A veces se cruzaba con la misteriosa dama que honraba la memoria de Gardel. Clorinda entonces se acomodaba el velo y para sí cantaba: “Es cual flor que no expande su aroma...” Y olía el aire cargado de aromas de la tierra pensando que, finalmente, todos encuentran su cielo”.
Traduction temporaire :
Parfois, elle croisait la mystérieuse dame qui rendait hommage à la mémoire de Gardel. Clorinda remettait alors son voile en place et chantait pour elle-même : « Il est telle une fleur qui ne dégage pas de parfum… » Et elle humait l’air chargé de senteurs provenant de la terre en pensant que, finalement, tout le monde trouve son ciel.
Parfois, elle croisait la mystérieuse dame qui rendait hommage à la mémoire de Gardel. Clorinda remettait alors son voile en place et chantait pour elle-même : « Il est telle une fleur qui ne dégage pas de parfum… » Et elle humait l’air chargé de senteurs provenant de la terre en pensant que, finalement, tout le monde trouve son ciel.
9 commentaires:
Parfois, elle croisait la mystérieuse dame qui honorait la mémoire de Gardel. Clorinda remettait alors son voile en place et elle chantait pour elle-même : « Il est telle une fleur qui n’étend pas son parfum… » Et, elle humait l’air chargé d’arômes de la terre en pensant que, finalement, tout le monde trouve son ciel.
Parfois, elle croisait la mystérieuse dame qui honorait [pas mieux avec « rendait hommage » ici ? J'hésite beaucoup… Je vous laisse trancher] la mémoire de Gardel. Clorinda remettait alors son voile en place et elle chantait pour elle-même : « Il est telle une fleur qui n’étend [naturel ?] pas son parfum… » Et, [pas de virgule] elle humait l’air chargé d’arômes [pas plutôt pour le goût en français ? Vérifiez dans Le Robert] de la terre en pensant que, finalement, tout le monde trouve son ciel.
Parfois, elle croisait la mystérieuse dame qui rendait hommage à la mémoire de Gardel. Clorinda remettait alors son voile en place et elle chantait pour elle-même : « Il est telle une fleur qui ne repend pas son parfum… » Et elle humait l’air chargé d’arômes [pas plutôt pour le goût en français ? Vérifiez dans Le Robert > je ne comprends pas pourquoi le goût ici ? Il s’agit plutôt de l’odorat, non ?] de la terre en pensant que, finalement, tout le monde trouve son ciel.
Parfois, elle croisait la mystérieuse dame qui rendait hommage à la mémoire de Gardel. Clorinda remettait alors son voile en place et elle [nécessaire ?] chantait pour elle-même : « Il est telle une fleur qui ne repend [accent] pas son parfum… » Et elle humait l’air chargé d’arômes [pas plutôt pour le goût en français ? Vérifiez dans Le Robert > je ne comprends pas pourquoi le goût ici ? Il s’agit plutôt de l’odorat, non ? // justement, je vous demande si en français on n'utilise pas plutôt « arôme » quand on parle du goût et non de l'odeur] de la terre en pensant que, finalement, tout le monde trouve son ciel.
Parfois, elle croisait la mystérieuse dame qui rendait hommage à la mémoire de Gardel. Clorinda remettait alors son voile en place et chantait pour elle-même : « Il est telle une fleur qui ne dégage pas de parfum… » Et elle humait l’air chargé de senteurs de la terre en pensant que, finalement, tout le monde trouve son ciel.
Parfois, elle croisait la mystérieuse dame qui rendait hommage à la mémoire de Gardel. Clorinda remettait alors son voile en place et chantait pour elle-même : « Il est telle une fleur qui ne dégage pas de parfum… » Et elle humait l’air chargé de senteurs [« provenant » ou inutile ?] de la terre en pensant que, finalement, tout le monde trouve son ciel.
Parfois, elle croisait la mystérieuse dame qui rendait hommage à la mémoire de Gardel. Clorinda remettait alors son voile en place et chantait pour elle-même : « Il est telle une fleur qui ne dégage pas de parfum… » Et elle humait l’air chargé de senteurs provenant de la terre en pensant que, finalement, tout le monde trouve son ciel.
Parfois, elle croisait la mystérieuse dame qui rendait hommage à la mémoire de Gardel. Clorinda remettait alors son voile en place et chantait pour elle-même : « Il est telle une fleur qui ne dégage pas de parfum… » Et elle humait l’air chargé de senteurs provenant de la terre en pensant que, finalement, tout le monde trouve son ciel.
OK.
Vous pouvez aller récupérer votre texte… Relisez bien, en vous assurant qu'il ne manque pas de phrases + envoyez par mail quand c'est prêt.
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