vendredi 6 mars 2015

Projet Fanny / Laura – phrases 40-41

Asistían a seis asignaturas juntos, lo que suponía muchas horas semanales de pupitres para compartir pero, además, eran inseparables el resto del tiempo. Estudiaban juntos en la biblioteca, pasaban horas en la cafetería de la Facultad de Empresariales, donde se conocieron, sentados con un café. Era como si no existiese nadie más en el mundo aparte de ellos, como si el destino pudiese quitarles en cualquier momento el tiempo que les quedaba por pasar juntos y, separarse durante demasiado tiempo, conjurase en su contra.

Traduction temporaire :
Ils avaient six cours en commun ; ce qui supposait beaucoup d'heures partagées sur les bancs de l'université, sans compter qu'ils étaient inséparables le reste du temps. Ils étudiaient ensemble à la bibliothèque, passaient de longs moments à la cafétéria de la Faculté de Commerce, où ils s'étaient connus, assis devant un café. C'était comme si personne au monde n'existait à part eux, comme si, conspirant contre eux, le destin pouvait à tout instant leur voler le temps qui leur restait à passer tous les deux et les séparer pendant trop longtemps.

13 commentaires:

Laura CALLIOT a dit…

Ils suivaient six cours ensemble, ce qui supposait beaucoup d'heures à partager les pupitres mais, en plus, ils étaient inséparables le reste du temps. Ils étudiaient ensemble à la bibliothèque, passaient des heures à la cafétéria de la Faculté de Commerce où ils s'étaient connus, assis avec un café. C'était comme si personne au monde n'existait à par eux, comme si le destin avait pu leur voler n'importe quand le temps qui leur restait à passer ensemble et, les séparer pendant trop de temps, conspirant contre eux.

Tradabordo a dit…

Ils suivaient six cours ensemble, [point-virgule ? Point ? Comme vous voulez…] ce qui supposait beaucoup d'heures à partager les pupitres [le diriez-vous spontanément ?] []VIRGULE AVANT « MAIS » DANS UNE PHRASE !] mais [bof], en plus, [cette petite transition n'est pas très réussie] ils étaient inséparables le reste du temps. Ils étudiaient ensemble à la bibliothèque, passaient des heures [un moyen de ne pas répéter « heures » ?] à la cafétéria de la Faculté de Commerce [virgule] où ils s'étaient connus, assis avec un café. C'était comme si personne au monde n'existait à par eux, comme si le destin avait pu [temps ?] leur voler n'importe quand [bof] le temps qui leur restait à passer ensemble et, [la virgule ?] les séparer pendant trop de temps [lourd + vous répétez « temps »], conspirant contre eux.

La fin demande à être reprise.

Laura CALLIOT a dit…

Ils suivaient six cours ensemble ; ce qui supposait beaucoup d'heures partagées en classe, sans compter qu'ils étaient inséparables le reste du temps. Ils étudiaient ensemble à la bibliothèque, passaient de longs moments à la cafétéria de la Faculté de Commerce, où ils s'étaient connus, assis avec un café. C'était comme si personne au monde n'existait à par eux, comme si le destin pouvait à tout instant leur voler le temps qui leur restait à passer ensemble et les séparer pendant trop longtemps, conspirant contre eux.

Tradabordo a dit…

Ils suivaient six cours ensemble [ou : « Ils avaient six cours en commun » ?] ; ce qui supposait beaucoup d'heures partagées en classe, sans compter qu'ils étaient inséparables le reste du temps. Ils étudiaient ensemble à la bibliothèque, passaient de longs moments à la cafétéria de la Faculté de Commerce, où ils s'étaient connus, assis avec [« devant » ?] un café. C'était comme si personne au monde n'existait à par eux, comme si le destin pouvait à tout instant leur voler le temps qui leur restait à passer ensemble [on l'a déjà plus haut ; un moyen de faire sans ?] et les séparer pendant trop longtemps, conspirant contre eux.

Anonyme a dit…

Ils avaient six cours en commun ; ce qui supposait beaucoup d'heures partagées en classe, sans compter qu'ils étaient inséparables le reste du temps. Ils étudiaient ensemble à la bibliothèque, passaient de longs moments à la cafétéria de la Faculté de Commerce, où ils s'étaient connus, assis devant un café. C'était comme si personne au monde n'existait à par eux, comme si le destin pouvait à tout instant leur voler le temps qui leur restait à passer tous les deux et les séparer pendant trop longtemps, conspirant contre eux.

Laura CALLIOT a dit…

Ils avaient six cours en commun ; ce qui supposait beaucoup d'heures partagées en classe, sans compter qu'ils étaient inséparables le reste du temps. Ils étudiaient ensemble à la bibliothèque, passaient de longs moments à la cafétéria de la Faculté de Commerce, où ils s'étaient connus, assis devant un café. C'était comme si personne au monde n'existait à par eux, comme si le destin pouvait à tout instant leur voler le temps qui leur restait à passer tous les deux et les séparer pendant trop longtemps, conspirant contre eux.

Fanny JAY a dit…

Ils avaient six cours en commun ; ce qui supposait beaucoup d'heures partagées en classe, sans compter qu'ils étaient inséparables le reste du temps. Ils étudiaient ensemble à la bibliothèque, passaient de longs moments à la cafétéria de la Faculté de Commerce, où ils s'étaient connus, assis devant un café. C'était comme si personne au monde n'existait à par eux, comme si le destin pouvait à tout instant leur voler le temps qui leur restait à vivre l'un avec l'autre et les séparer pendant trop longtemps, conspirant contre eux.

Tradabordo a dit…

Ils avaient six cours en commun ; ce qui supposait beaucoup d'heures partagées en classe [« sur les bancs de l'université » ou un truc comme ça…], sans compter qu'ils étaient inséparables le reste du temps. Ils étudiaient ensemble à la bibliothèque, passaient de longs moments à la cafétéria de la Faculté de Commerce, où ils s'étaient connus, assis devant un café. C'était comme si personne au monde n'existait à par [orthographe] eux, comme si le destin pouvait à tout instant leur voler le temps qui leur restait à passer tous les deux et les séparer pendant trop longtemps, conspirant contre eux [mettez ce petit bout avant].

Tradabordo a dit…

Ils avaient six cours en commun ; ce qui supposait beaucoup d'heures partagées en classe [« sur les bancs de l'université » ou un truc comme ça…], sans compter qu'ils étaient inséparables le reste du temps. Ils étudiaient ensemble à la bibliothèque, passaient de longs moments à la cafétéria de la Faculté de Commerce, où ils s'étaient connus, assis devant un café. C'était comme si personne au monde n'existait à par [orthographe] eux, comme si le destin pouvait à tout instant leur voler le temps qui leur restait à passer tous les deux et les séparer pendant trop longtemps, conspirant contre eux [mettez ce petit bout avant].

Calliot Laura a dit…

Ils avaient six cours en commun ; ce qui supposait beaucoup d'heures partagées sur les bancs de l'université, sans compter qu'ils étaient inséparables le reste du temps. Ils étudiaient ensemble à la bibliothèque, passaient de longs moments à la cafétéria de la Faculté de Commerce, où ils s'étaient connus, assis devant un café. C'était comme si personne au monde n'existait à part eux, comme si le destin, conspirant contre eux, pouvait à tout instant leur voler le temps qui leur restait à passer tous les deux et les séparer pendant trop longtemps.

Tradabordo a dit…

Ils avaient six cours en commun ; ce qui supposait beaucoup d'heures partagées sur les bancs de l'université, sans compter qu'ils étaient inséparables le reste du temps. Ils étudiaient ensemble à la bibliothèque, passaient de longs moments à la cafétéria de la Faculté de Commerce, où ils s'étaient connus, assis devant un café. C'était comme si personne au monde n'existait à part eux, comme si le destin, conspirant contre eux [et après « comme si » ?], pouvait à tout instant leur voler le temps qui leur restait à passer tous les deux et les séparer pendant trop longtemps.

Fanny JAY a dit…

Ils avaient six cours en commun ; ce qui supposait beaucoup d'heures partagées sur les bancs de l'université, sans compter qu'ils étaient inséparables le reste du temps. Ils étudiaient ensemble à la bibliothèque, passaient de longs moments à la cafétéria de la Faculté de Commerce, où ils s'étaient connus, assis devant un café. C'était comme si personne au monde n'existait à part eux, comme si, conspirant contre eux, le destin pouvait à tout instant leur voler le temps qui leur restait à passer tous les deux et les séparer pendant trop longtemps.

Tradabordo a dit…

Ils avaient six cours en commun ; ce qui supposait beaucoup d'heures partagées sur les bancs de l'université, sans compter qu'ils étaient inséparables le reste du temps. Ils étudiaient ensemble à la bibliothèque, passaient de longs moments à la cafétéria de la Faculté de Commerce, où ils s'étaient connus, assis devant un café. C'était comme si personne au monde n'existait à part eux, comme si, conspirant contre eux, le destin pouvait à tout instant leur voler le temps qui leur restait à passer tous les deux et les séparer pendant trop longtemps.

OK.

Laura ?