lundi 2 mars 2015

Projet Émilie 8 – phrases 35-38

¡Diez años me separaban de mi última orgía! Desde entonces, entregado a mis jardines, a mis peces, a mis pájaros, faltábame tiempo para salir. Alguna vez, en las tardes muy calurosas, un paseo a la orilla del lago. Me gustaba verlo, escamado de luna al anochecer, pero esto era todo y pasaba meses sin frecuentarlo.

Traduction temporaire :
Dix ans me séparaient de ma dernière orgie ! Depuis lors, je me consacrais à mes jardins, à mes poissons, à mes oiseaux, manquant de temps pour sortir. Quelquefois, par de brûlantes après-midis, je m'accordais une promenade au bord du lac. J’aimais le voir, tout écaillé de lune à la tombée du jour, mais c'était tout, et ensuite, je passais des mois sans m’y rendre.

8 commentaires:

Emilie a dit…

Dix ans me séparaient de ma dernière orgie ! Depuis lors, je me consacrais à mes jardins, à mes poissons, à mes oiseaux, et manquais de temps pour sortir. Quelquefois, par les brûlantes après-midis, une promenade au bord du lac. J’aimais le voir, tout écaillé de lune à la tombée du jour, mais rien de plus, et je passais des mois sans m’y rendre.

Tradabordo a dit…

Dix ans me séparaient de ma dernière orgie ! Depuis lors, je me consacrais à mes jardins, à mes poissons, à mes oiseaux, et manquais [« manquant » ? Comme tu veux…] de temps pour sortir. Quelquefois, par les [« de » ?] brûlantes après-midis, [on ajoute un verbe, quand même ?] une promenade au bord du lac. J’aimais le voir, tout écaillé de lune à la tombée du jour, mais rien de plus [« c'est tout » ?], et je passais des mois sans m’y rendre.

Emilie a dit…

Dix ans me séparaient de ma dernière orgie ! Depuis lors, je me consacrais à mes jardins, à mes poissons, à mes oiseaux, manquant de temps pour sortir. Quelquefois, par de brûlantes après-midis, je m'adonnais à une promenade au bord du lac. J’aimais le voir, tout écaillé de lune à la tombée du jour, mais c'est ["c'était" ?] tout, et je passais des mois sans m’y rendre.

Tradabordo a dit…

Dix ans me séparaient de ma dernière orgie ! Depuis lors, je me consacrais à mes jardins, à mes poissons, à mes oiseaux, manquant de temps pour sortir. Quelquefois, par de brûlantes après-midis, je m'adonnais à [bof] une promenade au bord du lac. J’aimais le voir, tout écaillé de lune à la tombée du jour, mais c'est ["c'était" ? OK] tout, et je passais des mois sans m’y rendre.

Emilie a dit…

Dix ans me séparaient de ma dernière orgie ! Depuis lors, je me consacrais à mes jardins, à mes poissons, à mes oiseaux, manquant de temps pour sortir. Quelquefois, par de brûlantes après-midis, je m'accordais une promenade au bord du lac. J’aimais le voir, tout écaillé de lune à la tombée du jour, mais c'était tout, et je passais des mois sans m’y rendre.

Tradabordo a dit…

Dix ans me séparaient de ma dernière orgie ! Depuis lors, je me consacrais à mes jardins, à mes poissons, à mes oiseaux, manquant de temps pour sortir. Quelquefois, par de brûlantes après-midis, je m'accordais une promenade au bord du lac. J’aimais le voir, tout écaillé de lune à la tombée du jour, mais c'était tout, et [cheville : « ensuite, » ?] je passais des mois sans m’y rendre.

Emilie a dit…

Dix ans me séparaient de ma dernière orgie ! Depuis lors, je me consacrais à mes jardins, à mes poissons, à mes oiseaux, manquant de temps pour sortir. Quelquefois, par de brûlantes après-midis, je m'accordais une promenade au bord du lac. J’aimais le voir, tout écaillé de lune à la tombée du jour, mais c'était tout, et ensuite, je passais des mois sans m’y rendre.

Tradabordo a dit…

Dix ans me séparaient de ma dernière orgie ! Depuis lors, je me consacrais à mes jardins, à mes poissons, à mes oiseaux, manquant de temps pour sortir. Quelquefois, par de brûlantes après-midis, je m'accordais une promenade au bord du lac. J’aimais le voir, tout écaillé de lune à la tombée du jour, mais c'était tout, et ensuite, je passais des mois sans m’y rendre.

OK.