vendredi 6 mars 2015

Projet Marine / Céleste – phrases 62-66

Cuando parece gritar y desesperarse. Cuando se golpea la cabeza en el respaldar de la silla de ruedas. En todo eso me parece ver que el cuerpo de Malena se reduce a lo más interno de su “No Mundo”. A lo mejor su mundo de oscuridad y silencio encuentra en todo eso un incentivo a sentirse, a no hundirse por completo. Por eso hoy le tomé las manos, las acaricié largo rato; le besé los labios, el rostro, mis manos se hundieron en toda su piel con el mensaje de mi mundo.

Traduction temporaire :
Quand elle semble crier et se désespérer. Quand elle se tape la tête contre le dossier de son fauteuil roulant. Dans tout cela, il me semble voir le corps de Malena se réduire au plus interne de son « non-monde ». Peut-être son monde d’obscurité et de silence trouve-t-il là une incitation à se sentir lui-même, à ne pas couler complètement. C’est pourquoi aujourd’hui, je lui ai pris les mains, les ai caressées un long moment ; lui ai embrassé les lèvres, le visage, mes mains se sont cachées dans toute sa peau avec le message de mon monde.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Quand elle semble crier et se désespérer. Quand elle se tape la tête contre le dossier du fauteuil roulant. En tout cela, il le semble voir que le corps de Malena se réduit au plus interne de son « non-monde ». Peut-être que son monde d’obscurité et le silence trouve en tout cela un stimulent à se sentir, à ne pas se cacher complètement. C’est pourquoi aujourd’hui, je lui prends les mains, les caresse un long moment ; lui baise les lèvres, le visage, mes mains se cachent dans toute sa peau avec le message de mon monde.

Tradabordo a dit…

Quand elle semble crier et se désespérer. Quand elle se tape la tête contre le dossier du [possessif ?] fauteuil roulant. En [mal dit] tout cela, il le semble voir que [faites sans une formule avec « que » // réglez ça et on verra la suite après… car ça va pas mal changer la phrase] le corps de Malena se réduit au plus interne de son « non-monde ». Peut-être que son monde d’obscurité et le silence trouve en tout cela un stimulent à se sentir, à ne pas se cacher complètement. C’est pourquoi aujourd’hui, je lui prends les mains, les caresse un long moment ; lui baise les lèvres, le visage, mes mains se cachent dans toute sa peau avec le message de mon monde.

Mohammed a dit…

Quand elle semble crier et se désespérer. Quand elle se tape la tête contre le dossier de son fauteuil roulant. Dans tout cela, il me semble voir la réduction au plus interne de son « non-monde » du corps de Malena . Peut-être que son monde d’obscurité et de silence trouve en tout cela un stimulent à souffrir, à ne pas couler complètement. C’est pourquoi aujourd’hui, je lui ai pris les mains, les ai caressées un long moment ; lui ai embrassé les lèvres, le visage, mes mains se cachent dans toute sa peau avec le message de mon monde.

Tradabordo a dit…

Quand elle semble crier et se désespérer. Quand elle se tape la tête contre le dossier de son fauteuil roulant. Dans tout cela, il me semble voir la réduction au plus interne de son « non-monde » du corps de Malena [espace en trop] [je ne pense pas que ce soit une bonne idée de s'éloigner de la V.O. ; ça devient très peu clair]. Peut-être que son monde d’obscurité et de silence trouve[« -t-il »] en [bof] tout cela un stimulent [?] à [?] souffrir, à ne pas couler complètement.

Faisons déjà ça.

C’est pourquoi aujourd’hui, je lui ai pris les mains, les ai caressées un long moment ; lui ai embrassé les lèvres, le visage, mes mains se cachent dans toute sa peau avec le message de mon monde.

Unknown a dit…

Quand elle semble crier et se désespérer. Quand elle se tape la tête contre le dossier de son fauteuil roulant. Dans tout cela, il me semble voir le corps de Malena se réduire au plus interne de son « non-monde ». Peut-être que son monde d’obscurité et de silence trouve-t-il en cela une incitation à se sentir, à ne pas couler complètement.
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C’est pourquoi aujourd’hui, je lui ai pris les mains, les ai caressées un long moment ; lui ai embrassé les lèvres, le visage, mes mains se cachent dans toute sa peau avec le message de mon monde.

Unknown a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Tradabordo a dit…

Quand elle semble crier et se désespérer. Quand elle se tape la tête contre le dossier de son fauteuil roulant. Dans tout cela, il me semble voir le corps de Malena se réduire au plus interne de son « non-monde ». Peut-être que [sans le « que »] son monde d’obscurité et de silence trouve-t-il en cela [« là » à la place ?] une incitation à se sentir [cheville : « lui-même ?»], à ne pas couler complètement. C’est pourquoi aujourd’hui, je lui ai pris les mains, les ai caressées un long moment ; lui ai embrassé les lèvres, le visage, mes mains se cachent [temps] dans toute sa peau avec le message de mon monde.

Unknown a dit…

Quand elle semble crier et se désespérer. Quand elle se tape la tête contre le dossier de son fauteuil roulant. Dans tout cela, il me semble voir le corps de Malena se réduire au plus interne de son « non-monde ». Peut-être son monde d’obscurité et de silence trouve-t-il là une incitation à se sentir lui-même, à ne pas couler complètement. C’est pourquoi aujourd’hui, je lui ai pris les mains, les ai caressées un long moment ; lui ai embrassé les lèvres, le visage, mes mains se sont cachées dans toute sa peau avec le message de mon monde.

Tradabordo a dit…

Quand elle semble crier et se désespérer. Quand elle se tape la tête contre le dossier de son fauteuil roulant. Dans tout cela, il me semble voir le corps de Malena se réduire au plus interne de son « non-monde ». Peut-être son monde d’obscurité et de silence trouve-t-il là une incitation à se sentir lui-même, à ne pas couler complètement. C’est pourquoi aujourd’hui, je lui ai pris les mains, les ai caressées un long moment ; lui ai embrassé les lèvres, le visage, mes mains se sont cachées dans toute sa peau avec le message de mon monde.

OK.

Céleste ?

Mohammed a dit…

Ok pour moi.