lundi 2 mars 2015

Projet Nancy 4 – phrases 53-60

Lo cierto es que a mí no me preocupa Leo, aunque lo primero que haga al entrar en mi consultorio sea revisar mis revistas de sicología o fisgonear en mi librero. ¿Alguna vez ha robado libros? Lo pienso, doctor. Lo pienso mucho y muy, muy seguido. Creo que es como cuando un asaltante, o una banda de asaltantes, trama un golpe. No se pueden permitir el menor error. Eso hago yo. Planeo un golpe letal en la librería del centro, inclusive tengo identificada la ubicación de los libros que me interesan.

Traduction temporaire :
Toujours est-il que moi, le cas de Leo ne m'inquiète pas, même si je me replonge dans les revues de psychologie et fouille ma bibliothèque dès que je pénètre dans mon cabinet. Avez-vous déjà volé des livres ? J'y pense, docteur. J'y pense beaucoup et très souvent. Comme quand, il me semble, un malfaiteur, ou une bande de malfaiteurs préparent un mauvais coup. Ils ne peuvent se permettre la moindre erreur ! Pour moi, c'est pareil : j'organise une action fatale à la librairie du centre ; j'ai même repéré l'emplacement des ouvrages qui m’intéressent.

6 commentaires:

Nancy a dit…

Toujours est-il que le cas de Leo ne m'inquiète guère, même si, dès que je pénètre dans mon cabinet, je me replonge dans les revues de psychologie et je fouille ma bibliothèque. Avez-vous déjà volé des livres ? J'y pense, docteur. J'y pense beaucoup et très souvent. Tel un malfaiteur, ou une bande de malfaiteurs, qui trament un mauvais coup. Ils ne peuvent se permettre la moindre erreur ! Pour moi, c'est pareil : je prépare un acte fatal à la librairie du centre ; j'ai même repéré l'emplacement des livres qui m’intéressent.

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que [cheville : « moi » ? Comme tu veux…] le cas de Leo ne m'inquiète guère [cette nuance est-elle en V.O. ?], même si, dès que je pénètre dans mon cabinet, je me replonge [pas sûre pour la syntaxe de ce début] dans les revues de psychologie et je [nécessaire ?] fouille ma bibliothèque. Avez-vous déjà volé des livres ? J'y pense, docteur. J'y pense beaucoup et très souvent. Tel [tu changes quand même pas mal ; était-ce nécessaire ?] un malfaiteur, ou une bande de malfaiteurs, qui trament un mauvais coup. Ils ne peuvent se permettre la moindre erreur ! Pour moi, c'est pareil : je prépare un acte [« action » ?] fatal à la librairie du centre ; j'ai même repéré l'emplacement des livres [« ouvrages » ?] qui m’intéressent.

Nancy a dit…

Toujours est-il que moi, le cas de Leo ne m'inquiète pas, même si je me replonge dans les revues de psychologie et fouille ma bibliothèque dès que je pénètre dans mon cabinet. Avez-vous déjà volé des livres ? J'y pense, docteur. J'y pense beaucoup et très souvent. Comme quand, il me semble, un malfaiteur, ou une bande de malfaiteurs trament un mauvais coup. Ils ne peuvent se permettre la moindre erreur ! Pour moi, c'est pareil : je prépare une action fatale à la librairie du centre ; j'ai même repéré l'emplacement des ouvrages qui m’intéressent.

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que moi, le cas de Leo ne m'inquiète pas, même si je me replonge dans les revues de psychologie et fouille ma bibliothèque dès que je pénètre dans mon cabinet. Avez-vous déjà volé des livres ? J'y pense, docteur. J'y pense beaucoup et très souvent. Comme quand, il me semble, un malfaiteur, ou une bande de malfaiteurs trament [je crois qu'on dit plutôt « préparent » ; tu peux vérifiez la fréquence d'usage, si tu veux] un mauvais coup. Ils ne peuvent se permettre la moindre erreur ! Pour moi, c'est pareil : je prépare [là, tu changeras] une action fatale à la librairie du centre ; j'ai même repéré l'emplacement des ouvrages qui m’intéressent.

Nancy a dit…

Toujours est-il que moi, le cas de Leo ne m'inquiète pas, même si je me replonge dans les revues de psychologie et fouille ma bibliothèque dès que je pénètre dans mon cabinet. Avez-vous déjà volé des livres ? J'y pense, docteur. J'y pense beaucoup et très souvent. Comme quand, il me semble, un malfaiteur, ou une bande de malfaiteurs préparent un mauvais coup. Ils ne peuvent se permettre la moindre erreur ! Pour moi, c'est pareil : j'organise une action fatale à la librairie du centre ; j'ai même repéré l'emplacement des ouvrages qui m’intéressent.

Tradabordo a dit…

Toujours est-il que moi, le cas de Leo ne m'inquiète pas, même si je me replonge dans les revues de psychologie et fouille ma bibliothèque dès que je pénètre dans mon cabinet. Avez-vous déjà volé des livres ? J'y pense, docteur. J'y pense beaucoup et très souvent. Comme quand, il me semble, un malfaiteur, ou une bande de malfaiteurs préparent un mauvais coup. Ils ne peuvent se permettre la moindre erreur ! Pour moi, c'est pareil : j'organise une action fatale à la librairie du centre ; j'ai même repéré l'emplacement des ouvrages qui m’intéressent.

OK.