Ha estacionado el auto en el carril central de la Avenida Juárez. Se ríe de su hazaña. Pero su hazaña es pálida en medio de esa circunstancia de silencio y quietud. Entra al viejo edificio de la calle de López donde vive Julia. Toca la puerta, luego la golpea con fuerza, la aporrea y termina por cansarse. Nadie sale. Abandona el edificio. Mira la Alameda: Ofrece una imagen espectral. Ya no sabe lo que busca.
Traduction temporaire :
Il a garé la voiture sur la voie centrale de la Avenida Juárez. Il rit de son exploit. Mais celui-ci est bien pâle dans l' atmosphère de silence et de quiétude qui règne dans la ville . Il entre dans le vieil immeuble de la Calle de López, où vit Julia. Il toque à la porte, frappe fort, la matraque. Il finit par se lasser. Personne ne vient. Il quitte les lieux. Il regarde l’Alameda : il offre une image spectrale. Il ne sait plus ce qu’il cherche.
Il a garé la voiture sur la voie centrale de la Avenida Juárez. Il rit de son exploit. Mais celui-ci est bien pâle dans l' atmosphère de silence et de quiétude qui règne dans la ville . Il entre dans le vieil immeuble de la Calle de López, où vit Julia. Il toque à la porte, frappe fort, la matraque. Il finit par se lasser. Personne ne vient. Il quitte les lieux. Il regarde l’Alameda : il offre une image spectrale. Il ne sait plus ce qu’il cherche.
4 commentaires:
Projet Odile 2 – phrases 77-85
Il a garé la voiture sur la voie centrale de l’avenue Juárez. Il rit de son exploit. Mais son exploit est bien pâle dans cette circonstance de silence et de quiétude. Il entre dans le vieil édifice de la rue de López où vit Julia. Il toque à la porte, puis la frappe avec force, la matraque et finit par se lasser. Personne ne sort. Il quitte l’immeuble. Il regarde l’Alameda : il offre une image spectrale. Il ne sait plus ce qu’il cherche.
Il a garé la voiture sur la voie centrale de l’avenue [ne traduis pas] Juárez. Il rit de son exploit. Mais son exploit [on répète, tu crois ?] est bien pâle dans cette circonstance de [j'hésite ; ou on passe par une périphrase avec des chevilles… Je te laisse voir] silence et de quiétude. Il entre dans le vieil édifice [immeuble ?] de la rue [« Calle »] de López [virgule ?] où vit Julia. Il toque à la porte, puis la [mal dit] frappe avec force, la matraque et [point à la place ?] finit par se lasser. Personne ne sort [mal dit]. Il quitte l’immeuble [« les lieux »]. Il regarde l’Alameda : il [« elle » ? Vérifie] offre une image spectrale. Il ne sait plus ce qu’il cherche.
Projet Odile 2 – phrases 77-85
Pour la phrase avec « la Alameda”, j’ai employé le masculin parce que c’ est un jardin public (situé dans le centre historique de Mexico, près du Palacio de Bellas Artes, entre l'Avenida Juárez et l'Avenida Hidalgo.)
Il a garé la voiture sur la voie centrale de la Avenida Juárez. Il rit de son exploit. Mais celui-ci est bien pâle dans l' atmosphère de silence et de quiétude qui règne dans la ville . Il entre dans le vieil immeuble de la Calle de López, où vit Julia. Il toque à la porte, frappe fort, la matraque. Il finit par se lasser. Personne ne vient. Il quitte les lieux. Il regarde l’Alameda : il offre une image spectrale. Il ne sait plus ce qu’il cherche.
Il a garé la voiture sur la voie centrale de la Avenida Juárez. Il rit de son exploit. Mais celui-ci est bien pâle dans l'atmosphère de silence et de quiétude qui règne dans la ville. Il entre dans le vieil immeuble de la Calle de López, où vit Julia. Il toque à la porte, frappe fort, la matraque. Il finit par se lasser. Personne ne vient. Il quitte les lieux. Il regarde l’Alameda : il offre une image spectrale. Il ne sait plus ce qu’il cherche.
OK.
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