jeudi 27 octobre 2016

Projet Hélène P. – titre + phrases 1-4

Cecilia Eudave (Mexique) 

Una noche de invierno es una casa

Para Almudena Mora

Al entrar se comprobó mi más triste sospecha: ahí hacía un frío de esos ancestrales, que me dobló la espina dorsal y me obligó a apoyarme sobre una de las desconchadas paredes. Aquel lugar era inmenso, sí, muy grande, pero inmundo, parecido a una piel que con el tiempo se desgaja y va dejando su rastro por cualquier parte. Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir. Esa casa agonizaba y necesitaba sangre fresca para seguir viviendo, ahora me parece más claro, pero en ese entonces...

Traduction temporaire :
Cecilia Eudave (México)

Une nuit d’hiver est une maison.

À Almudena Mora

En entrant, mon plus triste soupçon fut confirmé : il y faisait un froid ancestral qui me transperça la colonne vertébrale et m’obligea à m’appuyer contre l’un des murs décrépis. L'endroit était immense, très grand, oui, mais immonde, semblable à une peau qui tombe progressivement en lambeaux et laisse des traces partout. Et cette odeur, que je ne parvins jamais éradiquer, à la fois douceâtre et amère, semblable à celle d'une vache en décomposition, qu'une personne imprudente aurait frappée et laissée pour morte en chemin. Cette maison agonisait et avait besoin de sang frais pour continuer à vivre. Maintenant cela me semble plus clair, mais à ce moment-là…

44 commentaires:

Helene P a dit…

À Almudena Mora

En entrant, ce que je redoutais malheureusement le plus se confirma : il régnait là un de ces froids moyenâgeux, qui me transperça la colonne vertébrale et m’obligea à m’appuyer contre un des murs décrépis. Ce lieu était immense, oui, vraiment très grand, mais immonde, telle une peau qui avec le temps tombe en lambeaux et s’éparpille un peu partout. Et puis cette odeur, que je ne suis jamais parvenue à éradiquer, à mi chemin entre douceur et âpreté, semblable celle d’une vache en décomposition qu’un benêt avait battue et laissée mourir sur le chemin. Cette maison agonisait et avait besoin de sang frais pour rester en vie, aujourd’hui cela me paraît évident, mais à ce moment là…

Tradabordo a dit…

Nom de l'auteur + pays

Titre de la nouvelle

À Almudena Mora

En entrant, ce que je redoutais malheureusement le plus [pas du tout ce que dit la V.O. / là, vous ne traduisez pas, vous réécrivez ;-)] se confirma : il régnait là un de ces froids moyenâgeux [texte ?], qui me transperça la colonne vertébrale et m’obligea à m’appuyer contre [« l' » ?] un des murs décrépis. Ce lieu [« L'endroit » ? Attention à la « maladie » espagnole des démonstratifs] était immense, oui [« certes » . Comme vous voulez… Je vous laisse trancher], vraiment très grand, mais immonde, telle [« semblable à » ?] une peau qui [virgule ?] avec le temps [virgule ?] tombe en lambeaux et s’éparpille [texte ?] un peu [texte ?] partout. Et puis cette odeur, que je ne suis jamais parvenue à éradiquer, à mi chemin [tiret ? Vérifiez] entre douceur [inexact ici] et âpreté [inexact ?], semblable [« proche de » ?] celle d’une vache en décomposition qu’un benêt [?] avait battue et laissée mourir sur le chemin. Cette maison agonisait et avait besoin de sang frais pour rester en vie, [point ?] aujourd’hui cela me paraît évident, mais à ce moment là [tiret]…

Helene P a dit…

(Quelle ponctuation doit-on respecter? )

À Almudena Mora

En entrant, ma plus triste suspicion se confirma : il régnait là un de ces froids d’outre-tombe, qui me transperça la colonne vertébrale et m’obligea à m’appuyer contre l’un des murs décrépis. L’endroit était immense, certes, vraiment très grand, mais immonde, semblable à une peau qui avec le temps tombe en lambeaux et laisse des traces d'elle n’importe où. Et puis cette odeur, que je ne suis jamais parvenue à éradiquer, entre douceâtre et fétide, proche de celle d’une vache en décomposition qu’un imprudent avait renversée et laissée mourir sur le chemin. Cette maison agonisait et avait besoin de sang frais pour rester en vie, aujourd’hui cela me paraît évident, mais à ce moment là…

Tradabordo a dit…

Nom de l'auteur + pays

Titre de la nouvelle

+ je ne comprends pas la question posée sur la ponctuation.

Tradabordo a dit…

+ n'oubliez pas de vous inscrire.

Michaël Salaün a dit…

Cecilia Eudave (México)

Une nuit d’hiver dans une maison.

À Almudena Mora

En entrant, mon plus triste soupçon fut vérifié : il y faisait un froid glacial, qui me transperça la colonne vertébrale et qui m’obligea à m’appuyer contre l’un des murs décrépis. Ce lieu était immense, oui, très grand, mais immonde. Semblable à une peau qui, avec le temps, s’éparpille et laisse peu à peu des traces partout. Et cette odeur, que je ne pus jamais éradiquer, à la fois douce et amère, semblable à une vache en décomposition, qu’une personne imprudente frappa et laissa mourir au bord du chemin. Cette maison agonisait et avait besoin de sang frais pour continuer à vivre. Maintenant cela me semble plus clair, mais à ce moment-là…

Tradabordo a dit…

Cecilia Eudave (México)

Une nuit d’hiver dans une maison.

À Almudena Mora

En entrant, mon plus triste soupçon fut vérifié [manque de naturel] :

On va avancer pas à pas.

il y faisait un froid glacial, qui me transperça la colonne vertébrale et qui m’obligea à m’appuyer contre l’un des murs décrépis. Ce lieu était immense, oui, très grand, mais immonde. Semblable à une peau qui, avec le temps, s’éparpille et laisse peu à peu des traces partout. Et cette odeur, que je ne pus jamais éradiquer, à la fois douce et amère, semblable à une vache en décomposition, qu’une personne imprudente frappa et laissa mourir au bord du chemin. Cette maison agonisait et avait besoin de sang frais pour continuer à vivre. Maintenant cela me semble plus clair, mais à ce moment-là…

Michaël Salaün a dit…

Cecilia Eudave (México)

Une nuit d’hiver dans une maison.

À Almudena Mora

En entrant, mon plus triste soupçon fut confirmé :

Tradabordo a dit…

Cecilia Eudave (México)

Une nuit d’hiver dans [au fait, est-ce ce que dit la V.O.? ] une maison.

À Almudena Mora

En entrant, mon plus triste soupçon fut confirmé :

Michaël Salaün a dit…

Cecilia Eudave (México)

Une nuit d’hiver c'est une maison.

À Almudena Mora

En entrant, mon plus triste soupçon fut confirmé :

Tradabordo a dit…

Cecilia Eudave (México)

Une nuit d’hiver c'[nécessaire ?]est une maison.

À Almudena Mora

En entrant, mon plus triste soupçon fut confirmé :

Michaël Salaün a dit…

Cecilia Eudave (México)

Une nuit d’hiver est une maison.

À Almudena Mora

En entrant, mon plus triste soupçon fut confirmé :

Tradabordo a dit…

Cecilia Eudave (México)

Une nuit d’hiver est une maison.

À Almudena Mora

En entrant, mon plus triste soupçon fut confirmé :

OK.

Vous pouvez ajouter un peu de la suite. Pas besoin de remettre le début : je fais d'ores et déjà le copier-coller.

Michaël Salaün a dit…

il y faisait un froid glacial, qui me transperça la colonne vertébrale et qui m’obligea à m’appuyer contre l’un des murs décrépis. Ce lieu était immense, oui, très grand, mais immonde.

Tradabordo a dit…

En revanche, mettez systématiquement l'espagnol du fragment.

Michaël Salaün a dit…

ahí hacía un frío de esos ancestrales, que me dobló la espina dorsal y me obligó a apoyarme sobre una de las desconchadas paredes. Aquel lugar era inmenso, sí, muy grande, pero inmundo, parecido a una piel que con el tiempo se desgaja y va dejando su rastro por cualquier parte.

il y faisait un froid glacial, que cela me transperça la colonne vertébrale et m’obligea à m’appuyer contre l’un des murs décrépis. Ce lieu était immense, oui, très grand, mais immonde, semblable à une peau qui, avec le temps, tombe en lambeaux et laisse peu à peu des traces partout.

Tradabordo a dit…

ahí hacía un frío de esos ancestrales, que me dobló la espina dorsal y me obligó a apoyarme sobre una de las desconchadas paredes. Aquel lugar era inmenso, sí, muy grande, pero inmundo, parecido a una piel que con el tiempo se desgaja y va dejando su rastro por cualquier parte.

il y faisait un froid glacial [texte ?], que [comment ça s'enchaîne avec ce qui précède ? Je ne me souviens pas et je veux que vous me confirmiez que ça roule :-)]


cela me transperça la colonne vertébrale et m’obligea à m’appuyer contre l’un des murs décrépis. Ce lieu était immense, oui, très grand, mais immonde, semblable à une peau qui, avec le temps, tombe en lambeaux et laisse peu à peu des traces partout.

Michaël Salaün a dit…

ahí hacía un frío de esos ancestrales, que me dobló la espina dorsal y me obligó a apoyarme sobre una de las desconchadas paredes. Aquel lugar era inmenso, sí, muy grande, pero inmundo, parecido a una piel que con el tiempo se desgaja y va dejando su rastro por cualquier parte.

il y faisait un froid ancestral, qui (le froid est ici sujet) me transperça la colonne vertébrale et m’obligea à m’appuyer contre l’un des murs décrépis. Ce lieu était immense, oui, très grand, mais immonde, semblable à une peau qui, avec le temps, tombe en lambeaux et laisse peu à peu des traces partout.

Tradabordo a dit…

ahí hacía un frío de esos ancestrales, que me dobló la espina dorsal y me obligó a apoyarme sobre una de las desconchadas paredes. Aquel lugar era inmenso, sí, muy grande, pero inmundo, parecido a una piel que con el tiempo se desgaja y va dejando su rastro por cualquier parte.

il y faisait un froid ancestral, [la virgule est-elle nécessaire ? J'hésite…] qui me transperça la colonne vertébrale et m’obligea à m’appuyer contre l’un des murs décrépis. Ce lieu [« L'endroit » ?] était immense, oui [ou placé après ?], très grand, mais immonde, semblable à une peau qui, avec le temps [est-ce que ça ne suffit pas si on met quelque chose comme « progressivement » à la place ?], tombe en lambeaux et laisse peu à peu des traces partout.

Michaël Salaün a dit…

ahí hacía un frío de esos ancestrales, que me dobló la espina dorsal y me obligó a apoyarme sobre una de las desconchadas paredes. Aquel lugar era inmenso, sí, muy grande, pero inmundo, parecido a una piel que con el tiempo se desgaja y va dejando su rastro por cualquier parte.

il y faisait un froid ancestral qui me transperça la colonne vertébrale et m’obligea à m’appuyer contre l’un des murs décrépis. L'endroit était immense, très grand, oui, mais immonde, semblable à une peau qui tombe progressivement en lambeaux et laisse peu à peu des traces partout.

Tradabordo a dit…

ahí hacía un frío de esos ancestrales, que me dobló la espina dorsal y me obligó a apoyarme sobre una de las desconchadas paredes. Aquel lugar era inmenso, sí, muy grande, pero inmundo, parecido a una piel que con el tiempo se desgaja y va dejando su rastro por cualquier parte.

il y faisait un froid ancestral qui me transperça la colonne vertébrale et m’obligea à m’appuyer contre l’un des murs décrépis. L'endroit était immense, très grand, oui, mais immonde, semblable à une peau qui tombe progressivement en lambeaux et laisse peu à peu [nécessaire ?] des traces partout.

Michaël Salaün a dit…

ahí hacía un frío de esos ancestrales, que me dobló la espina dorsal y me obligó a apoyarme sobre una de las desconchadas paredes. Aquel lugar era inmenso, sí, muy grande, pero inmundo, parecido a una piel que con el tiempo se desgaja y va dejando su rastro por cualquier parte.

il y faisait un froid ancestral qui me transperça la colonne vertébrale et m’obligea à m’appuyer contre l’un des murs décrépis. L'endroit était immense, très grand, oui, mais immonde, semblable à une peau qui tombe progressivement en lambeaux et laisse des traces partout.

Tradabordo a dit…

ahí hacía un frío de esos ancestrales, que me dobló la espina dorsal y me obligó a apoyarme sobre una de las desconchadas paredes. Aquel lugar era inmenso, sí, muy grande, pero inmundo, parecido a una piel que con el tiempo se desgaja y va dejando su rastro por cualquier parte.

il y faisait un froid ancestral qui me transperça la colonne vertébrale et m’obligea à m’appuyer contre l’un des murs décrépis. L'endroit était immense, très grand, oui, mais immonde, semblable à une peau qui tombe progressivement en lambeaux et laisse des traces partout.

OK.

Michaël Salaün a dit…

Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir.

Et cette odeur, que je ne pus jamais éradiquer, à la fois douce et amère, semblable à une vache en décomposition, qu’une personne imprudente frappa et laissa mourir au bord du chemin.

Michaël Salaün a dit…

Bonjour, je suis sans retour de ma proposition de traduction du 20 juillet. Cordialement.

Tradabordo a dit…

Vous le savez : quand cela arrive alors que ça bouge sur le blog, ça veut dire que je n'ai pas vu votre commentaire et qu'il faut juste republier votre traduction. car si vous attendez, ça risque effectivement de durer très longtemps.

***

Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir.

Et cette odeur, que je ne pus [confirmez juste que jusque-là, nous étions bien au passé simple] jamais éradiquer, à la fois douce [inexact ?] et amère, semblable à une vache [ça ne peut pas être l'odeur qui est semblable à une vache] en décomposition, qu’une personne imprudente frappa et laissa mourir au bord du chemin [texte].

Michaël Salaün a dit…

Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir.

Et cette odeur, que je ne pus (passé simple confirmé] jamais éradiquer, à la fois sucrée et amère, semblable à une odeur de vache en décomposition, frappée par personne imprudente et laissée pour morte.

Tradabordo a dit…

Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir.

Et cette odeur, que je ne pus (passé simple confirmé] jamais éradiquer, à la fois sucrée [« douceâtre » ?] et amère, semblable à une odeur [pourquoi pas juste « celle » ?] de [« d'une »] vache en décomposition, frappée par personne imprudente et laissée pour morte [revenez plus près de la V.O.].

Michaël Salaün a dit…

Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir.

Et cette odeur, que je ne pu jamais éradiquer, à la fois douceâtre et amère, semblable à celle d'une vache en décomposition, qu'une personne imprudente frappa et laissa mourir sur le chemin.

Tradabordo a dit…

Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir.

Et cette odeur, que je ne pu [grammaire ? Je vous demandais juste de vérifier si on était bien au passé simple jusque-là] jamais éradiquer, à la fois douceâtre et amère, semblable à celle d'une vache en décomposition, qu'une personne imprudente frappa [j'hésite sur le temps… C'est une hypothèse…] et laissa [idem] mourir sur le chemin.

Michaël Salaün a dit…

Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir.

Et cette odeur, que je ne pus jamais éradiquer, à la fois douceâtre et amère, semblable à celle d'une vache en décomposition, qu'une personne imprudente avait frappée et avait laissée mourir sur le chemin. (Le plus-que-parfait me semble plus naturel. Qu'en pensez-vous?)

Tradabordo a dit…

Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir.

Et cette odeur, que je ne pus [« parvins » ?] jamais éradiquer, à la fois douceâtre et amère, semblable à celle d'une vache en décomposition, qu'une personne imprudente avait frappée et avait laissée mourir sur le chemin [ou pas de temps du tout : frappée et laissée pour morte…………].

Michaël Salaün a dit…

Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir.

Et cette odeur, que je ne parvins jamais éradiquer, à la fois douceâtre et amère, semblable à celle d'une vache en décomposition, qu'une personne imprudente avait frappée frappée et laissée pour morte.

Michaël Salaün a dit…

Bonsoir, je suis toujours dans l'attente de votre retour concernant le dernier bout de texte traduit. Merci :)

Tradabordo a dit…

Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir.

Et cette odeur, que je ne parvins jamais éradiquer, à la fois douceâtre et amère, semblable à celle d'une vache en décomposition, qu'une personne imprudente avait [« aurait »] frappée frappée [doublon] et laissée pour morte.

Là, on n'a plus « por el camino ».

Michaël Salaün a dit…

Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir.

Et cette odeur, que je ne parvins jamais éradiquer, à la fois douceâtre et amère, semblable à celle d'une vache en décomposition, qu'une personne imprudente aurait frappée et laissée pour morte sur le chemin.

Tradabordo a dit…

Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir.

Et cette odeur, que je ne parvins jamais éradiquer, à la fois douceâtre et amère, semblable à celle d'une vache en décomposition, qu'une personne imprudente aurait frappée et laissée pour morte sur le [ou dans le sens de : « en chemin » ? J'hésite] chemin.

Michaël Salaün a dit…

Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir.

Et cette odeur, que je ne parvins jamais éradiquer, à la fois douceâtre et amère, semblable à celle d'une vache en décomposition, qu'une personne imprudente aurait frappée et laissée pour morte en chemin.

Tradabordo a dit…

Y ese olor, que nunca logré erradicar, entre dulzón y amargo, parecido a la descomposición de una vaca que por el camino algún incauto golpeó y dejó morir.

Et cette odeur, que je ne parvins jamais éradiquer, à la fois douceâtre et amère, semblable à celle d'une vache en décomposition, qu'une personne imprudente aurait frappée et laissée pour morte en chemin.

OK.

Michaël Salaün a dit…

Esa casa agonizaba y necesitaba sangre fresca para seguir viviendo, ahora me parece más claro, pero en ese entonces...

Cette maison agonisait et avait besoin de sang frais pour continuer à vivre. Maintenant cela me semble plus clair, mais à ce moment-là…

Tradabordo a dit…

Esa casa agonizaba y necesitaba sangre fresca para seguir viviendo, ahora me parece más claro, pero en ese entonces...

Cette maison agonisait et avait besoin de sang frais pour continuer à vivre. Maintenant cela me semble plus clair, mais à ce moment-là…

OK.

Michaël Salaün a dit…

Bonjour,
Y a-t-il une suite à ce texte ou bien allez-vous me donner un autre projet?
Merci :)

Michaël Salaün a dit…

J'attends votre retour. Merci :)

Tradabordo a dit…

Je vous mets la suite dans un autre post.