lundi 9 mars 2015

Projet Émilie 8 – phrases 75-77

¿Huir?... Y pensé con horror en mis posesiones (que no conocía) del otro lado del desierto, con sus camelleros viviendo en tiendas de lana negra y tomando por todo alimento leche cuajada, trigo tostado, miel agria... Quedaba una fuga por el lago, corta fuga después de todo, si en el lago como en el desierto, según era lógico, llovía cobre también; pues no viniendo aquello de ningún foco visible, debía ser general.

Traduction temporaire :
Fuir ?... Et je pensai avec horreur à mes terres (que je ne connaissais pas) de l’autre côté du désert, à leurs chameliers vivant sous des tentes de laine noire et ne s’alimentant que de lait caillé, de blé grillé, de miel aigre… Il restait la possibilité de s'échapper par le lac – possibilité limitée, en définitive, si, selon toute logique, il pleuvait aussi du cuivre sur le lac comme sur le désert ; puisque aucun foyer visible n’expliquait ce phénomène, il devait être général.

9 commentaires:

Emilie a dit…

Fuir ?... Et je pensais avec horreur à mes terres (que je ne connaissais pas) de l’autre côté du désert, avec leurs chameliers vivant sous des tentes de laine noire et ne s’alimentant que de lait caillé, de blé grillé, de miel aigre…
Il restait une possibilité de fuir par le lac – possibilité limitée, en définitive, si, selon toute logique, sur le lac comme sur le désert, il pleuvait aussi du cuivre ; puisque aucun foyer visible n’expliquait ce phénomène, il devait être général.

Tradabordo a dit…

Fuir ?... Et je pensais [temps] avec horreur à mes terres (que je ne connaissais pas) de l’autre côté du désert, avec leurs chameliers vivant sous des tentes de laine noire et ne s’alimentant que de lait caillé, de blé grillé, de miel aigre…
Il restait une [« la »] possibilité de fuir [« s'échapper » – histoire de changer un peu ?] par le lac – possibilité limitée, en définitive, si, selon toute logique, sur le lac comme sur le désert, il pleuvait aussi du cuivre [la syntaxe doit pouvoir être fluidifiée] ; puisque aucun foyer visible n’expliquait ce phénomène, il devait être général.

Emilie a dit…

Fuir ?... Et je pensai avec horreur à mes terres (que je ne connaissais pas) de l’autre côté du désert, avec leurs chameliers vivant sous des tentes de laine noire et ne s’alimentant que de lait caillé, de blé grillé, de miel aigre…
Il restait la possibilité de s'échapper par le lac – possibilité limitée, en définitive, s'il pleuvait aussi du cuivre sur le lac comme sur le désert, selon toute logique ; puisque aucun foyer visible n’expliquait ce phénomène, il devait être général.

Tradabordo a dit…

Fuir ?... Et je pensai avec horreur à mes terres (que je ne connaissais pas) de l’autre côté du désert, avec [un moyen d'éviter la répétition ?] leurs chameliers vivant sous des tentes de laine noire et ne s’alimentant que de lait caillé, de blé grillé, de miel aigre…
Il restait la possibilité de s'échapper par le lac – possibilité limitée, en définitive, s'il pleuvait aussi du cuivre sur le lac comme sur le désert, selon toute logique [mets-le avant « pleuvait »] ; puisque aucun foyer visible n’expliquait ce phénomène, il devait être général.

Emilie a dit…

Fuir ?... Et je pensai avec horreur à mes terres (que je ne connaissais pas) de l’autre côté du désert, avec [un moyen d'éviter la répétition ?] leurs chameliers vivant sous des tentes de laine noire et ne s’alimentant que de lait caillé, de blé grillé, de miel aigre…
Il restait la possibilité de s'échapper par le lac – possibilité limitée, en définitive, si, selon toute logique, il pleuvait aussi du cuivre sur le lac comme sur le désert ; puisque aucun foyer visible n’expliquait ce phénomène, il devait être général.

Emilie a dit…

Je n'avais pas vu ta 1ère remarque.

Fuir ?... Et je pensai avec horreur à mes terres (que je ne connaissais pas) de l’autre côté du désert, à leurs chameliers vivant sous des tentes de laine noire et ne s’alimentant que de lait caillé, de blé grillé, de miel aigre…
Il restait la possibilité de s'échapper par le lac – possibilité limitée, en définitive, si, selon toute logique, il pleuvait aussi du cuivre sur le lac comme sur le désert ; puisque aucun foyer visible n’expliquait ce phénomène, il devait être général.

Tradabordo a dit…

Fuir ?... Et je pensai avec horreur à mes terres (que je ne connaissais pas) de l’autre côté du désert, avec [un moyen d'éviter la répétition ?] leurs chameliers vivant sous des tentes de laine noire et ne s’alimentant que de lait caillé, de blé grillé, de miel aigre…
Il restait la possibilité de s'échapper par le lac – possibilité limitée, en définitive, si, selon toute logique, il pleuvait aussi du cuivre sur le lac comme sur le désert ; puisque aucun foyer visible n’expliquait ce phénomène, il devait être général.

Je t'ai posé une question dans mon commentaire précédent ; tu ne l'as pas vue, manifestement.

Emilie a dit…

En effet, d'où mon second commentaire ce matin.

Fuir ?... Et je pensai avec horreur à mes terres (que je ne connaissais pas) de l’autre côté du désert, à leurs chameliers vivant sous des tentes de laine noire et ne s’alimentant que de lait caillé, de blé grillé, de miel aigre…
Il restait la possibilité de s'échapper par le lac – possibilité limitée, en définitive, si, selon toute logique, il pleuvait aussi du cuivre sur le lac comme sur le désert ; puisque aucun foyer visible n’expliquait ce phénomène, il devait être général.

Tradabordo a dit…

Nos commentaires se sont croisés.

Fuir ?... Et je pensai avec horreur à mes terres (que je ne connaissais pas) de l’autre côté du désert, à leurs chameliers vivant sous des tentes de laine noire et ne s’alimentant que de lait caillé, de blé grillé, de miel aigre…
Il restait la possibilité de s'échapper par le lac – possibilité limitée, en définitive, si, selon toute logique, il pleuvait aussi du cuivre sur le lac comme sur le désert ; puisque aucun foyer visible n’expliquait ce phénomène, il devait être général.

OK.