vendredi 14 octobre 2016

Projet Justine / Elena – texte 48

Retrato de mujer con enemigo

Cada noche, mi hombre sale a arrebatarle provecho al mar.
—Por los dos —dice, me mira a los ojos y se aleja.
Entonces yo hago lo que debo hacer, me tiendo en la arena y sueño que mi cuerpo es el lecho oceánico. Sueño que ni siquiera las tormentas más horribles me tocan.
Cuando amanece él regresa, seguro y hermoso, entonces comienza el ritual.
Primero llena sus bolsillos con los cristales marinos que ahora abundan sobre el suelo, luego besa mis párpados todavía cerrados y acaricia mis pechos, por último cura las heridas que dejaran en mi piel tanto caparazón de tortuga, tanto tentáculo de calamar, tanto diente de tiburón, tanto.

Traduction temporaire :
Portrait de femme avec ennemi
Chaque nuit, mon homme sort tirer profit de la mer.
— Pour nous deux, dit-il. Il me regarde dans les yeux, et s'éloigne.
Alors, je fais ce que je dois faire : je m'allonge sur le sable et je rêve que mon corps est le lit océanique. Je rêve que pas même les tempêtes les plus horribles ne m'atteignent.
Au lever du soleil, il revient, sûr de lui, beau. Là, le rituel commence.
D'abord, il emplit ses poches avec les cristaux marins qui abondent maintenant sur le sol, puis il baise mes paupières encore fermées et caresse mes seins, pour finir, il soigne les blessures laissées sur ma peau par toutes ces carapaces de tortue, ces tentacules de calamar, ces dents de requin, autant de choses.

10 commentaires:

Justine a dit…

Portrait de femme avec ennemi


Chaque nuit, mon homme sort arracher les bienfaits de la mer.
— Pour nous deux ! s'exclame-t-il. Il me regarde dans les yeux, et s'éloigne.
Alors, je fais ce que je dois faire. Je me couche sur le sable et rêve que mon corps est le lit océanique. Je rêve que les tempêtes les plus horribles ne me touchent même pas.
Au lever du soleil, il revient, sûr de lui, beau. Là, le rituel commence.
D'abord, il emplit ses poches avec les cristaux qui abondent maintenant sur le sol, puis il baise mes paupières encore fermées et caresse mes seins, pour finir, il soigne les blessures qui laissent sur ma peau aussi bien une carapace de tortue, qu'un tentacule de calamar, qu'une dent de requin, autant de choses.

Tradabordo a dit…

Portrait de femme avec ennemi

Chaque nuit, mon homme sort arracher les bienfaits de [texte ?] la mer.
— Pour nous deux ! s'exclame-t-il [texte ?]. Il me regarde dans les yeux, et s'éloigne.
Alors, je fais ce que je dois faire. [deux points ?] Je me couche [« m'allonge » ? Comme vous préférez] sur le sable et [« je »] rêve que mon corps est le lit océanique. Je rêve que les tempêtes les plus horribles ne me touchent même pas [je crois que tu changes le sens].
Au lever du soleil, il revient, sûr de lui, beau. Là, le rituel commence.
D'abord, il emplit ses poches avec les cristaux qui abondent maintenant sur le sol, puis il baise mes paupières encore fermées et caresse mes seins, pour finir, il soigne les blessures qui laissent [texte ?] sur ma peau aussi bien [ton interprétation de ces « tanto », Elena ?] une carapace de tortue, qu'un tentacule de calamar, qu'une dent de requin, autant de choses.

Justine a dit…

Portrait de femme avec ennemi

Chaque nuit, mon homme sort tirer profit de la mer.
— Pour nous deux, dit-il. Il me regarde dans les yeux, et s'éloigne.
Alors, je fais ce que je dois faire : je m'allonge sur le sable et je rêve que mon corps est le lit océanique. Je rêve que pas même les tempêtes les plus horribles ne me touchent.
Au lever du soleil, il revient, sûr de lui, beau. Là, le rituel commence.
D'abord, il emplit ses poches avec les cristaux qui abondent maintenant sur le sol, puis il baise mes paupières encore fermées et caresse mes seins, pour finir, il soigne les blessures qui laissent [texte ?] sur ma peau aussi bien [ton interprétation de ces « tanto », Elena ?] une carapace de tortue, qu'un tentacule de calamar, qu'une dent de requin, autant de choses.

Elena a dit…

Je poste ce commentaire pour pouvoir suivre les échanges, sinon, je perds le fil.

Tradabordo a dit…

Portrait de femme avec ennemi

Chaque nuit, mon homme sort tirer profit de la mer.
— Pour nous deux, dit-il. Il me regarde dans les yeux, et s'éloigne.
Alors, je fais ce que je dois faire : je m'allonge sur le sable et je rêve que mon corps est le lit océanique. Je rêve que pas même les tempêtes les plus horribles ne me touchent [« m'atteignent » ?].
Au lever du soleil, il revient, sûr de lui, beau. Là, le rituel commence.
D'abord, il emplit ses poches avec les cristaux qui abondent maintenant sur le sol, puis il baise mes paupières encore fermées et caresse mes seins, pour finir, il soigne les blessures qui laissent [texte ? Et ce commentaire du tour précédent] sur ma peau aussi bien [ton interprétation de ces « tanto », Elena ?] une carapace de tortue, qu'un tentacule de calamar, qu'une dent de requin, autant de choses.

Elena a dit…

Portrait de femme avec ennemi
Chaque nuit, mon homme sort tirer profit de la mer.
— Pour nous deux, dit-il. Il me regarde dans les yeux, et s'éloigne.
Alors, je fais ce que je dois faire : je m'allonge sur le sable et je rêve que mon corps est le lit océanique. Je rêve que pas même les tempêtes les plus horribles ne m'atteignent.
Au lever du soleil, il revient, sûr de lui, beau. Là, le rituel commence.
D'abord, il emplit ses poches avec les cristaux [et "marinos" ?] qui abondent maintenant sur le sol, puis il baise mes paupières encore fermées et caresse mes seins,

por último cura las heridas que dejaran en mi piel tanto caparazón de tortuga, tanto tentáculo de calamar, tanto diente de tiburón, tanto.
pour finir, il soigne les blessures laissées sur ma peau par autant de carapace de tortue, autant de tentacule de calamar, autant de dent de requin, autant de choses.

Tradabordo a dit…

Portrait de femme avec ennemi
Chaque nuit, mon homme sort tirer profit de la mer.
— Pour nous deux, dit-il. Il me regarde dans les yeux, et s'éloigne.
Alors, je fais ce que je dois faire : je m'allonge sur le sable et je rêve que mon corps est le lit océanique. Je rêve que pas même les tempêtes les plus horribles ne m'atteignent.
Au lever du soleil, il revient, sûr de lui, beau. Là, le rituel commence.
D'abord, il emplit ses poches avec les cristaux [et "marinos" ? /// Ben traduis-le !] qui abondent maintenant sur le sol, puis il baise mes paupières encore fermées et caresse mes seins,

por último cura las heridas que dejaran en mi piel tanto caparazón de tortuga, tanto tentáculo de calamar, tanto diente de tiburón, tanto.
pour finir, il soigne les blessures laissées sur ma peau par autant de [pas très clair / pas très naturel… Revenez à l'idée] carapace de tortue, autant de tentacule de calamar, autant de dent de requin, autant de choses.

Elena a dit…

Portrait de femme avec ennemi
Chaque nuit, mon homme sort tirer profit de la mer.
— Pour nous deux, dit-il. Il me regarde dans les yeux, et s'éloigne.
Alors, je fais ce que je dois faire : je m'allonge sur le sable et je rêve que mon corps est le lit océanique. Je rêve que pas même les tempêtes les plus horribles ne m'atteignent.
Au lever du soleil, il revient, sûr de lui, beau. Là, le rituel commence.
D'abord, il emplit ses poches avec les cristaux marins qui abondent maintenant sur le sol, puis il baise mes paupières encore fermées et caresse mes seins,

por último cura las heridas que dejaran en mi piel tanto caparazón de tortuga, tanto tentáculo de calamar, tanto diente de tiburón, tanto.
pour finir, il soigne les blessures laissées sur ma peau par toutes ces carapaces de tortue, ces tentacules de calamar, ces dents de requin, autant de choses.

Tradabordo a dit…

Portrait de femme avec ennemi
Chaque nuit, mon homme sort tirer profit de la mer.
— Pour nous deux, dit-il. Il me regarde dans les yeux, et s'éloigne.
Alors, je fais ce que je dois faire : je m'allonge sur le sable et je rêve que mon corps est le lit océanique. Je rêve que pas même les tempêtes les plus horribles ne m'atteignent.
Au lever du soleil, il revient, sûr de lui, beau. Là, le rituel commence.
D'abord, il emplit ses poches avec les cristaux marins qui abondent maintenant sur le sol, puis il baise mes paupières encore fermées et caresse mes seins, pour finir, il soigne les blessures laissées sur ma peau par toutes ces carapaces de tortue, ces tentacules de calamar, ces dents de requin, autant de choses.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

Portrait de femme avec ennemi
Chaque nuit, mon homme sort tirer profit de la mer.
— Pour nous deux, dit-il. Il me regarde dans les yeux, et s'éloigne.
Alors, je fais ce que je dois faire : je m'allonge sur le sable et je rêve que mon corps est le lit océanique. Je rêve que pas même les tempêtes les plus horribles ne m'atteignent.
Au lever du soleil, il revient, sûr de lui, beau. Là, le rituel commence.
D'abord, il emplit ses poches avec les cristaux marins qui abondent maintenant sur le sol, puis il baise mes paupières encore fermées et caresse mes seins, pour finir, il soigne les blessures laissées sur ma peau par toutes ces carapaces de tortue, ces tentacules de calamar, ces dents de requin, autant de choses.

OK.