mercredi 14 janvier 2015

Projet Émilie 7 – phrases 5-9


Al fin cedió a mi pedido y conmigo Dionisio habló. Dijo que él no había hecho nada malo y que le sacaran los tientos de una vez que quería irse a su casa. Sentado sobre el camastro miraba fijo, con la camisa abierta y en el pecho marcas de rebencazos.
A pesar de que me esforcé por entenderlo, no reconocí en él más que a un hombre joven en el que se percibían rastros de emoción. Ya me habían dicho cómo lo recogió Cipriano en el cortadero de ladrillos cuando era un guacho de meses y él lo crió.

Traduction temporaire :
Il finit par accéder à ma demande et Dionisio put me parler. Il affirma n’avoir rien fait de mal et réclama qu’on le libère une bonne fois pour toutes, parce qu’il voulait rentrer chez lui. Assis sur son grabat, il avait le regard fixe, sa chemise était ouverte sur son torse zébré de coups de fouet.

Quoique je m’efforçasse de le comprendre, je ne vis en lui rien d’autre qu’un jeune homme ne montrant guère de traces d’émotion. On m’avait déjà raconté comment Cipriano l’avait recueilli dans la briqueterie, alors qu’il n’était qu’un orphelin âgé d'à peine quelques mois, et comment il l’avait élevé.

6 commentaires:

Emilie a dit…

Il finit par accéder à ma demande et Dionisio put me parler. Il affirma n’avoir rien fait de mal et réclama qu’on le libère une bonne fois pour toutes, parce qu’il voulait rentrer chez lui. Assis sur son grabat, il avait le regard fixe et la chemise ouverte sur son torse marqué de coups de fouet.
Quoique je m’efforce de le comprendre, je ne reconnus en lui rien d’autre qu’un jeune homme dont on percevait quelques traces d’émotion. On m’avait déjà raconté comment Cipriano l’avait recueilli dans la briqueterie, alors qu’il n’était qu’un orphelin de quelques mois, et comment il l’avait élevé.

Tradabordo a dit…

Il finit par accéder à ma demande et Dionisio put me parler. Il affirma n’avoir rien fait de mal et réclama qu’on le libère une bonne fois pour toutes, parce qu’il voulait rentrer chez lui. Assis sur son grabat, il avait le regard fixe et la [« , sa chemise était » ?] chemise ouverte sur son torse marqué [« zébré » ?] de coups de fouet.
Quoique je m’efforce [temps] de le comprendre, je ne reconnus [« vis » ?] en lui rien d’autre qu’un jeune homme dont on [carrément pas terrible // manque de fluidité] percevait quelques traces d’émotion. On m’avait déjà raconté comment Cipriano l’avait recueilli dans la briqueterie, alors qu’il n’était qu’un orphelin de [« âgé d'à peine » ?] quelques mois, et comment il l’avait élevé.

Emilie a dit…

Il finit par accéder à ma demande et Dionisio put me parler. Il affirma n’avoir rien fait de mal et réclama qu’on le libère une bonne fois pour toutes, parce qu’il voulait rentrer chez lui. Assis sur son grabat, il avait le regard fixe, sa chemise était ouverte sur son torse zébré de coups de fouet.
Quoique je m’efforçasse de le comprendre, je ne vis en lui rien d’autre qu’un jeune homme montrant quelques vagues traces d’émotion. On m’avait déjà raconté comment Cipriano l’avait recueilli dans la briqueterie, alors qu’il n’était qu’un orphelin âgé d'à peine quelques mois, et comment il l’avait élevé.

Tradabordo a dit…

Il finit par accéder à ma demande et Dionisio put me parler. Il affirma n’avoir rien fait de mal et réclama qu’on le libère une bonne fois pour toutes, parce qu’il voulait rentrer chez lui. Assis sur son grabat, il avait le regard fixe, sa chemise était ouverte sur son torse zébré de coups de fouet.
Quoique je m’efforçasse de le comprendre, je ne vis en lui rien d’autre qu’un jeune homme montrant [y a-t-il la restriction : guère ?] quelques vagues traces d’émotion. On m’avait déjà raconté comment Cipriano l’avait recueilli dans la briqueterie, alors qu’il n’était qu’un orphelin âgé d'à peine quelques mois, et comment il l’avait élevé.

Emilie a dit…

Il finit par accéder à ma demande et Dionisio put me parler. Il affirma n’avoir rien fait de mal et réclama qu’on le libère une bonne fois pour toutes, parce qu’il voulait rentrer chez lui. Assis sur son grabat, il avait le regard fixe, sa chemise était ouverte sur son torse zébré de coups de fouet.
Quoique je m’efforçasse de le comprendre, je ne vis en lui rien d’autre qu’un jeune homme ne montrant guère de traces d’émotion [c'est comme ça que je comprends la phrase, oui]. On m’avait déjà raconté comment Cipriano l’avait recueilli dans la briqueterie, alors qu’il n’était qu’un orphelin âgé d'à peine quelques mois, et comment il l’avait élevé.

Tradabordo a dit…

Il finit par accéder à ma demande et Dionisio put me parler. Il affirma n’avoir rien fait de mal et réclama qu’on le libère une bonne fois pour toutes, parce qu’il voulait rentrer chez lui. Assis sur son grabat, il avait le regard fixe, sa chemise était ouverte sur son torse zébré de coups de fouet.
Quoique je m’efforçasse de le comprendre, je ne vis en lui rien d’autre qu’un jeune homme ne montrant guère de traces d’émotion. On m’avait déjà raconté comment Cipriano l’avait recueilli dans la briqueterie, alors qu’il n’était qu’un orphelin âgé d'à peine quelques mois, et comment il l’avait élevé.

OK.