jeudi 8 janvier 2015

Projet Justine / Joana – phrases 364-369

Cuando estuvo a punto de romper el cuaderno me abalancé sobre ella, se lo quité y empezamos a luchar. Tuve que empujarla contra la pared, con fuerza. Se golpeó la cabeza, cayó al suelo y solo lloró sin parar, babeando y berreando.
No quiero que publiques «Darío del Ollo», no con tu nombre.
Pero si ya casi está en prensa, tengo fecha de presentación, y los comentarios van a estar a cargo de Ricardo González Vigil y…
¡No me interesa!

Traduction temporaire :

Quand elle était sur le point de déchirer le cahier, je me suis jeté sur elle, le lui ai arraché des mains et on a commencé à se battre. J'ai dû la pousser contre le mur, violemment. Elle s'est cogné la tête, est tombée et n'a plus fait que pleurer, bavant et braillant.
— Je ne veux pas que tu publies « Darío du Cul », pas sous ton nom.
— Trop tard, c'est quasiment fait, j'ai la date de présentation et les commentaires seront de Ricardo González Vigil, et…
— J'en ai rien à faire !

7 commentaires:

Justine a dit…

Quand elle était sur le point de déchirer le cahier, je me suis jeté sur elle, le lui ai pris des mains et on a commencé à se battre J'ai dû la pousser contre le mur, violemment. Elle s'est tapé la tête, est tombée et seulement là, n'a pas cessé de pleurer, bavant et braillant.
— Je ne veux pas que tu publies « Darío du Cul », pas sous ton nom.
— Trop tard, c'est quasiment fait, j'ai la date de présentation et Ricardo González Vigil et… feront les commentaires.
— J'en ai rien à faire !

Tradabordo a dit…

Quand elle était sur le point de déchirer le cahier, je me suis jeté sur elle, le lui ai pris [« arraché » ? Comme tu veux…] des mains et on a commencé à se battre [point] J'ai dû la pousser contre le mur, violemment. Elle s'est tapé [ou « cogné » ? Comme tu veux…] la tête, est tombée et seulement là [CS], n'a pas cessé de pleurer, bavant et braillant.
— Je ne veux pas que tu publies « Darío du Cul », pas sous ton nom.
— Trop tard, c'est quasiment fait, j'ai la date de présentation et Ricardo González Vigil et… feront les commentaires.
— J'en ai rien à faire !

Tradabordo a dit…

Au fait, pour la fin, pas sûr que les points de suspension laisse entendre qu'il s'agit de quelque d'autre… Il peut enchaîner avec une autre idée ; on ne sait pas………

Justine a dit…

Quand elle était sur le point de déchirer le cahier, je me suis jeté sur elle, le lui ai arraché des mains et on a commencé à se battre. J'ai dû la pousser contre le mur, violemment. Elle s'est cogné la tête, est tombée et n'a fait que pleurer sans cesse, bavant et braillant.
— Je ne veux pas que tu publies « Darío du Cul », pas sous ton nom.
— Trop tard, c'est quasiment fait, j'ai la date de présentation et les commentaires seront de Ricardo González Vigil, et…
— J'en ai rien à faire !

Tradabordo a dit…

Quand elle était sur le point de déchirer le cahier, je me suis jeté sur elle, le lui ai arraché des mains et on a commencé à se battre. J'ai dû la pousser contre le mur, violemment. Elle s'est cogné la tête, est tombée et n'a [« plus »] fait que pleurer sans cesse [redondant], bavant et braillant.
— Je ne veux pas que tu publies « Darío du Cul », pas sous ton nom.
— Trop tard, c'est quasiment fait, j'ai la date de présentation et les commentaires seront de Ricardo González Vigil, et…
— J'en ai rien à faire !

Justine a dit…

Quand elle était sur le point de déchirer le cahier, je me suis jeté sur elle, le lui ai arraché des mains et on a commencé à se battre. J'ai dû la pousser contre le mur, violemment. Elle s'est cogné la tête, est tombée et n'a plus fait que pleurer, bavant et braillant.
— Je ne veux pas que tu publies « Darío du Cul », pas sous ton nom.
— Trop tard, c'est quasiment fait, j'ai la date de présentation et les commentaires seront de Ricardo González Vigil, et…
— J'en ai rien à faire !

Tradabordo a dit…

Quand elle était sur le point de déchirer le cahier, je me suis jeté sur elle, le lui ai arraché des mains et on a commencé à se battre. J'ai dû la pousser contre le mur, violemment. Elle s'est cogné la tête, est tombée et n'a plus fait que pleurer, bavant et braillant.
— Je ne veux pas que tu publies « Darío du Cul », pas sous ton nom.
— Trop tard, c'est quasiment fait, j'ai la date de présentation et les commentaires seront de Ricardo González Vigil, et…
— J'en ai rien à faire !

OK.