jeudi 5 mars 2015

Projet Sarah 19 – phrases 35-37

El turquito dice que vió a la mamá, que andaba en redondo alrededor del álamo que plantó el Viejo Álvarez en el tiempo viejo, cuando esa propiedad todavía era suya y no se la había vendido a los Jarma. Los Jarma odian la tierra en que viven, se lo juro, papá. Es porque el Viejo Alvarez hizo la porquería de vendérselas sabiendo que la tierra estaba agotada, que él la había agotado sembrando maíz y trigo durante más de cinco años seguidos.

Traduction temporaire :
Le vendeur de babioles prétend avoir vu maman tourner en rond autour du peuplier qu'avait jadis planté le Vieux Álvarez, du temps où cette propriété était encore à lui et qu'il ne l'avait pas vendue aux Jarma. Eux, ils détestent la terre sur laquelle ils vivent, je vous le jure, papa : le Vieux Álvarez leur a fait le coup pendable de la leur céder, conscient qu'il n'y avait plus rien à en tirer, l'ayant épuisée après y avoir planté du maïs et du blé plus de cinq années consécutives.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Le vendeur de babioles prétend avoir vu maman tourner en rond autour du peuplier qu'avait jadis planté le Vieux Álvarez, du temps où cette propriété était encore à lui et qu'il ne l'avait pas vendue aux Jarma. Eux, ils détestent la terre sur laquelle ils vivent, papa, je vous le jure : le Vieux Álvarez leur a fait le coup pendable de la leur céder, conscient qu'il n'y avait plus rien à en tirer car il l'avait épuisée après y avoir planté du maïs et du blé plus de cinq années consécutives.

Tradabordo a dit…

Le vendeur de babioles prétend avoir vu maman tourner en rond autour du peuplier qu'avait jadis planté le Vieux Álvarez, du temps où cette propriété était encore à lui et qu'il ne l'avait pas [cheville : « encore » ou inutile ?] vendue aux Jarma. Eux, ils détestent la terre sur laquelle ils vivent, papa [pourquoi tu ne le mets pas à la même place qu'en V.O. ?], je vous le jure : le Vieux Álvarez leur a fait le coup pendable de la leur céder, conscient qu'il n'y avait plus rien à en tirer car il l'avait [« , l'ayant » ?] épuisée après y avoir planté du maïs et du blé plus de cinq années consécutives.

Unknown a dit…

Le vendeur de babioles prétend avoir vu maman tourner en rond autour du peuplier qu'avait jadis planté le Vieux Álvarez, du temps où cette propriété était encore à lui et qu'il ne l'avait pas [cheville : « encore » ou inutile ?][on a déjà "encore" juste avant] vendue aux Jarma. Eux, ils détestent la terre sur laquelle ils vivent, je vous le jure, papa : le Vieux Álvarez leur a fait le coup pendable de la leur céder, conscient qu'il n'y avait plus rien à en tirer, l'ayant épuisée après y avoir planté du maïs et du blé plus de cinq années consécutives.

Tradabordo a dit…

Le vendeur de babioles prétend avoir vu maman tourner en rond autour du peuplier qu'avait jadis planté le Vieux Álvarez, du temps où cette propriété était encore à lui et qu'il ne l'avait pas vendue aux Jarma. Eux, ils détestent la terre sur laquelle ils vivent, je vous le jure, papa : le Vieux Álvarez leur a fait le coup pendable de la leur céder, conscient qu'il n'y avait plus rien à en tirer, l'ayant épuisée après y avoir planté du maïs et du blé plus de cinq années consécutives.

OK.