mardi 6 janvier 2015

Projet Justine / Joana – phrases 357-363

Cecilia tiraba todas mis cosas, enfurecida, gritando que era un traidor, un hijo de puta, que su Rodrigo me iba a sacar la mierda. Yo me imaginé a un imbécil con los lentes rotos y sangrando. ¡Mierda! Había encontrado el cuaderno donde cada noche yo escribía sus argumentos. Lloraba diciéndome que no tenía derecho, que todo eso era suyo. Sentí que su rabia se debía a la certeza de que no podía escribir sus argumentos mejor que yo. Me hablaba de adjetivos que no debí usar, y me acusaba de haber cambiado los finales y de plagiarla.

Traduction temporaire :
Furieuse, Cecilia jetait toutes mes affaires ; elle me traitait de traître, de fils de pute, hurlait que son Rodrigo allait me casser la gueule. Je me suis imaginé un imbécile aux lunettes cassées qui pissait le sang. Merde ! Elle avait trouvé le cahier dans lequel, chaque nuit, j'écrivais ses histoires. Elle pleurait en me disant que je n'avais pas le droit, que tout ça, c'était sa propriété. J'ai senti que sa rage venait de ce qu'elle était certaine de ne pas pouvoir écrire ses textes mieux que moi. Elle me parlait d'adjectifs que je n'aurais pas dû utiliser et m'accusait d'avoir modifié ses dénouements et de la plagier.

5 commentaires:

Justine a dit…

En colère, Cecilia jetait toutes mes affaires ; elle me traitait de traître, de fils de pute, hurlait que son Rodrigo allait me casser la gueule. Je me suis imaginé en imbécile aux lunettes cassées qui pissait le sang. Merde ! elle avait trouvé le cahier dans lequel chaque nuit j'écrivais ses histoires. Elle pleurait en me disant que je n'avais pas le droit, que tout ça, c'était sa propriété. J'ai senti que sa rage était due au fait qu'elle était certaine de ne pas pouvoir écrire ses histoires mieux que moi. Elle me parlait d'adjectifs que je n'aurais pas dû utiliser et m'accusait d'avoir modifié ses dénouements et de la plagier.

Justine a dit…

En colère, Cecilia jetait toutes mes affaires ; elle me traitait de traître, de fils de pute, hurlait que son Rodrigo allait me casser la gueule. Je me suis imaginé en imbécile aux lunettes cassées qui pissait le sang. Merde ! elle avait trouvé le cahier dans lequel, chaque nuit, j'écrivais ses histoires. Elle pleurait en me disant que je n'avais pas le droit, que tout ça, c'était sa propriété. J'ai senti que sa rage était due au fait qu'elle était certaine de ne pas pouvoir écrire ses histoires mieux que moi. Elle me parlait d'adjectifs que je n'aurais pas dû utiliser et m'accusait d'avoir modifié ses dénouements et de la plagier.

Tradabordo a dit…

En colère [pas plus fort en V.O. ?], Cecilia jetait toutes mes affaires ; elle me traitait de traître, de fils de pute, hurlait que son Rodrigo allait me casser la gueule. Je me suis imaginé en [« a un » ?] imbécile aux lunettes cassées qui pissait le sang. Merde ! elle [majuscule] avait trouvé le cahier dans lequel, chaque nuit, j'écrivais ses histoires. Elle pleurait en me disant que je n'avais pas le droit, que tout ça, c'était sa propriété. J'ai senti que sa rage était due au fait [« venait de ce que » ?] qu'elle était certaine de ne pas pouvoir écrire ses histoires [essaie de ne pas répéter] mieux que moi. Elle me parlait d'adjectifs que je n'aurais pas dû utiliser et m'accusait d'avoir modifié ses dénouements et de la plagier.

Justine a dit…

Furieuse, Cecilia jetait toutes mes affaires ; elle me traitait de traître, de fils de pute, hurlait que son Rodrigo allait me casser la gueule. Je me suis imaginé un imbécile aux lunettes cassées qui pissait le sang. Merde ! Elle avait trouvé le cahier dans lequel, chaque nuit, j'écrivais ses histoires. Elle pleurait en me disant que je n'avais pas le droit, que tout ça, c'était sa propriété. J'ai senti que sa rage venait de ce qu'elle était certaine de ne pas pouvoir écrire ses textes mieux que moi. Elle me parlait d'adjectifs que je n'aurais pas dû utiliser et m'accusait d'avoir modifié ses dénouements et de la plagier.

Tradabordo a dit…

Furieuse, Cecilia jetait toutes mes affaires ; elle me traitait de traître, de fils de pute, hurlait que son Rodrigo allait me casser la gueule. Je me suis imaginé un imbécile aux lunettes cassées qui pissait le sang. Merde ! Elle avait trouvé le cahier dans lequel, chaque nuit, j'écrivais ses histoires. Elle pleurait en me disant que je n'avais pas le droit, que tout ça, c'était sa propriété. J'ai senti que sa rage venait de ce qu'elle était certaine de ne pas pouvoir écrire ses textes mieux que moi. Elle me parlait d'adjectifs que je n'aurais pas dû utiliser et m'accusait d'avoir modifié ses dénouements et de la plagier.

OK.