vendredi 6 mars 2015

Projet Émilie 8 – phrases 49-54

Bruscamente acabó mi apetito; y aunque seguí probando los platos para no desmoralizar a la servidumbre, aquélla se apresuró a comprenderme. El incidente me había desconcertado. Promediaba la siesta cuando subí nuevamente a la terraza. El suelo estaba ya sembrado de gránulos de cobre; mas no parecía que la lluvia aumentara. Comenzaba a tranquilizarme, cuando una nueva inquietud me sobrecogió. El silencio era absoluto.

Traduction temporaire :
Brusquement, je perdis tout appétit ; et quoique je continuasse de goûter les plats pour ne pas aigrir le moral des serviteurs, ils comprirent bien vite le pourquoi de ma réaction. L’incident m’avait perturbé. Au milieu de la sieste, je montai de nouveau sur la terrasse. Le sol était couvert de granules de cuivre ; mais la pluie ne semblait pas redoubler. Je commençais à me calmer, lorsqu’une nouvelle inquiétude me saisit. Le silence était total.

4 commentaires:

Emilie a dit…

Mon appétit cessa brusquement ; et quoique je continuasse à goûter les plats pour ne pas démoraliser les serviteurs, ils comprirent bien vite ma réaction. L’incident m’avait perturbé.
Au milieu de la sieste, je montai de nouveau sur la terrasse. Le sol était couvert de granules de cuivre ; mais la pluie ne semblait pas redoubler. Je commençais à me calmer, lorsqu’une nouvelle inquiétude me saisit. Le silence était total.

Tradabordo a dit…

Mon appétit cessa [mal dit] brusquement ; et quoique je continuasse à [« de » ?] goûter les plats pour ne pas démoraliser [« casser / aigrir / le moral » ?] les serviteurs, ils comprirent bien vite [« le pourquoi » ? Comme tu veux…] ma réaction. L’incident m’avait perturbé.
Au milieu de la sieste, je montai de nouveau sur la terrasse. Le sol était couvert de granules de cuivre ; mais la pluie ne semblait pas redoubler. Je commençais à me calmer, lorsqu’une nouvelle inquiétude me saisit. Le silence était total.

Emilie a dit…

Brusquement, je perdis tout appétit ; et quoique je continuasse de goûter les plats pour ne pas aigrir le moral des serviteurs, ils comprirent bien vite le pourquoi de ma réaction. L’incident m’avait perturbé.
Au milieu de la sieste, je montai de nouveau sur la terrasse. Le sol était couvert de granules de cuivre ; mais la pluie ne semblait pas redoubler. Je commençais à me calmer, lorsqu’une nouvelle inquiétude me saisit. Le silence était total.

Tradabordo a dit…

Brusquement, je perdis tout appétit ; et quoique je continuasse de goûter les plats pour ne pas aigrir le moral des serviteurs, ils comprirent bien vite le pourquoi de ma réaction. L’incident m’avait perturbé.
Au milieu de la sieste, je montai de nouveau sur la terrasse. Le sol était couvert de granules de cuivre ; mais la pluie ne semblait pas redoubler. Je commençais à me calmer, lorsqu’une nouvelle inquiétude me saisit. Le silence était total.

OK.