dimanche 14 décembre 2014

Projet Florian – phrases 76-80


Por el camino que forman dos hileras de cruces blancas se acerca despacio una figura, tiene el pelo alborotado y lleva vaqueros: es el escritor. El cochero le hace subir con una reverencia. El del Arsenal y el gordo le saludan con simpatía, no cabe duda que le conocen. El escritor les palmea la espalda. El del Arsenal me informa que pertenecen a la “Liga de suicidados por ahorcamiento”.

Traduction temporaire :
Une silhouette approche lentement sur le chemin que forment deux rangées de croix blanches ; elle a les cheveux emmêlés et porte un jean : c'est l'écrivain. Avec une révérence, le cocher le fait monter à bord. Le supporter d'Arsenal et le gros le saluent avec sympathie. Pas de doutes, ils le connaissent. L'écrivain leur tapote sur l'épaule. Le supporter d'Arsenal m'informe qu'ils appartiennent à la "Ligue des suicidés par pendaison".

8 commentaires:

Unknown a dit…

Une silhouette approche lentement par le chemin que forment deux rangées de croix blanches, elle a les cheveux emmêlés et porte des jeans : c'est l'écrivain. Avec une révérence, le cocher le fait monter à bord. Le supporter d'Arsenal et le gros le saluent avec sympathie, cela ne fait pas de doute, ils le connaissent. L'écrivain leur fait une tape sur l'épaule. Le supporter d'Arsenal m'informe qu'ils appartiennent à la "Ligue des suicidés par pendaison".

Tradabordo a dit…

Une silhouette approche lentement par [« sur » ?] le chemin que forment deux rangées de croix blanches, [ou point-virgule ? Comme vous voulez…] elle a les cheveux emmêlés et porte des jeans [au pluriel ?] : c'est l'écrivain. Avec une révérence, le cocher le fait monter à bord. Le supporter d'Arsenal et le gros le saluent avec sympathie, [point ?] cela ne fait [inutile : supprimez] pas de doute, ils le connaissent. L'écrivain leur fait une tape sur l'épaule [pas ce qui est dit]. Le supporter d'Arsenal m'informe qu'ils appartiennent à la "Ligue des suicidés par pendaison".

Unknown a dit…

Une silhouette approche lentement sur le chemin que forment deux rangées de croix blanches ; elle a les cheveux emmêlés et porte un jean : c'est l'écrivain. Avec une révérence, le cocher le fait monter à bord. Le supporter d'Arsenal et le gros le saluent avec sympathie. Pas de doutes, ils le connaissent. L'écrivain leur met la main sur leur épaule. Le supporter d'Arsenal m'informe qu'ils appartiennent à la "Ligue des suicidés par pendaison".

Tradabordo a dit…

Une silhouette approche lentement sur le chemin que forment deux rangées de croix blanches ; elle a les cheveux emmêlés et porte un jean : c'est l'écrivain. Avec une révérence, le cocher le fait monter à bord. Le supporter d'Arsenal et le gros le saluent avec sympathie. Pas de doutes, ils le connaissent. L'écrivain leur met la main [« tape » / « tapote » ?] sur leur épaule. Le supporter d'Arsenal m'informe qu'ils appartiennent à la "Ligue des suicidés par pendaison".

Unknown a dit…

Une silhouette approche lentement sur le chemin que forment deux rangées de croix blanches ; elle a les cheveux emmêlés et porte un jean : c'est l'écrivain. Avec une révérence, le cocher le fait monter à bord. Le supporter d'Arsenal et le gros le saluent avec sympathie. Pas de doutes, ils le connaissent. L'écrivain leur tapote l'épaule. Le supporter d'Arsenal m'informe qu'ils appartiennent à la "Ligue des suicidés par pendaison".

Tradabordo a dit…

Une silhouette approche lentement sur le chemin que forment deux rangées de croix blanches ; elle a les cheveux emmêlés et porte un jean : c'est l'écrivain. Avec une révérence, le cocher le fait monter à bord. Le supporter d'Arsenal et le gros le saluent avec sympathie. Pas de doutes, ils le connaissent. L'écrivain leur tapote [« sur »] l'épaule. Le supporter d'Arsenal m'informe qu'ils appartiennent à la "Ligue des suicidés par pendaison".

Unknown a dit…

Une silhouette approche lentement sur le chemin que forment deux rangées de croix blanches ; elle a les cheveux emmêlés et porte un jean : c'est l'écrivain. Avec une révérence, le cocher le fait monter à bord. Le supporter d'Arsenal et le gros le saluent avec sympathie. Pas de doutes, ils le connaissent. L'écrivain leur tapote sur l'épaule. Le supporter d'Arsenal m'informe qu'ils appartiennent à la "Ligue des suicidés par pendaison".

Tradabordo a dit…

Une silhouette approche lentement sur le chemin que forment deux rangées de croix blanches ; elle a les cheveux emmêlés et porte un jean : c'est l'écrivain. Avec une révérence, le cocher le fait monter à bord. Le supporter d'Arsenal et le gros le saluent avec sympathie. Pas de doutes, ils le connaissent. L'écrivain leur tapote sur l'épaule. Le supporter d'Arsenal m'informe qu'ils appartiennent à la "Ligue des suicidés par pendaison".

OK.