lundi 2 mars 2015

Projet Hélène / Chloé – phrases 138-149


La máquina sigue sonando con ese ritmo cadencioso que enrolla y desenrolla las bocanadas de vida. El agua llega hasta su cuello, va llenando sus pulmones. ¿Qué es ese olor tan raro? Dejaron la puerta del cuarto abierta y su hija puede verlo. El cuarto parece teñirse de una lámina amarilla como la espuma de aquellas olas. Él siente que se le escapa el aire, reducido a pura mitad y sin piernas. Se va a hundir. Ahora es el agua entrando donde no debe. Quiere respirar, pero hay demasiada agua. Un estertor. ¡Papá! Aquella ola amarillenta ya no regresa.

Traduction temporaire :
La machine continue de sonner sur ce rythme cadencé qui enroule et déroule les bouffées de vie. L’eau arrive jusqu’à son cou, remplit ses poumons. Quelle est cette odeur bizarre ? La porte de la chambre est restée ouverte, et sa fille peut donc le voir. La pièce paraît se teindre d’une vague jaune, semblable à l’écume de ces flots. Il sent que l’air lui échappe – réduit à une moitié de corps et sans jambes. Il va s’enfoncer. À présent, l’eau entre où il ne faut pas. Il veut respirer, mais il y a trop d’eau. Un râle. Papa ! Cette vague jaunâtre ne se retire plus.

9 commentaires:

Hélène a dit…

La machine continue de sonner avec ce rythme cadencé qui enroule et déroule les bouffées de vie. L’eau lui arrive jusqu’au cou, remplit ses poumons. Quelle est cette odeur bizarre ? La porte de la chambre était restée ouverte. La pièce paraît se teindre d’une lame jaune telle l’écume de ces vagues. Il sent que l’air lui échappe, réduit à une moitié de corps et sans jambes. Il va s’enfoncer. Désormais l’eau entre où il ne faut pas. Il veut respirer, mais il y a trop d’eau. Un râle. Papa ! Cette vague jaunâtre ne se retire plus.

Mme B. a dit…

La machine continue de sonner avec ce rythme cadencé qui enroule et déroule les souffles de vie. L'eau lui arrive jusqu'au cou; elle remplit peu à peu ses poumons. Quelle est cette odeur si étrange? Ils ont laissé la porte de la chambre ouverte et sa fille peut le voir. La chambre semble se teindre d'une couche jaune, comme l'écume de ces vagues. Il sent l'air qui lui échappe, lui, réduit à une seule moitié et sans jambes. Il va s'enfoncer. Maintenant l'eau est en train d'entrer là où elle ne doit pas. Un râle. Papa! Cette vague jaunâtre ne revient plus.

Tradabordo a dit…

Je prends la première traduction arrivée.

La machine continue de sonner avec [« sur » ?] ce rythme cadencé qui enroule et déroule les bouffées de vie. L’eau lui [nécessaire ?] arrive jusqu’au [possessif ?] cou, remplit ses poumons. Quelle est cette odeur bizarre ? La porte de la chambre était [temps] restée ouverte. La pièce paraît se teindre d’une lame [bizarre, non ?] jaune [virgule] telle l’écume de ces vagues. Il sent que l’air lui échappe, [tiret à la place de la virgule ?] réduit à une moitié de corps et sans jambes. Il va s’enfoncer. Désormais [« À présent, » ?] l’eau entre où il ne faut pas. Il veut respirer, mais il y a trop d’eau [« tout est inondé » ; gros changement… donc, c'est comme vous voulez]. Un râle. Papa ! Cette vague jaunâtre ne se retire plus.

Hélène a dit…

La machine continue de sonner sur ce rythme cadencé qui enroule et déroule les bouffées de vie. L’eau arrive jusqu’à son cou, remplit ses poumons. Quelle est cette odeur bizarre ? La porte de la chambre est restée ouverte, et sa fille peut le voir [J'avais oublié ce morceau de phrase...]. La pièce paraît se teindre d’une vague jaune, telle l’écume de ces flots. Il sent que l’air lui échappe – réduit à une moitié de corps et sans jambes. Il va s’enfoncer. À présent, l’eau entre où il ne faut pas. Il veut respirer, mais il y a trop d’eau. Un râle. Papa ! Cette vague jaunâtre ne se retire plus.

Tradabordo a dit…

La machine continue de sonner sur ce rythme cadencé qui enroule et déroule les bouffées de vie. L’eau arrive jusqu’à son cou, remplit ses poumons. Quelle est cette odeur bizarre ? La porte de la chambre est restée ouverte, et sa fille peut [« donc » ?] le voir. La pièce paraît se teindre d’une vague jaune, telle [« semblable à » ? Comme tu préfères…] l’écume de ces flots. Il sent que l’air lui échappe – réduit à une moitié de corps et sans jambes. Il va s’enfoncer. À présent, l’eau entre où il ne faut pas. Il veut respirer, mais il y a trop d’eau. Un râle. Papa ! Cette vague jaunâtre ne se retire plus.

Hélène a dit…

La machine continue de sonner sur ce rythme cadencé qui enroule et déroule les bouffées de vie. L’eau arrive jusqu’à son cou, remplit ses poumons. Quelle est cette odeur bizarre ? La porte de la chambre est restée ouverte, et sa fille peut donc le voir. La pièce paraît se teindre d’une vague jaune, semblable à l’écume de ces flots. Il sent que l’air lui échappe – réduit à une moitié de corps et sans jambes. Il va s’enfoncer. À présent, l’eau entre où il ne faut pas. Il veut respirer, mais il y a trop d’eau. Un râle. Papa ! Cette vague jaunâtre ne se retire plus.

Ok for me !

Tradabordo a dit…

Chloé ?

Mme B. a dit…

ok.

Tradabordo a dit…

Parfait. Maintenant, vous pouvez relire. Assurez-vous que des phrases n'ont pas sauté dans les copier-coller + remettez la mise en page de départ.

Pour les données techniques : envoyez un doc en Georgia 12, interligne simple, sans retrait.