur le sol, attrapa le pupitre, s'empara du paquet de portées et se décida à jouer, jouer et rejouer, avec obstination.

6 commentaires:

Mme B. a dit…

Le moment qu'il avait attendu toute sa vie. Un matin comme les autres, le directeur du petit orchestre de cordes lui remit un bouquet de portées et lui dit, presque en plaisantant : vous allez donner la première de cette pièce. Cette nuit-là, le violoniste fut pris d'une crise panique; il étreignit son chat au point qu'il manqua de l'étouffer, répandit les partitions partout sur le sol, attrapa le pupitre, s'empara du bouquet de portées et se décida à jouer, jouer et rejouer, avec insistance.

Tradabordo a dit…

Le moment qu'il avait attendu toute sa vie. Un matin comme les autres [« un autre » ?], le directeur du petit orchestre de cordes lui remit un bouquet [bof] de portées et lui dit, presque en plaisantant : vous allez donner la première [clair ?] de cette pièce. Cette nuit-là, le violoniste fut pris d'une crise [coquille] panique[espace]; il étreignit son chat au point qu'il manqua de l'étouffer, répandit [« éparpiller » ?] les partitions partout sur le sol, attrapa le pupitre, s'empara du bouquet [idem] de portées et se décida à jouer, jouer et rejouer, avec insistance [mal dit].

Mme B. a dit…

Le moment qu'il avait attendu toute sa vie. Un matin comme un autre, le directeur du petit orchestre de cordes lui remit une liasse de portées et lui dit, presque en plaisantant : vous allez étrenner la première représentation de cette pièce. Cette nuit-là, le violoniste fut pris d'une crise de panique ; il étreignit son chat au point qu'il manqua de l'étouffer, éparpilla les partitions partout sur le sol, attrapa le pupitre, s'empara de la liasse de portées et se décida à jouer, jouer et rejouer, avec obstination.

Tradabordo a dit…

Le moment qu'il avait attendu toute sa vie. Un matin comme un autre, le directeur du petit orchestre de cordes lui remit une liasse de portées [?] et lui dit, presque en plaisantant [« sur le ton de la plaisanterie » ? Comme tu veux] : vous allez étrenner la première représentation [naturel et clair ?] de cette pièce. Cette nuit-là, le violoniste fut pris d'une crise de panique ; il étreignit son chat au point qu'il manqua de [ou rien ? Un doute ; vérifie…] l'étouffer, éparpilla les partitions partout sur le sol, attrapa le pupitre, s'empara de la liasse de portées et se décida à jouer, jouer et rejouer, avec obstination.

Mme B. a dit…

Le moment qu'il avait attendu toute sa vie. Un matin comme un autre, le directeur du petit orchestre de cordes lui remit un paquet de portées et lui dit, presque sur le ton de la plaisanterie : c'est vous qui allez jouer cette pièce pour la première fois. Cette nuit-là, le violoniste fut pris d'une crise de panique ; il étreignit son chat au point qu'il manqua de [c'est bien un transitif indirect, qui tend à disparaître dans la langue orale] l'étouffer, éparpilla les partitions partout sur le sol, attrapa le pupitre, s'empara du paquet de portées et se décida à jouer, jouer et rejouer, avec obstination.

Tradabordo a dit…

Le moment qu'il avait attendu toute sa vie. Un matin comme un autre, le directeur du petit orchestre de cordes lui remit un paquet de portées et lui dit, presque sur le ton de la plaisanterie : c'est vous qui allez jouer cette pièce pour la première fois. Cette nuit-là, le violoniste fut pris d'une crise de panique ; il étreignit son chat au point qu'il manqua de l'étouffer, éparpilla les partitions partout sur le sol, attrapa le pupitre, s'empara du paquet de portées et se décida à jouer, jouer et rejouer, avec obstination.

OK.