mardi 13 janvier 2015

Projet Juliette / Jordane – titre + phrases 1-3

Porfirio Mamani Macedo
(Pérou)

El dueño


Onel quedó callado, mirándose los pies desnudos llenos de polvo de tanto haber andado. Quizá no pensaba en nada, pero miró los pies del hombre que le franqueaba la puerta. Es posible que todo fuera un sueño o un error para el hombre de la puerta, no para Onel, él simplemente regresaba a su casa, aquella donde había plantado en su infancia un pino, como un juego y no como de un desafío.

Traduction temporaire :

Porfirio Mamani Macedo (Pérou)

Le maître

Onel resta silencieux, regardant ses pieds nus couverts de poussière tant il avait marché. Peut-être ne pensait-il à rien, mais il regarda les pieds de l’homme qui lui barrait le passage. Il est possible que tout soit un rêve ou une erreur pour l’homme de la porte, mais pas pour Onel ; lui, il rentrait simplement chez lui, là, où, dans son enfance, il avait planté un pin, comme un jeu et non comme un défi.

11 commentaires:

Unknown a dit…

Porfirio Mamani Macedo
(Pérou)

Le maître

Onel resta silencieux, regardant ses pieds nus poussiéreux tant il avait marché. Peut-être ne pensait-il à rien, mais il regarda les pieds de l’homme qui le flanquait à la porte. Il est possible que tout soit un rêve ou une erreur pour l’homme de la porte, pas pour Onel, il rentrait simplement chez lui, là, où, dans son enfance, il avait planté un pin, comme un jeu et non comme un défi.

Tradabordo a dit…

Porfirio Mamani Macedo
(Pérou)

Le maître

Onel resta silencieux, regardant ses pieds nus poussiéreux [pas moyen de traduire, d'une manière ou d'une autre le : « llenos »] tant il avait marché. Peut-être ne pensait-il à rien, mais il regarda les pieds de l’homme qui le flanquait à la porte [CS]. Il est possible que tout soit un rêve ou une erreur pour l’homme de la porte, [cheville : « mais » ou pas nécessaire ?] pas pour Onel, [point-virgule / « lui, » ? Je vous laisse regarder] il rentrait simplement chez lui, là, où, dans son enfance, il avait planté un pin, comme un jeu et non comme un défi.

Unknown a dit…

Onel resta silencieux, regardant ses pieds nus pleins de poussière tant il avait marché. Peut-être ne pensait-il à rien, mais il regarda les pieds de l’homme qui lui fermait la porte. Il est possible que tout soit un rêve ou une erreur pour l’homme de la porte, mais pas pour Onel ; lui, il rentrait simplement chez lui, là, où, dans son enfance, il avait planté un pin, comme un jeu et non comme un défi.

Tradabordo a dit…

Remettez le nom de l'auteur, etc. pour la première fois. Cf ce que j'ai dit en cours, le copier-coller, tout ça…


Onel resta silencieux, regardant ses pieds nus pleins [il ya mieux] de poussière tant il avait marché. Peut-être ne pensait-il à rien, mais il regarda les pieds de l’homme qui lui fermait [pas exactement] la porte. Il est possible que tout soit un rêve ou une erreur pour l’homme de la porte, mais pas pour Onel ; lui, il rentrait simplement chez lui, là, où, dans son enfance, il avait planté un pin, comme un jeu et non comme un défi.

Unknown a dit…

Porfirio Mamani Macedo
(Pérou)

Le maître

Onel resta silencieux, regardant ses pieds nus recouverts de poussière tant il avait marché. Peut-être ne pensait-il à rien, mais il regarda les pieds de l’homme qui lui claquait la porte. Il est possible que tout soit un rêve ou une erreur pour l’homme de la porte, mais pas pour Onel ; lui, il rentrait simplement chez lui, là, où, dans son enfance, il avait planté un pin, comme un jeu et non comme un défi.

Tradabordo a dit…

Porfirio Mamani Macedo
(Pérou)

Le maître

Onel resta silencieux, regardant ses pieds nus recouverts [presque ; avec le « re », on dirait que c'est lui qui a pris de la poussière et l'a mise sur ses pieds ;-)] de poussière tant il avait marché. Peut-être ne pensait-il à rien, mais il regarda les pieds de l’homme qui lui claquait [Regardez mieux le sens de le dico unilingue] la porte. Il est possible que tout soit un rêve ou une erreur pour l’homme de la porte, mais pas pour Onel ; lui, il rentrait simplement chez lui, là, où, dans son enfance, il avait planté un pin, comme un jeu et non comme un défi.

Unknown a dit…

Porfirio Mamani Macedo
(Pérou)

Le maître

Onel resta silencieux, regardant ses pieds nus couverts de poussière tant il avait marché. Peut-être ne pensait-il à rien, mais il regarda les pieds de l’homme qui le poussait dehors. Il est possible que tout soit un rêve ou une erreur pour l’homme de la porte, mais pas pour Onel ; lui, il rentrait simplement chez lui, là, où, dans son enfance, il avait planté un pin, comme un jeu et non comme un défi.

Tradabordo a dit…

Porfirio Mamani Macedo
(Pérou)

Le maître

Onel resta silencieux, regardant ses pieds nus couverts de poussière tant il avait marché. Peut-être ne pensait-il à rien, mais il regarda les pieds de l’homme qui le poussait dehors [« barrait le passage » ?]. Il est possible que tout soit un rêve ou une erreur pour l’homme de la porte, mais pas pour Onel ; lui, il rentrait simplement chez lui, là, où, dans son enfance, il avait planté un pin, comme un jeu et non comme un défi.

Unknown a dit…

Porfirio Mamani Macedo
(Pérou)

Le maître

Onel resta silencieux, regardant ses pieds nus couverts de poussière tant il avait marché. Peut-être ne pensait-il à rien, mais il regarda les pieds de l’homme qui lui barrait le passage. Il est possible que tout soit un rêve ou une erreur pour l’homme de la porte, mais pas pour Onel ; lui, il rentrait simplement chez lui, là, où, dans son enfance, il avait planté un pin, comme un jeu et non comme un défi.

Tradabordo a dit…

Porfirio Mamani Macedo
(Pérou)

Le maître

Onel resta silencieux, regardant ses pieds nus couverts de poussière tant il avait marché. Peut-être ne pensait-il à rien, mais il regarda les pieds de l’homme qui lui barrait le passage. Il est possible que tout soit un rêve ou une erreur pour l’homme de la porte, mais pas pour Onel ; lui, il rentrait simplement chez lui, là, où, dans son enfance, il avait planté un pin, comme un jeu et non comme un défi.

OK.

Jordane ?

Unknown a dit…

OK.